Morale Du Cid

Le Cid de Corneille 1. Corneille et son temps: 1.1 Contexte historique et politique: – Le XVIIème siècle est le “Grand siècle”, le “Siècle classique” ou encore le “Siècle de Louis XIV”. Adj. “Classique” → 2 sens → Indémodable de part sa sobriété et son élégence. → Ce qui fait autorité, ce qui fait référence. On considère en général que le XVIIème siècle commence en 1610 (mort d'Henri IV) et se termine en 1715 (mort de Louis XIV). La France domine l'Europe par les armes mais aussi par les

Responsabilité civil; Par contre, n'ont pas un caractère déductible les primes d'assuranc dirigeants de l'entreprise, ainsi que celles afférentes à des immeubles no directement à l'exploitation. l Les Charges financières (ART 141.1 du CID) Elles sont déductibles à condition que ces charges soient utilisées dans l'intérêt de l'entreprise; Sous réserve des conditions ci-dessus, elles sont déduites des résultats au cours duquel elles sont arrivées. a) Intérêts, agios

l’avocat. Il plaide tres peu a cause de timidite A l ‘age de 23 and , il ecrit a Rouen sa premiere comedie qu’il presente a une troupe de passage. Il reussit son premier succes. Le Richelieu le remarque. Le succes qui lui assure la gloire c’est le Cid. Par contre la querelle qui suit cette piece lui irrite. Apres retour a Rouen, il vient souvent a Paris ses succes sont tres nombreux. Corneille a ecrit 33 pieces dont 9 comedie. Voici les principales Melite- comedie de moeurs Cinna, tragedie

que l'on a tant rêvé. Si le bonheur peut se définir comme "un état moral résultant de la satisfaction de nos inclinations" comme le soulignait Kant, aussi bien en durée qu'en degré, cet état affectif par essence épémère reste tout de même difficile à décrire, à délimiter et donc à conserver. "Le bonheur", d'un point de vue philosophique, peut-être atteint par, ou défini comme, "le désir", "la volonté", "les plaisirs", "la morale", "le bien", "la possession" ou encore "la liberté". Tant de domaines

lien avec le 17e s.- la poésie baroque- l’architecture baroque opposée à l’architecture classique- les tableaux baroques et classiquesQuestions de mise en scène Projection : Le Cid , Lever du rideau Référence de la captation : Le Cid , version Flamenco, de Pierre Corneille, Luis de la Carrasca, mis en scène par Thomas Le Douarec, 1999, Longjumeau

 Le Cid, acte I, scène 6, 1637, Pierre Corneille, « Les stances du Cid » Intro : Le Cid est l’une des plus connues et des plus belles pièces du répertoire français en raison de son succès incroyable lors de sa mise en scène en 1637. Mais également en raison de la fameuse quenelle du Cid qu’elle a occasionnée. LECTURE La versification met en valeur les mots qui sont à la rime car ils font écho et sont les plus importants. Ce texte est un monologue écrit sous forme

Une scène grave, sérieuse, qui contraste avec le reste de la pièce II. COMMENT ? Le mélange des registres (pathétique, tragique, polémique, comique grâce à la parodie) III. POURQUOI ? Un jeu intertextuel et parodique avec Hamlet de Shakespeare et Le Cid de Corneille I. Une scène grave, sérieuse, qui contraste avec le reste de la pièce a) Une scène qu'on croirait sortie d'une pièce tragique ou d'un drame shakespearien Habitué aux scènes de farce, le spectateur ou le lecteur est surpris par ce passage

d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637,Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique (Médée), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie historique — il fut le dernier des poètes

droit, se tourne vers la littérature tout en occupant des offices d'avocat à Rouen. Il écrit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, puis se tourne vers le genre tragique avec en 1637, une pièce qui fait grand bruit, Le Cid, que suivent ses chefs-d'oeuvre du début des années 1640, Horace, Cinna, Polyeucte et Rodogune. Après une décennie de gloire, ses pièces rencontrent moins de succès : Corneille cesse alors d'écrire près d'une dizaine d'années. Il revient au théâtre

Suivante, La Place Royale, l'Illusion comique. En 1635, "Médée" lui donne l'occasion d'écrire sa première tragédie. Corneille, nommé auteur officiel par Richelieu, refuse le rôle de poète de cour soumis au pouvoir politique qu'on attend de lui. Dans Le Cid (1636), Corneille n'hésite pas à montrer les vertus de la haute noblesse que les rois de France essaient d'écarter du pouvoir ; dans Horace, il rappelle que les hommes politiques ne sont pas au-dessus des lois (alors que les rois de France considèrent