Morale Et Justice

par la contrainte. Morale principes de jugement et de conduite qui simposent la conscience individuelle ou collective comme fonds sur les impratifs du bien ensemble de rgles, dobligations, de valeurs. Pour tudier droit et morale, il faut partir de lacception commune, cest--dire des rgles ou des lois du ct du droit et des valeurs plus ou moins communes un groupe du ct de la morale. La question que nous allons envisager est celle des rapports du droit positif avec la morale de notre socit plus

Section 1 : Une proximité apparente Proximité apparaît d’abord naturelle : le droit et la morale sont deux moyens de régulation de la société, l’obéissance aux règles permet la coexistence des individus. Il faut donc à la fois que leur contenu soit proche mais également leur structure puisque l’un et l’autre requièrent l’obéissance. Mais comme droit et morale ne sont pas identiques, des contradictions sont inévitables et supposent des moyens de résolution de ces conflits. Article 1 : Une proximité

|« Quant à savoir s'il existe le moindre principe moral qui fasse l'accord de tous, j'en appelle à toute personne un tant | |soit peu versée dans l'histoire de l'humanité, qui ait jeté un regard plus loin que le bout de son nez. Où trouve-t-on | |cette vérité pratique(1) universellement acceptée sans doute ni problème aucuns, comme devrait l'être une vérité innée ? La| |justice et le respect des contrats semblent faire l'accord du plus grand nombre ; c'est un principe qui, pense-t-on,

toute chose savoir ce qu 'est « être juste ». Est juste celui qui respecte un critère de justice. Cependant, nous employons sans cesse des critères implicites, puisque nous ne cessons de qualifier tel ou tel acte de juste ou d’injuste. Le mot “justice” est construit à partir du latin « jus », qui signifie le droit. Cette première piste suggère que le respect du droit permet de définir et de garantir la justice. Mais le mot “droit” est équivoque, puisque le droit s’entend comme droit positif aussi

rituelle d’élévation au quatrième degré Maître Secret, le TFPM prononce ces mots au quatrième voyage de l’impétrant : «  Ce que la Maçonnerie vous demande, c'est d'aimer la justice, de marcher dans ses voies, de la servir de tout votre cœur. » De quelle justice est-il question au 4ème degré ? Comment le MSpeut-il la servir ? Par quoi cela doit-il se traduire dans le monde profane ? »Afin de répondre à ce questionnement, intéressons-nous, dans un premier temps aux

Le sacrifice et l’envie, Le libéralisme aux prises avec la justice sociale Jean-Pierre Dupuy Hachette Littératures, 1992 Libéralisme et justice sociale semblent être des mots bien connus, des notions que tout le monde manie avec aisance. Et pourtant, la justice sociale, qu’on classerait comme une idée de gauche, préoccupe bien plus les libéraux que les marxistes ou les socialistes qui, obnubilés par les vices du marché, en oublient de lui donner un sens. Dupuy rappelle

droit serait donc l’ensemble des mécanismes qui permettraient d’assurer cette justice « Qu’est ce qui est juste ? »  identifier ce qui est juste pour savoir si on est en présence d’une règle de droit ou d’une autre Aristote : 2 formes de justice : Justice commutative  justice arithmétique repose sur le principe d’égalité entre les individus (Tout le monde paie la même chose par exemple) Justice distributive  justice géométrique  repose sur la notion d’équité (s’attache aux particularités

La conscience morale • Au sens moral, la conscience est la faculté de juger d'après des valeurs. • On peut considérer la conscience morale comme un surmoi social, résultant de l'assimilation profonde par l'individu des valeurs sociales. En ce sens, la conscience morale n'est qu'une forme de conformisme, qui prend d'ailleurs souvent la forme du moralisme (faire la morale aux autres) et de la bonne conscience. On remarque aussi que les jugements moraux varient selon les époques et les cultures.

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

des cas particulier. La loi qui fait partie des règles de droit est générale et s’applique à tous les citoyens. Dans un procès, litige il y a un défendeur et un demandeur. Défendeur : celui qui défend Demandeur : celui qui exerce l’action en justice Motif : toutes les explications Dispositif :ce sont les solutions Le jugement est celui qui vient trancher un litige entre deux particuliers. Le jugement et l’arrêt ont des motifs individuels. Au sein des normes juridiques, il y a des règles