Mont Olympe

même de la candidate. LE MOUVEMENT POUR LA PARITÉ Lors de la Révolution de 1789, Olympe de Gouges rédige une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, réclamant l’égalité en matière politique. L’un des articles énonce : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud. Elle doit avoir également celui de monter à la tribune. » Cette revendication à la citoyenneté semble trop osée pour l’époque et Olympe de Gouges mourra sur l’échafaud. Tout au long du XIXe siècle et au cours du XXe, les

Marie Gouze, dite Marie-Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748 et morte guillotinée à Paris le 3 novembre 1793, est une femme de lettres française, devenue femme politique et polémiste. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme. Auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, elle a laissé de nombreux écrits en faveur des droits civils et politiques des femmes et de l’abolition de l’esclavage des Noirs. Elle est devenue emblématique des mouvements

Registre polémique du texte Olympe de Gouge Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, a été écrit en 1791, par Olympe de Gouge qui elle, est une politicienne, polémiste, écrivaine. Sa a été le premier document à évoqué une égalité juridique et légal des femmes par rapport aux hommes. L'auteur y défend donc la cause des femmes. Nous allons montrer en quoi, le texte d'Olympe de Gouges est inscrit dans le registre polémique, en deux partit distincte. Tout d'abord, le registre polémique

ont conscience d'un combat pour les droits de leur sexe. Seules quelques marginales, vite persécutées, donnent à leurs actes un dimension proprement féministe. Parmi ces militantes, on peut se pencher plus longuement sur une personnage marquant, Olympe de Gouges (voir fiche >>>), vouée à un destin tragique. Née en 1748, sous le nom de Marie Gouze à Montauban, elle était connue comme la fille du boucher de la ville mais était en réalité la fille du puissant Lefranc de Pompignan, noble influent. Elle

droits de la femme et de la citoyenne, 1791 La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne est un texte juridique français, exigeant la pleine assimilation légale, politique et sociale des femmes, rédigé en septembre 179, par l’écrivaine Olympe de Gouges sur le modèle de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen proclamée le 26 août 1789, et publié dans la brochure Les droits de la femme, adressée à la reine. Premier document à évoquer l’égalité juridique et légale des femmes par

nouveau pouvoir par le contenu de leurs écrits et par le fait qu’elles occupent la place publique, elles dérangent. Certaines le paient de leur vie. En ce sens, Olympe de Gouges avait sans doute eu une prémonition en écrivant « La femme a le droit de monter sur l’échafaud; elle doit avoir également celui de monter à la tribune » Olympe de Gouges est sans contredit une des militantes les plus marquantes dans la défense des droits politiques et sociaux des femmes au cours de la Révolution française

Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne Olympe de Gouge -> femme de lettres et révolutionnaire XVIII faisant parti des lumières de ce siècle. Elle écrit de nombreuses pièces de théâtre défendant le droit au divorce. Or les femmes prônent de plus en plus leurs souhaits d’égalité, de liberté, du droit d’exercer le pouvoir législatif ou judiciaires. L’émancipation des femmes est alors aux cœurs des débats et -> alors quand 91 ODG écrit La DDFC. Dans le début de cette déclaration, il

conscience d'un combat pour les droits de leur sexe. Seules quelques marginales, vite persécutées, donnent à leurs actes un dimension proprement féministe, dans un but final d’obtenir l’égalité des sexes. Parmi ces militantes, on peut se pencher sur Olympe de gouges. Née en 1748, sous le nom de marie gouze, elle était la fille d’un noble puissant et influent : Lefranc de Pompignan. Elle fut marié a 16 ans et veuve peu de temps âpres. Elle parodie le style de la déclaration des droits de l’homme avec

Pankhurst qui créa le mouvement des Suffragettes en 1903 permettant aux femmes de voter. Olympe de Gouges, considérée aujourd’hui comme la femme prophète de la Révolution française qui eut le courage de publier une « Déclaration des droits de la femme et des citoyennes ». Elle est reconnue pour sa célèbre phrase : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud, elle doit également avoir le droit de monter à la tribune » Il y a eu tant d’autres qui ont dévoué leur vie en faveur de la femme :

n'auront pas le droit de vote, ni d'élection, à cette époque. Néanmoins, avec la suppression du droit d'aînesse en 1790, les femmes deviennent égales aux hommes concernant les droits de succession[]. Au début de la Révolution, si les femmes ne peuvent monter à la tribune, elles ont la possibilité d'assister aux débats de l'Assemblée, venant souvent avec leurs tricots et approuvant vertement les discours prononcés, comme Aimée de Coigny ou Madame de Beauvau[]. Exceptionnellement, Théroigne de Méricourt