Montagnes de Brume

personnification (= vent du soir) Balance les beaux lys comme des encensoirs (2). comparaison La forêt a voilé ses colonnes profondes, personnificat° + métaphore (= troncs d’arbre, brume du soir) La montagne se cache, et sur les pâles ondes personnification (= ds la brume) Le saule a suspendu ses chastes reposoirs (3). Personnification + métaphore (= ses branches qui tombent) Alfred de Vigny (1797-1863), Les Destinées (1864) (1)

éduquer à le devenir.Il faut être détaché du conditionnement et de l' ambiance du monde.Le musée nous détache de la culture du monde.Au frontière,de notre temps organisé et de notre espace techniquement maîtrise le nuage de notre utilité ce dissipe en brume laissant entrevoir une communion possible aux choses même.L 'artiste ouvre pour nous un chemin vers le réel.Il faut que l'artiste est résistée à l'éducation utile des choses sans pour cela la rejetée complètement car la vie ne serait pas possible,et

l'eau. 5 44444444 « Le Dormeur du val » C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil, de la montagne fière, Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu

Caroline Baudez, 2007 Sommaire Inventaire des paysages viticoles Champenois p3 Composants des paysages viticoles champenois p9 Deux grands types de paysage p21 Les unités paysagères p31 Le Massif de Saint Thierry et la vallée de l’Ardre p35 La Montagne de Reims p43 La vallée de la Marne Est p53 La vallée de la Marne Ouest p62 La Côte des Blancs p68 Le Sézannais et la vallée du Petit Morin p72 La Côte de Champagne p82 La Côte des Bars p88  Inventaire des Paysages de la Champagne viticole

ondoie l’enfant ; — on lui donne le nom d’Oluf, un bien beau nom ! — Le mire monte sur la plus haute tour pour lui tirer l’horoscope. Le temps était clair et froid : comme une mâchoire de loup cervier aux dents aiguës et blanches, une découpure de montagnes couvertes de neiges mordait le bord de la robe du ciel ; les étoiles larges et pâles brillaient dans la crudité bleue de la nuit comme des soleils d’argent. Le mire prend la hauteur, remarque l’année, le jour et la minute ; il fait de longs calculs

quelque ombre en ses yeux. La cloche fêlée Charles Baudelaire II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume, Les souvenirs lointains lentement s'élever Au bruit des carillons qui chantent dans la brume. Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante, Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis Elle veut de

notre ancienne sagesse sont encore préservés. Voilà, à l'origine, la Terre était couverte par un très épais manteau de brouillard ou de brume. En fait, les gens ne pouvaient pas voir le Soleil dans le ciel, sauf comme un halo de lumière. Et ils voyaient aussi la Lune la nuit comme une légère griffe lumineuse dans le ciel, parce qu'il y avait cette épaisse brume. Et la pluie était toujours en train de tomber sous la forme d'une bruine constante. Toutefois, il n'y avait pas de tonnerre. Il n'y avait

L'aviron la nier. Il, 133 (II, terre était blanche; Je m'excuse d'employer ce pour Victor filets XVI). Une moitié de d'écume. Rien de mélancolique le noir est Rhin,\, 236 tricoté. Les Travailleurs de l'autre du couchant de sur les montagnes de l'autre côté du Rhin. Le. semblent sous Il ravin où j'étais et pour les vallées l'une de comme mais couleur positive dit Victor le 11. 10 . neige, jour que M. Mabilleau, Hugo, p. 1x3). I faisait cette \ l OUI l"K. l

excellé dans la littérature autant que dans l’aviation . -2- I-La volonté inflexible: “ Les orages , la brume , la neige , quelquefois ça vous t’embêtera . Pense alors à tous ceux qui ont connu ça avant toi , et dis-toi simplement : ce que d’autres

Choisit-on, de toute manière ! Le plus étonnant — et pourquoi ! — est que nous nous soyons abordés. Imagines-tu ? Deux vaisseaux, solitaires, un rien fantomatiques croisent, entités autonomes et mystérieuses, dans les parages de la solitude. Un cri dans la brume, un regard échappé du bastingage, et c’est la reconnaissance ; les grappins sont lancés, les armes sont au pied, les passerelles abattues. Et nous voici, simulant une panne d’isolement dans l’océan fantasque de –5– l’existence, appariés à notre