Morale Du Berger Et Du Roi

parties : un récit, une morale Récit : la situation initiale : La peste (v.1 à v.14) Touche tous les animaux, ils sont tous malades. Elément perturbateur : Discours du lion (v.15) : son objectif: trouver un coupable. Péripéties : Discours du renard et de l'âne c'est du discours direct. Récit : Accusation de l'âne 3° L’argumentation des animaux Argumentation direct Le lion prend la parole le premier car : il est le plus fort, c’est le roi donc le plus puissant, c’est

force moutons. Que m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. 30 Je me dévouerai donc, s'il le faut: mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi: Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi; 35 Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien! Manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce

 Commentaire Les animaux malades de la peste   Voir la poésie La Fontaine commence à publier ses fables en 1668. Ces fables visent à donner sous une forme légère et ludique un enseignement moral. Pour cela, il va partir d'une histoire grâce à laquelle il vas illustrer une morale. Nous allons étudier une fable appelée « Les animaux malades de la peste » écrit en 1678. Ici, le récit présente des animaux qui tiennent conseil et qui cherchent à déterminer lequel d'entre eux est le plus coupable

ABSTRAIT • Genre de l’essai + Abstrait  argumentatif : opinion personnel cherche à convaincre le lecteur de sa vision des choses (subjectif). Implication de l’auteur « je » • Vocabulaire abstrait « retour du devoir, engagement » • Aspect politique et morale « justice, défense, protection » ¶29 : CONCRET • Parabole : court récit, visée argumentative • Vocabulaire concret prairie, colline, troupeau • Lyrisme : interrogation, exclamationfait participer le lecteur B-Même idée : ¶28 : Interdépendance

émotionsv.25-33Éléments « mais, s’il le faut » introduisant des nuancesAbondance de la P1 dans la première partie de l’aveu ≠ utilisation du « on », « chacun »Ch lex justice > argument de valeurHyperboles et les effets de retardements (rejet « le Berger », « force moutons »)L’aveu, la confession de son péchéSouligne une certaine hypocrisie de la part du LionLion se met en scène, insiste sur sa personne, mais au moment de condamner il inclut le public pour les guider vers une autre concluDans sa confession

àCatharsis = purification des mœurs par l’évocation de leurs conséquences tragiques. • Idée du destin •Début récit mythologique puis scène de théâtre, justice et enfin morale 3) Des animaux qui évoquent des Hommes / La mise en scène et les acteurs -Définition de la fable (court récit fictif qui expose un enseignement moral, donc cf ici deux derniers vers, et sous forme allégorique) •Les personnages ont des caractères personnels identifiables (énoncer signification du Lion, Renard

La Fontaine commence à publier ses fables en 1668. Ces fables visent à donner sous une forme légère et ludique un enseignement moral. Pour cela, il va partir d'une histoire grâce à laquelle il vas illustrer une morale. Nous allons étudier une fable appelée « Les animaux malades de la peste » écrit en 1678. Ici, le récit présente des animaux qui tiennent conseil et qui cherchent à déterminer lequel d'entre eux est le plus coupable pour mourir pour sauver le reste de la population de la peste

abattue dans le monde des animaux. Elle déclenche la terreur et il faut trouver une solution pour l’enrailler. Le roi lion prend donc la parole, il rappel que la peste à la colère de dieu. Et que décide que celui qui a le plus gros pêché doit être sacrifié. Tout les animaux se confessent les uns après les autres. Le lion commence et avoue qu’il a dévoré des moutons et tuée le berger. Il est défendue par le renard qui le flatte. Toute les puissances défilent sans être inquiété. Arrive alors l’âne

fable: court récit argumentatif qui délivre une morale. • La Fontaine: auteur (fabuliste) du XVIIème siècle. Appartirnt au mouvement littéraire du classicisme. Protégé par Nicolas Fouquet, surintendant du roi Louis XIV. Il entratient des rapports assez diqtants avec la Cour de Louis XIV, et conserve sa liberté d'esprit. Connu pour ses contes mais surtout pour ses fables. Il publie en 1668 un 1er volume Fables dédié au dauphin. Les fables ont des sujets moraux, il s'agit de corriger les défauts des hommes

L'extrait conte l'histoire d'un berger, prénommé Gygès, qui au détour d'une crevasse se retrouve en possession d'un anneau d'or. Par hasard,il se rendit compte que cet anneau pouvait le rendre invisible. Aussitôt, le berger séduisit la reine de la Lydie et tua le roi afin de s'emparer du pouvoir. Ce mythe de Gygès a pour fonctiond'illustrer l'explication, la réflexion de Glaucon sur la justice et l'injustice qui suit dans la deuxième partie du texte. Que fait le berger ? Pourquoi ? 3° Gygès profite