Morale Et Culture

Sur notre planète, chaque être humain admets de nombreuses différences selon leurs cultures, leurs sociétés, leurs passés et leurs actes. Chaque vie paraît différente. Pouvons nous s’accorder sur des vérités morales ? A priori, non. Or, le fait d’accepter les choix d’un individu, serait ce plus ou moins une vérité morale ? Ainsi, on se permet de poser l’hypothèse : « Peut t’on s ‘accorder sur des vérités morales ? » Le relativisme culturel est le privilège de l’utilité, le succès de la modernité

Dissertation philo: Peut-on légitimement parler d'homme sans culture? Intro: A première vue, il paraît délicat de dissocier culture et humanité. Si le mot culture désigne ici l'ensemble des processus par lesquels l'homme transforme la nature pour en tirer profit, on comprend donc que c'est l'esprit humain qui est à l'origine de la culture car il invente des formes nouvelles pour les choses. Dans un autre sens, la culture peut désigner la manière propre qu'a un groupe humain déterminé de procéder

et à distinguer le bien du mal. Les philosophes anciens (Platon, Cicéron), les humanistes arabes ou juifs du Moyen Âge (Ibn Khaldûn, Maïmonide), de la Renaissace européenne ( Erasme, Montaigne), des Lumières, ont défini l'homme par la raison et la culture, et donc par la nécessité de l'éducation. Une littérature persuasive et délibérative : Comme l'humanisme a toujours dû faire face à la violence de l'oppression et de l'inculture, il a suscité une abondante littérature argumentative : dialogues

rapport spécifique avec elle qui pose problème : D’une part, l’existence de ce que l’on nomme la culture paraît de manière universelle le définir et le distinguer des autres vivants, d’autre part l’hégémonie qu’il s’accorde par le développement de cette même culture (en particulier techno-scientifique) met en cause sa place au sein même de la nature. Enjeux : Nature (déterminisme biologique) et culture (éducation, tradition, histoire) Savoir (science) et pouvoir (technique) Intérêt anthropologique

nécessite une grande rigueur morale. Mais celà ne suffit pas, il faut se dôter d'une large culture dans laquelle il s'agit d'accumuler des connaissances détaillées. Ceci tend a reclasser les règles de droit dans les lieux ou elles ont pris naissance. Par ailleurs, on peut construire des choses nouvelles que si l'on distingue ce qui est important et ce qui ne l'est pas. Le système actuel est le premier d'une longue histoire et n'est pas immuable. Ceci suppose une culture historique. Exposition

Séance 2 : Intégration et régulation sociale, la question de la culture Introduction Qu'est-ce qui fait tenir les individus ensemble dans une société ? Sur quoi repose la cohésion et la stabilité d'un système social ? Comment les sociétés se protègent du désordre, de la déviance ? I- La conscience collective selon Durkheim A) Un « ensemble de croyances et de sentiments », un système qui a sa vie propre « Un ensemble de croyances et de sentiments communs » Durkheim perçoit

1. La Culture. Introduction : -Il existe trois grands domaines dans lesquels on parle de culture : 1er domaine : Différents modes de vie des hommes, appartenances culturelles, diversités des coutumes… Le tout forme un ensemble : la civilisation. 2ème domaine : L’agriculture, l’activité technique et matériel, la culture de la terre. Cf. étymologie latine du mot : prendre soin, être attentif, être tenace et patient. Grâce à ces qualités la terre est fructueuse. 3ème domaine : La culture

Dissertation : La conscience morale est -elle une illusion? Débattre sur la conscience morale nécessite avant tout d'évoquer un phénomène relativement dont nous avons tous fait l'expérience : celui d'une petite voix qui joue le rôle d'interlocuteur intérieur, et qui se manifeste parfois pour nous sommer de faire quelque chose ou au contraire de s'abstenir de le faire. Suivant un phénomène de dédoublement, cette petite voix nous permet de distinguer le bien et le mal, d'en fixer des normes et

l’on entend rigoureusement par nature ; s’il s’agit d’une " programmation ", alors notre devoir serait inscrit en nous, l'inné. Par nature, l’homme serait apte à savoir ce qu’il doit ou ne doit pas faire. Le savoir renvoie-t-il à la nature, ou à la culture par le biais de l’éducation ? Pour Sartre, par exemple, l’homme n’est rien à priori, il se fait au cours de son existence. Il n’y a pas de nature humaine (de déterminismes naturels, de caractère inné : tout est construit par notre vie et nos choix

notion de culture est ici la notion principale. Il va donc falloir explorer ses différentes significations et leurs implications. Mais il n'est pas demandé une définition. En fait, le terme de culture est interrogé en relation avec la notion d'humanité (l'adjectif "humains" du sujet). Que signifie être humain ? Peut-on être plus ou moins humain ? Et quelle relation avec la culture ? Nous allons devoir nous poser ces questions.      - les termes du sujet :      a) culture : le terme de culture peut