Morale Du Cid

aimée: «Comme à cette fleur la vieillesse fera ternir votre beauté». Perte de la beauté physique … … Perte des forces physiques. Ainsi, au 17e siècle, Corneille fait dire à Don Diègue dans "Le Cid" le célèbre «Ô rage! Ô désespoir! Ô vieillesse ennemie!» … Accentuation des travers moraux. Ainsi dans les pièces de Molière – toujours au 17e siècle – rencontre-t-on bon nombre de vieillards non seulement égoïstes et ridicules comme monsieur Jourdain dans "Le Bourgeois gentilhomme", mais aussi

se divise en trois parties: → Le lieu dramatique qui peut changer au cours de la pièce (salle à manger, jardin...). C'est un lieu visible. → Le lieu virtuel qui est le lieu où va se passer tout ce que le spectateur ne voit pas (Rodrigue dans Le Cid: La bataille se trouve dans un lieu virtuel car on ne la pas vu). → Le troisième lieu est la partie de la scène que le spectateur ne voit pas mais qui a une fonction dynamique dans l'histoire. Ce sont souvent des cachettes. b) L'architecture théâtrale

le seul fait de donner un sens allégorique à la représentation montre clairement que l’on considère déjà celle-ci comme une fable qui n’a en soi aucune vérité, ni imaginaire ni réelle, et qui est faite pour la démonstration d’une quelconque vérité morale. (Pirandello préface de Six personnages en quête d’auteur) 4 Les Mystères Ils constituent la lointaine origine du drame. Relatent la vie d’un saint en entier (le Miracle n’en montre que des épisodes) 1450, Le Mystère de la Passion d’Arnoul

où, dans une certaine mesure au moins, il est fait honneur à la nature humaine. L'homme noble avait toujours fait résider la valeur dans l'affirmation et l'idéalisation du moi; à cet égard, on peut considérer Corneille comme un des champions de la morale aristocratique au XVIIe siècle. On comprend bien alors en quoi le Don Juan de Molière est un "grand seigneur méchant homme", il ne recherche en rien le sublime et ne respecte en rien le devoir. Les divers niveaux de la gloire : • La gloire la plus

règne de Louis XIV le théâtre connait son apogée, principalement sous l’esthétique du Classicisme, un mouvement les incitant à plaire par l’élégance du vocabulaire et des vers et instruire en poussant à la remise en question et en transmettant une morale. Les dramaturges alors les plus connus sont Corneille et Racine qui se sont consacrés à la tragédie, et Molière qui s’est voué à la comédie. Le théâtre permettait alors aussi une distinction entre les classes sociales qui sont disposées différemment

s’oppose à toutes les qualités cultivées et recherchées dans les femmes de l’époque. Elle ne craint pas de faire couler le sang des autres comme des siens, se livre aux déchaînements des passions les plus orageuses, ne se plie ni à la loi ni à la morale, et provoque constamment par sa verve éloquente et accusatrice. “Femme, magicienne et barbare”, telle la qualifie Louis Marin. Trois fois étrangère au pouvoir, et c’est cette exclusion qui lui confère la puissance capable de le rivaliser et de le

mots Un bruit à réveiller un mort - IRONIE n.f. Dire le contraire de ce que l’on pense - Surtout ne te presse pas ! LITOTE n.f. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement - Va, je ne te hais point Le Cid, de Corneille (je t’aime) METAPHORE n.f. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE n.f. Remplacer un élément par un autre

l'action et dans l'espace. On mentionne, le plus souvent, la notion de dénouement dans le domaine du théâtre, par le défilement de l'intrigue, qui forme techniquement un « nœud ». On peut noter tout différents style théâtral et citer par exemple Le Cid de Corneille, qui se base sur le ''Dilemme'', et qui se fini donc par l'achèvement de ce problème. Nous pouvons maintenant passer au mot ''dénouement'' lui-même. Cela signifie dans le roman, que l'histoire est fini, supposant le sort des personnages

réalisera avec ‘’Le Cid’’. Il en est resté à une violence tout extérieure et macabre, qui s'accorde mal avec le caractère initial de Jason, cynique et volage comme un héros de comédie. Et les pouvoirs magiques de son héroïne la privent de cette humanité sans laquelle nous ne saurions être touchés. Mais le « moi » de Médée (est fameuse sa réplique : «Moi, dis-je, et c'est assez.», où la magicienne affirme qu'elle ne trouve qu'en elle-même sa raison de vivre) préfigure la morale de certains héros cornéliens

Robbe-Grillet : Pour un nouveau roman - G. Genette : Figures.   Œuvres caractéristiques :  Le conte est une genre romanesque plus court, dont l'ancêtre est le fabliau médiéval : centré sur une péripétie, il prend souvent une dimension symbolique et morale (Marguerite de Navarre, L'Heptaméron ; Flaubert, Trois contes). Le roman naît dans toute sa variété au XVIIIème siècle avant de s'épanouir dans sa vocation réaliste au XIXème. Il a cependant tôt sécrété sa contestation : l'antiroman (Diderot, Jacques