Morale Et Justice

la cité-homme ? 1) La justice dans la cité. Le référent auquel il s'agit de comparer l'homme : la cité. Sur quoi fonder cette comparaison ? « La justice existe aussi d'une certaine manière pour la cité entière ». Les mêmes lettres se trouvent aussi écrites ailleurs. Quelle est cette justice dont il est question dans la cité ? Platon ne le précise pas dans ce texte. Mais il est permis de le supposer. Être juste : rendre à chacun ce qui lui appartient (Cf livre 1). La justice est une vertu certes,

est que l'individu es tsoumis à des obligations, tantot contraignante ou agréable. La citation d'Alex Weill permet de soulever un problème, les contraintes sociales de la règle de droit sont-elles des règles morales? Les caractères de la règle de droit (I) et son rapport avec la règle morale (II) sotn les deux axes que nous alons développer. I.Les caractères de la règle de conduite humaine: A.Le caractère obligatoire et universel La règle de droit est général est à vocation à s'appliquer à toutes

et de la justice. Sans force la justice est impuissante mais avec la force la justice est comme corrompue par un ordre de réalité qui lui est rarement instrumenté et qui se met souvent à servir des intérêts des agents de cette force au lieu de simplement servir l’intérêt commun et donc la justice. Toutefois ici Alain revient sur cette vision pessimiste et constate que bien souvent l’autorité extérieure garante de l’ordre public fonctionne comme un rappel de notre propre sens de la justice qui s’exerce

règle de droit est assortie de sanctions (caractère coercitif) exercées par l’Etat. Le droit pénal qui s’occupe de la détermination de ces sanctions et qui les fixent. Ce caractère obligatoire permet de l’opposer à d’autres règles de la société (morale, politesse, religieuse). 2- La règle de droit est générale La règle de droit est qui a vocation à s’appliquer à toutes les personnes qui forment le corps social sans distinction. C’est pour cela que les textes sont toujours formulés de manière

librement abandonnés à leurs pulsions, il n’y a ni droit ni morale. Le Droit est né de la nécessité de maintenir et de réguler les relations entre les Hommes. Le Droit crée un ensemble de règles, de lois, qui régule l’existence et les rapports sociaux de l’homme. La Morale quant à elle est un ensemble de règles, d’actions, de valeurs, donc producteur de normes ; ce système normatif est inhérent à l’ensemble des sociétés humaines. Les notions de morale et de droit ont une fin commune : L’application et

m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. 30 Je me dévouerai donc, s'il le faut: mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi: Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi; 35 Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien! Manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce un pêché? Non, non. Vous leur fîtes

l’Etat dans l’accès au bonheur.· Question de la valeur du bonheur par rapport à d’autres idéaux : le bien, la vérité.Problèmes : · Le bonheur est-il le but ultime de l’existence ou bien faut-il lui préférer la morale et la vérité ? · Le bonheur est-il le fait du hasard ou bien dépend-il seulement de la façon dont nous vivons les évènements ? · Le bonheur dépend-il de l’Etat ou bien

questions récurrentes, quant à l’égalité, la justice, la sûreté. Selon Aristote, la règle de droit « est meilleure que celle de n'importe quel individu » Le droit inique est un droit sans morale, et dépourvu de toute équité. Selon François Terré, le droit est « un ensemble de règles de conduite qui dans une société donné régissent les rapports entre les hommes ». Dans ce cas, le droit inique peut être considéré comme une « branche » de la morale ou de la justice. On peut donc se poser la question si

voir tout d'abord La haine du mal est-elle toujours bonne? Commencez par voir la distinction de Leibniz Leibniz, De la bonté des ouvrages de Dieu Voir aussi dans la même rubrique: Le texte de Leibniz et celui de Kant- le mal radical (ou mal moral). Vous avez à comprendre l'expression: le moindre mal et vous comprendrez pourquoi il y a un point d'interrogation: devons-nous accepter cette expression ou la mettre en question? => S'il s'agit d'un mal moindre (plus petit) qu'un autre mal,

Chapitre I: Les caractères généraux de la règle de droit. I) Le caractère général et impersonnel de la règle de droit. II ) La finalité de la règle de droit. A) Différences entre moral et droit. B) La recherche de la stabilité et de la sécurité. III) Le caractère obligatoire de la règle de droit. A) Les lois impératives et supplétives de volonté. B) Le critère de distinction. IV) Le caractère coercitif (contraignant) de la règle de droit. A) Les sanctions pénales. B) Les sanctions civiles