Montaigne éducation Liberté

prisonniers = nous / les ignorants Chaînes = confiance absolue dans la vérité des sens Feu -> soleil sensible Marionettistes / marionnettes -> dans la cave il n'y a que l'ombre des choses, la reproduction des choses. On décline un prisonnier = éducation - instruction Ombre -> ignorance Lumière -> connaissance et savoir Soleil -> science = le bien, le bon, le beau, le juste, le mal L'allégorie de la caverne distingue deux mondes, le monde des idées et le monde intelligible et le monde sensible

BIOGRAPHIES PEDAGOGUES 1. ALAIN – Emile Chartier (1868-1951) (France) Biographie : professeur de philosophie français et écrivain. Education : Affirme la spécificité de l'enfant par rapport à l'age adulte. L'éducation est anti-éducative si elle doit former professionnellement. Eduquer, c'est tirer l'homme de sa barbarie primitive. Apprentissage de la maîtrise des passions, des pulsions, émotions. C'est lui faire connaître son pouvoir de se gouverner lui-même. L'école est le lieu de la construction

l’acquis Il etudie bcp Il remet l’antiquité au goût du jour Il diminue la part de Dieu Qq d’éthique Il etudie dans tout les domaines  !!! L’humanisme n’est PAS une attitude individuelle !!! 3)  "Notre monde vient d’en trouver un autre " Montaigne : MONTAIGNE : Par rapport à la découverte de l’Amérique : Contre la violence exercée lors de la colonisation Il procède dans ses textes à un réquisitoire contre la violence. (Réquisitoire : discours où l’on accumule des accusations, des reproches

1 L'ORAL DU BAC DE FRANÇAIS LES 23 TEXTES DE VOTRE ORAL SOMMAIRE 3 Présentation de l'épreuve 9 Foire aux questions 11 Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76

culture deviennent alors des outils pour critiquer la société, comme nous le verrons dans le chapitre 1. Les humanistes repensent la place de l’homme dans le monde et veulent en faire un être autonome, capable de réflexions, et ce grâce à une éducation repensée. Cet aspect sera développé dans le chapitre 2. La Renaissance est aussi une période très riche artistiquement, les normes esthétiques sont renouvelées dans tous les domaines artistiques et la poésie rivalise avec les arts pour célébrer

Apparences, Société... Art... Création Littéraire... Culture... Education, savoir... Famille... Femme, Homme... Humour, jeux de mots... Nature... Préjugés, Critiques, Justice, Choix... Religion... Travail, création... + de thèmes Apparences, société : "Il y a trop de monde signifie toujours que les autres sont trop nombreux" Denis Langlois. "La vie est la seule carrière qui m'intéresse." Erik Orsenna. "La victoire obtenue par la violence équivaut à une défaite, car elle est momentanée

Références bibliographiques : Ouvrages généraux : WEIL (Patrick), Liberté, égalité, discriminations, Folio histoire, Saint-Amand,2008. SABEG (Yazid), MEHAIGNERIE (Laurence), Les oubliés de l'égalité des chances, participation, pluralité, assimilation...ou repli?, Institut Montaigne, Paris, 2004. SCHARNITZKY (Patrick), Les pièges de la discrimination, L'archipel, 2006. MOUCHTOURIS (Antigone), SISTACH (Dominique), Discrimination et modernité, actes de colloque, PU de Perpignan, Perpignan

a Pau le 14 décembre 1553, il est le fils d’Antoine de Bourbon et de Jeanne III d’Albret, reine de Navarre. Il est baptisé en 1554 et reçoit de sa mère une éducation calviniste qui le fera passer à la religion réformée dès la fin 1559. Après une jeunesse passée dans le Béarn jusqu’à l’âge de 8 ans, c’est à la cour que se poursuit son éducation. Il revient au catholicisme jusqu'à la mort de son père en 1562. Son retour au calvinisme se concrétise par sa présence et celle de sa mère au synode de la

a Pau le 14 décembre 1553, il est le fils d’Antoine de Bourbon et de Jeanne III d’Albret, reine de Navarre. Il est baptisé en 1554 et reçoit de sa mère une éducation calviniste qui le fera passer à la religion réformée dès la fin 1559. Après une jeunesse passée dans le Béarn jusqu’à l’âge de 8 ans, c’est à la cour que se poursuit son éducation. Il revient au catholicisme jusqu'à la mort de son père en 1562. Son retour au calvinisme se concrétise par sa présence et celle de sa mère au synode de la

l’idée de progrès était ancrée dans tous les esprits. Or il fut l’un des premiers grands penseurs français à avoir pris ouvertement le parti des opprimés et à avoir considéré que les biens les plus précieux que l’homme tient de la nature sont la liberté, l’égalité et le bonheur. A ceci s’ajoute qu’il ne croit pas au péché originel et que, pour lui, « tous ces vices n’appartiennent pas tant à l’homme qu’à l’homme mal gouverné. » Sa pensée est en fait assez complexe et elle a été souvent réduite