Montaigne Qui Suis Je Que Sais Je

sur les penseurs humanistes de la Renaissance, dont le philosophe et écrivain français Michel de Montaigne (1553-1592). C’est d’ailleurs à Sextus que Montaigne emprunta sa célèbre devise «Que sais-je ?», car la formule sceptique je ne sais rien était sans doute trop affirmative. L’auteur des Essais voulait ainsi signifier que la connaissance humaine paraît fragile, précaire, incertaine. Avec Montaigne, la Renaissance humaniste allait réveiller le scepticisme ancien après plus de mille ans de sommeil

de laisser une trace de vous-même, de vos convictions, à tout jamais dans nos mœurs, et certains peut-être en seront inspirés. Je suis convaincue que des explorateurs et diaristes tels que Christophe Colomb m’ont inspiré dans mes divers voyages. Je sais dorénavant sur les actions menées autrefois et je ne reproduirai pas les erreurs du passé. Vous qui êtes voyageur et non voyagé comme l’aurait écrit Stephen Zweig, prenez absolument conscience, je vous en prie, que vos souvenirs valent la peine d’être

au cloître : « Je m'ébahis qu'elles les portent neuf mois en leurs flancs, vu qu'en leurs maisons elles ne peuvent les porter ni souffrir neuf ans, non pas sept le plus souvent, et, leur mettant une aube seulement sur la robe et leur coupant je ne sais combien de cheveux sur le sommet de la tête, et avec certaines paroles, les font devenir oiseaux [oiseau = moine, NdlR]. » Il explique également l'une des raisons les plus fréquentes poussant les parents à mettre leurs enfants en religion, à savoir

mouvement de son jugement car on n'a pas de certitudes. La thèse des sceptiques > aucune certitude au monde (raison, expérience) Le sceptique ne croit pas quelque chose de vrai. Il doute pour montrer que tout est douteux, tout est incertain. Montaigne : « Que sais-je ? » (définition du scepticisme) = indétermination de la réponse Sceptiques : « Prouve ta preuve » > on ne pouvait atteindre aucune vérité quand bien même on utilisait la démonstration (raisonnement > étapes). Si C est vrai grâce à A

rationnel permettant de distinguer le rêve du sommeil. L'illusion du rêve est naturel tout comme l'illusion perceptive. Cette confusion entre rêve et sommeil est un élément commun de la philosophie et de la littérature (Theete de Platon 158b-d , Montaigne Essais livre 2 ch 12). Remarque:  L'argument du rêve porte (p61) sur des états de choses particuliers ou sur des particularités, cad que:              - soit ce que je me représente ne correspond pas a la réalité extérieure (l'illusion est l'adéquation

conception du monde 2) une reflexion et un questionnement 3) Prendre les choses avec philosophie= art de vivre, sagesse Le stoïcisme : détachement, rien de peut atteindre 4) ethymologie grec : Philia (amour) Sophia (sagesse/savoir) Socrate « je sais que je ne sais rien » La culture Quest ce que l’homme ? -un animal de conscience - un « animal qui fabrique des outils » (Franklin) - un animal politique (Aristote) - un roseau pensant (Pascal) -un animal metaphysique (schopenhauer) Metaphysique :

Un après midi de mai, à la terasse d'un coquet petit café parisien sur l'avenue Montaigne, deux hommes d'une quarantaine d'années semblaient avoir une conversation assez animée. Le premier, sirotant son jus de fruit n'était autre qu'Augustin Moncerau, libraire mais également fervant admirateur du romantisme. Son collègue Paul Ducerer était au contraire passionné de roman réaliste. Augustin:"Mais voyon Paul, Rien de mieux qu'un bon roman romantique pour ce détendre, rêver... Paul:"Je ne suis pas

ci- joints et vous préciserez les modalités de leur exploitation dans une séquence qui comportera obligatoirement une séance d’étude de la langue. Vous ne vous interdirez pas de proposer des textes et/ou des documents complémentaires. Corpus : MONTAIGNE, Essais, livre II, « De la présomption » ( 1580, édition 1595 ) ROUSSEAU, Les Confessions, livre III ( édition 1782- 1789 ) LEIRIS, L’Age d’homme ( 1939 ) SARTRE, Les Mots ( 1964 ) BARTHES, Roland Barthes par Roland Barthes ( 1975 ) STENDHAL

( nature )   La philo sert aussi a apprendre a se connaître SOCRATE disait : « Connais toi, toi même » sur le temple d’apollon a Delphe «  connais toi toi même et tu connaitras l’univers et les Dieux » SOCRATE disait «  Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien ». Il discute avec les gens pour développer leurs réflexions, ils les faisaient accoucher de leur savoir : il utilise donc la maïetique. La maïetique = gr. maïetiqus, faire accoucher l’esprit des H, Art de la discution permettant de

rien à l’Espagne. » (Gargantua, trad. G. Demerson) Des expressions Parmi les expressions issues des œuvres de Rabelais, celle des « moutons de Panurge » est bien connue et fréquemment utilisée. Mais que signifie–t-elle ? « Soudain, je ne sais comment, le cas fut subi, je n’eus loisir de le considérer, Panurge, sans autre chose dire, jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons, criant et bêlant en pareille intonation, commencèrent à se jeter et sauter en mer