Moral Des Misérables

Victor Hugo - Les Misérables - 1862 Extrait analysé : Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus. Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture,

Les deux, séduisants, jeunes et amoreux, se précipitent dans leur passion, passant tour à tour, et du jour au lendemain, de l’amour à la haine, de la misère à la fortune, de l’exil à la mort, avec une seule excuse : L’amour. Un amour fatal et misérable pour l’un, et inconstant et frivole pour l’autre, mais un amour que finit par trouver, sous le coup du malheur, sa rédemption. Des Grieux veut vivre avec Manon un amour idéal, pur, fondé sur la fidélité des cœurs et des corps, Manon, au contraire

En quoi l’homme est-il misérable ? Pascal traite de l’H en général et non d’une catégorie particulière. Il établit une sorte d’anthropologie, une étude de la nature humaine menée autour de l’axe de sa misère. I. Une condition faible est mortelle 1. sa condition mortelle réalité incontournable de notre éphémérité. La faiblesse de l’H réside dans ce qui fait de lui un être limité : • F.64 : « quand je considère la petite durée de ma vie absorbée devant l’éternité » • F.29 « notre durée

BACCALAUREAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE FRANCAIS SESSION 1999 - Antilles (sujet de secours) TEXTE 1           Il y a de certaines vérités qu’il ne suffit pas de persuader, mais qu’il faut encore faire        sentir. Telles sont les vérités de morale. Peut-être que ce morceau d’histoire te touchera plus        qu’une philosophie subtile.             Il y avait en Arabie un petit peuple, appelé Troglodyte, qui descendait de ces anciens 5    Troglodytes qui, si nous en croyons les historiens

=j’ai pleinement réfléchit. =proche de la notion d’être sujet d’eux. Agir en accord avec moi même. La conscience réfléchit –> retour sur un vécu, quelque chose que j’ai déjà vécu mais dont je ne comprends pas le sens véritable. La conscience moral –> prendre conscience de. La conscience spontanée –> l’intuition immédiate qu’un sujet a de ses propres états psychiques. C’est une connaissance immédiate. C’est quelque chose que je sais sans raison. Enquête

faible et misérable comme il le montre dans les huit premières liasses de ses Pensées. Cependant, le roi est une figure récurrente dans les fragments au programme. Le roi serait-il un homme d'exception ou bien n'est-il qu'un être comme les autres, aussi misérable, sinon plus ? Nous verrons qu'aucun roi précis n'est étudié mais que la royauté sert d'exemple ou de métaphore à plusieurs analyses : d'abord à une critique politique et sociale des fausses grandeurs, ensuite à une observation morale de la condition

- L'élément moral est une prérogative qu'on accorde à l'auteur et à ses héritiers et qui leurs permettent de défendre l'intégrité morale de l’œuvre. L'auteur et ses héritiers peuvent agir contre toutes les atteintes qui sont portées à cette œuvre. Il n'y a pas de limite dans le temps. Ce droit est perpétuel. Un éditeur a confié à un auteur contemporain le soin de rédiger la suite des Misérables. Cela serait présenté comment étant la suite des Misérables et non une œuvre des Misérables. Les héritiers

l’homme et l’arbre, distinction entre le corporel et le spirituel ensuite, opposition, enfin, entre l’humain en ce qu’il relève de la nature et de l’humain en ce qu’il dépasse cet ordre. Ce dépassement doit nous conduire à une exigence proprement morale. Le texte débute donc par l’opposition entre un étant naturel, l’homme et un autre étant, l’arbre. L’un et l’autre, en tant que naturels, en temps qu’ils font partie de la nature ne sont que deux points ridiculement petits eu égard à l’immensité de

qui parle « repartit », « reprit », « dit », comme souvent dans les fables de la Fontaine, il y a personnifications. Il oppose longuement sa vie à celle du loup en accentuant surtout la pauvreté des animaux sauvages avec des mots péjoratifs : « misérable » v16, « mourir de faim » v18. Cette situation est vécue dans l’angoisse selon lui car la maigre nourriture s’obtient par des luttes acharnées : v19-20, il évoque une vie d’aventurier. Le chien ne décrit pas tellement sa propre condition mais insiste

notre labrador de pure race, et Charles, notre fils, faire une promenade matinale. Nous entrâmes dans le parc, et je libérai Victoria de sa laisse, quand, brusquement, un vulgaire bâtard surgit et commença à l' importuner. Je le chassai, mais le misérable corniaud se mit à poursuivre Victoria à travers tout le parc et lui ordonnai de partir, mais la sale bête m' ignora complètement. "Assieds-toi", dis-je à Charles. "Ici." Je réfléchissais au menu du déjeuner -j' avais un joli reste de poulet