Morale Et Justice

Construction du portrait Construit en differentes parties qui suivent un plan traidtionnel → Une intro qui donne l'idée directrice « chien fils de louve » → Le passé de Javert (l.7 a 17) : carrière vocation → portrait physique ( l.17 à 29) → portrait morale ( l.29 à 52) → phrse de transition qui donne la suite vers le recit B. Un narrateur omniprésent Un savoir illimite sur le personnage Le narrateur connait tout de sa naissance, son raisonnement qui lui a mené a aller dans la police.... → verbe

certaines façon d’agir sous peine de sanction. il peut donc être comparer a autre système de régulation sociale. donc la moral , l’equiter , la religion peuvent être présenter comme des système normatifs . I ) la spécificité de la règle de droit 1. droit et morale : dans les société primitive droit et moral forme une seul notion. mais les romain ont très tôt distinguer les règles moral des rage juridique , ce qui permis au droit romain avoir la suprématie dans le domaine de la technique juridique. c'est

régulateur de la vie en société », il n’absorbe pas, loin s’en faut, toutes les relations entre les hommes. Il existe en effet d’autres types de règles de conduite en société, d’autres impératifs de comportement, comme les règles religieuses, morales, politiques, de courtoisie, de bienséance, de protocole, de savoir-vivre, d’honneur, d’éthique, de jeu, sportives…et ces différentes règles sont parfois en conflit avec le droit. L’existence de ce système normatif parallèle, qualifié de « nondroit

 Qu’est-ce qu’une peine juste ? La peine est la sanction contre un comportement incriminé. En ce qui concerne la justice, Maurice Chapelan en donne une définition pour le moins pessimiste : « La justice c’est l’injustice équitablement partagée ». Notons d’abord qu’il s’agira ici de réfléchir à la justice pénale, car il ne s’agit pas seulement de réparer à travers des peines pécuniaires comme dans le civil, mais très souvent d’emprisonner comme nous le verrons. La question est la

caractère "doux", son physique "faible", sa caractéristique morale "pacifique" (adverbe d'insistance, gradation, rythme ternaire). La pie représente le peuple (emploi du "nous"). B. Dont le pouvoir est sous contrôle Utilisation du passif, jeu des pronoms = le roi n'est pas maître de ses actions. Il est sous contrôle : "il en est dépossédé", le peuple a le pouvoir de condamner le roi (lexique de l'insatisfaction). C. Et qui rend justice lors d'une assemblée hebdomadaire Son assemblée est

du fondement du droit, c’est-à-dire la question du droit naturel ou du positivisme, c’est un vaste débat certain faisant repose tous le droit dur une sorte de droit naturel c’est-à-dire des bases anciennes faisant appel a des principes tel que la justice, l’équité, la liberté, l’égalité… d’autres font reposer le droit sur les règles qui existe a un moment donne et dans un Etat donné, on parle de positivisme parce que tous ce fonde sur ce droit positif applicable a un moment précis, les auteurs ce

droit” : les règles, les codes, permettent de canaliser l’activité de personnes qui se côtoient, d’assurer l’ordre au sein d’une société (= paix sociale) car “l’homme est un loup pour l’homme”. Dans les sociétés primitives, il s’agissait d’une justice privée, basée sur la vengeance. Le droit se construit selon les evolutions de la société : la loi du talion (“oeil pour oeil, dent pour dent”) est une première limitation à la vengeance, celle-ci devient proportionnée (ni + ni -); par la suite sont

2 : La politique criminelle / la justice au Moyen âge et sous l’ancien régime • La notion de politique criminelle • Définition d’une politique criminelle : Il s’agit d’un ensemble de procédés susceptible d’être proposé au législateur ou effectivement utilisé par celui-ci à un moment donnée, dans un pays donné pour combattre la criminalité. La politique criminelle est donc un art difficile, elle résulte d’un équilibre entre les mesures répressives et les mesures préventives (éducation, famille)

pourrait aussi déceler cette dimension chez Spinoza et certaines formes d'utilitarisme ne sont pas complètement absentes de la pensée d'Aristote. peut-être même faut-il accepter cette remarque de J.S. Mill : Tous les partisans de la morale a priori, pour peu qu'ils jugent nécessaire de présenter quelque argument, ne peuvent se dispenser d'avoir recours à des arguments utilitaristes. D'emblée, chez Jeremy Bentham par exemple, l'utilitarisme prend un tour qui l'éloigne du calcul

JUSTICE SOCIALE La justice sociale comme fondement de l'action socialeExemple: 3 enfants et une flute Dans ce cas-ci, les arguments qui fondent les positions des trois enfants divergent sur ce qui constitue l’avantage individuel sur les principes généraux qui doivent régir l’attribution des ressources Ces différences portent sur la façon de prendre des mesures sociales et sur le type d’institutions sociales qu’il convient de choisir et, par conséquent, sur les réalisations sociales qui