Montaigne Et La Torture

civiles 1572 : le massacre de la St Barthelémy. Charles IX. Ressemble bcp à la situation irakienne entre sunites et chiites. Auj en France, 1 % de protestants. Pays ds lesquels tte la population est restée protestante (USA), d'autres catholiques. Montaigne : Essais : « partt la guerre, la violence » => avènement de l'Etat moderne. La réforme religieuse de Luther a joué un rôle ds cette évolution (texte 13). Instance pacificatrice a mis sous contrôle les différentes Eglises et a imposé la paix par

L’Homme a-t-il naturellement besoin d’autorité ? « L’Homme est un loup pour l’Homme, quand on ne le connaît pas », écrivit Plaute dans sa comédie Asinaria , vers 195 av J.-C. L’inconnu, l’étranger, évoque irrésistiblement cet état brut auquel nous nous référons lorsque nous songeons sans trop y réfléchir, à ce que serait l’Homme « naturellement ». Resurgit alors chez certains, cette angoisse de la mort violente, à cause de l’incertitude de ce que l’inconnu pourrait

commission d'autres infractions. La peine doit dissuader le délinquant de récidiver (intimidation spéciale) et susciter une crainte suffisante aux yeux des autres individus, afin de les détourner du chemin de la délinquance (intimidation générale). MONTAIGNE estimait à ce sujet qu'« on ne corrige pas celui qu'on pend, on corrige les autres par lui » (Essais, livre II, chap. VII). 5. L'intimidation a prévalu dans les périodes les plus reculées. Présente sous la monarchie absolue, elle l'est encore dans

savants et d’érudits et dont le but était de favoriser les échanges d’idées. Au seizième siècle l’Humanisme s’épanouit hors de l’Italie, notamment sous l’impulsion de personnalités comme Erasme ou Thomas More et en France Rabelais, Du Bellay et Montaigne. Ces humanistes viennent d’horizons assez divers : juristes, enseignants, homme d’Etat, médecins… Grande diversité de provenance. Toutefois ils appartiennent à des milieux sociaux assez homogènes, ils sont tous issus des classes aisées de la société

Un animal est donc “ce qui n’est pas humain”. Cette catégorisation induit un comportement vis-à-vis d’eux différent de ce qu’on applique pour nous même. Le rapport Homme-Animal est quelque chose d’extrêmement complexe. A la fois chouchouté, adoré, torturé et dévoré, “l’animal” a un statut et une reconnaissance en tant “qu’être sensible” beaucoup trop aléatoire, ce qui pose des questions d’éthiques fondamentales. Ce qui fait la nature de l'homme, ce sont toutes les qualités, les caractéristiques qui

n’a pas d’âme. Aujourd’hui on fait des robots, est-ce que ces robots ont des sensations ? Est-ce qu’ils ont conscience de voir ? La suppression de l’âme chez les animaux n’ont pas d’âme ni de conscience. Il y a des lois qui interdisent les lois de torture sur les animaux. Quelques mots sur la postérité de Descartes : On peut dire qu’à certain égard la postérité de Descartes c’est toute la biologie scientifique moderne. Jean Rostand, biologiste qui a fait des découvertes fondamentales disait : « 

quel est le fondement du droit de punir ? Quelles seront les punitions assignées aux différents crimes ? La peine de mort est-elle véritablement utile, nécessaire, indispensable pour la sûreté et le bon ordre de la société ? Les tourments et les tortures sont-ils justes ? Conduisent-ils au but que se proposent les lois ? Quels sont les meilleurs moyens de punir les délits ? Les mêmes peines sont-elles également utiles dans tous les temps ? Quelle influence ont-elles sur les mœurs ? ” [2]   Helvétius

philosophies voient le jour au 17ème, 18ème siècle avec quelques exceptions en amont et en aval. C'est la lutte contre les pouvoirs absolus. Ce sont les fondements de la liberté politique qui apparaissent. Le philosophe grec Aristote (-350), l'ami de Montaigne Etienne de la Boétie (1550), le philosophe anglais Locke (1650), le fondateur français de la sociologie des régimes politiques Montesquieu (1740), le génie politique Rousseau (1750), l'observateur français de la jeune démocratie des états unis Tocqueville

habituellement à décliner l’identité en exprime ici éloquemment la crise; non seulement le sujet se dédouble, à la fois victime et bourreau de lui-même, mais il se pluralise et se déshumanise, en assimilant aussi à toute une série d’instruments de torture. On remarquera que cette tournure n’est pas réservée à la première personne; elle s’étend, en troisième personne, aux métonymies du poète, comme le cœur, et, en seconde personne, à ses destinatrices: on lit par exemple, dans Causerie, "Mon cœur est

d’une interrogation sur la condition humaine en général mais aussi et surtout d’une interrogation inquiète sur le monde de ce début du XVIIe siècle, en plein bouleversement : interrogation qui signale la naissance de la pensée moderne à laquelle Montaigne dans ses Essais en 1580 a déjà frayé le chemin. « Rien n’est en soi bon ou mauvais, la pensée le rend tel » nous dit Hamlet (II,2). L’indécidabilité d’Hamlet fonde sa modernité. 4. Une pièce réflexive Ainsi la conscience fait de nous des lâches