Morale Et Justice

Chapitre 3 : La morale n'est-elle qu'un ensemble de conventions sociales ? [La justice, Le devoir, la liberté, le bonheur, la vérité, la religion] I – La morale ne serait qu'une convention sociale qui sert à éviter que les hommes se nuisent les uns aux autres (Le personnage Glaucon dans la République de Platon, le philosophe D. Sade, le personnage Calliclès dans le Gorgias de Platon) A) L'anneau de Gygès : un révélateur de nos désirs égoïstes B) La loi et la morale sont un compromis

d’argent à lui réclamer, le monde social et judiciaire pèse le moral de Chabert. PROBLEMATIQUE : Comment Chabert va-t-il affronter son désespoir face à la justice ? Dans un premier temps, nous proposerons de démontrer Chabert et la justice à travers ses souvenirs de Colonel, la justice à laquelle il à fait face et les difficultés qu’il va endurer face à la justice d’aujourd’hui. Après ça, le désespoir de Chabert à travers sa déchéance morale, puis physique et la maladie du colonel décrite par le narrateur

Programmes Bibliographie Contact Accès Elèves Etre juste, n'est-ce qu'obéir aux lois ? Introduction : I- Le risque de référer la justice à la justice naturelle : Kant, et Hobbes (objectivité versus subjectivité). A- Kant. B-Hobbes : le positivisme juridique. II- Ainsi (suite à l'exemple du tribunal de Nuremberg), si la justice légale ne doit pas être fondée sur la justice comme sentiment, n'appelle-t-elle pas un autre fondement que la stricte légalité? (Aristote) 1) Aristote, Ethique à Nicomaque 2)

Jacinthe Côté Texte argumentatif final La question à débattre : Existe-t-il des principes moraux universels Présenté à M. Nikola Tonich Philosophie et rationalité 340-103-04 Groupe : 108 Cegep de Saint-Jean-sur-Richelieu Le 10 décembre 2009 En 2009, nous vivons dans un monde où les valeurs varient d’un individu et d’une culture à l’autre. Par exemple la polygamie est valorisée dans une culture et dans une autre tout à fait inacceptable. De plus aujourd’hui l’individualisme et

comme la règle de conduite sociale dont le respect est assuré par l’autorité publique. Elle présente à la fois des caractères généraux et un caractère spécifiques qui va lui permettre de la distinguer des autres normes telles la religion ou encore la morale. I- La détermination de la règle de droit A) Un caractère obligatoire, général et abstrait de la règle de droit. Tout d’abord nous pouvons distinguer trois caractères de la règle de droit. La première est celle obligatoire, elle apparait

commun : la justice, mais la traitent sous différents aspects. En effet, le fabliau « Le Prud’homme qui sauva son compère » (texte 1) évoque la mauvaise foi d’un homme qui veut faire du tort, qui veut « mal et ennui » (texte 1,l.10) à celui qui l’a sauvé de la noyade. La justice est présentée ici comme n’étant pas capable de donner raison à un innocent et elle s’en remet à l’idée d’un « bouffon »(l.20). Dans la fable de Jean de la Fontaine (texte 2), une autre image de le justice est donnée

Le droit et la morale Introduction : On admet communément que le droit s’apparente à la morale. Mais n’est-ce pas erroné d’avoir une telle pensée ? En effet, le droit est défini comme étant l’ensemble des règles qui régissent les rapports sociaux entre les Hommes. C’est un phénomène social. En revanche la règle de morale est une règle de conduite sans pour autant être une règle de droit. Cependant, leur différence de nature n’empêche pas la règle de droit et la règle morale d’entretenir des

opinion sur le monde (la doxa). Soumettre les faits à l’examen de la pensée. * La politique et l’excellence de la morale Ouvertement sceptique à l’égard du régime démocratique athénien. La démocratie confie la politique à des hommes désignés par le suffrage d’une foule ignorante ou par les lois du hasard. La politique pour Socrate est un art. Elle exige une excellence morale. * La soumission aux lois de la cité  Socrate ne condamne pas le nomos (la loi civique établie par les hommes)

Est-il vrai que personne ne peut s'entendre sur ce qu'est la justice? Dans ce monde où nous vivons, la liberté d'expression, la raison et la morale sont toutes des facteurs qui modifient la pensée de l'homme. Comme chaque être humain a sa propre pensée, ils ont donc leur propre conception de la justice. La liberté d'expression amène à la discussion, car si tout le monde avait la même idée, on ne pourrait pas argumenter. Or, comment réussir à s'entendre sur une seule loi lorsque deux personnes

d'Electre, il s'occupe du jardin de palais. Il appartient à la même famille que le président. • Les Euménides. Petites filles au début de la pièce, elles grandissent de plusieurs années en quelques heures. Elles sont liées aux Dieux et à la justice. • Le mendiant. Personnage énigmatique : « Jamais on n'a vu de mendiant aussi parfait comme mendiant, aussi le bruit court que cela doit être un Dieu ». • la femme Narsès. Amie du mendiant. • La scène se passe entièrement devant le