Morale Provisoire Descartes

sont elles-mêmes étroitement liées, chez Diderot, aux principes de sa philosophie. Éléments d’explication / Introduction au Supplément (1er temps) Le Supplément au Voyage de Bougainville commence in medias res, comme les autres contes moraux. Il faut le lire : o parallèlement au début du dialogue, dans Ceci n’est pas un conte : « Et vous concluez de là ? ». Un début paradoxal, qui se présente comme une conclusion : Diderot déjoue les topoï littéraires. o parallèlement au début

de l’insight (intuition restreinte à une seule signification). Attitude envers autrui caractérisée par un effort de compréhension intellectuelle de l’autre, excluant tout entraînement affectif personnel (sympathie ou antipathie) et tout jugement moral. Qualifie une attitude de compréhension de l’affectivité d’autrui, mais contrôlée pour rester objective. Cette transposition imaginative dans les pensées et sentiments de l’autre peut être plus ou moins complète. Elle se définit et surtout se mesure

transposition aux problèmes du droit et de la justice des grandes doctrines philosophiques. Elle se distingue d’ailleurs mal des branches de la philosophie qui portent sur des notions liées au droit, à un titre ou à un autre, comme la philosophie morale ou la philosophie politique. Cette définition est surtout revendiquée par des philosophes qui estiment que la philosophie du droit doit s’occuper du « droit nature » et qu’elle a pour tâche de traiter de la « nature humaine » universelle comme enracinement

fragment : une île, une espèce végétale … C’est donc toujours le récit d’une création : on rapporte comment quelque chose a été produit, a commencé à être »[1]. Le mythe diffère de la fable car il n’est pas construit pour contenir et élaborer une morale, il est sensé rester ouvert à toute interprétation. Il diffère également de l’allégorie et du symbole car il possède, en plus d’une forme descriptive, une forme narrative. Bien sûr le mythe contient des symboles et des allégories mais il est plus

. . . . 96 Freud - problématique 12 : L’erreur n’est-elle due qu’à l’ignorance ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 Bachelard - problématique 13 : L’opinion constitue-t-elle un obstacle à la connaissance ?. . . . . . . . . . . 98 Descartes - problématique 14 : Est-il nécessaire de douter pour connaître ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99 Nietzsche - problématique 15 : La vérité est-elle un concept nécessaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100 Diderot - problématique

que le sens du mot, de la « définition réelle », qui indique la nature de la réalité que le mot désigne. La définition nominale de l’atome se trouve dans un dictionnaire, sa définition réelle dans un traité de physique. 2. C’est ce que remarque Descartes à propos d’un livre d’Édouard Herbert intitulé De la vérité : « Il examine ce que c’est que la vérité ; et pour moi, je n’en ai jamais douté, me semblant que c’est une notion si transcendantalement claire, qu’il est impossible de l’ignorer : en effet

Pourquoi cette lenteur 1. Rectitude, rectilinéarité, « droit chemin » : on sait quel rôle ces valeurs — d'ailleurs aussi impliquées par celles de norme ou de règle - ont joué dans l'axiomatique de nombreuses méthodologies, en particulier celle de Descartes [cf. à ce sujet J. Derrida, « La langue et le discours de la méthode », dans Recherches sur la philosophie et le langage, n° 3, La philosophie dans sa langue, Université de Grenoble 2, 1983]. 14 Privilège. Titre justificatif et Remarques

naturelle ( représentation de l’homme qui se conclue par un déterminisme absolu) et autres point de vue, celui de la philosophie qui examine l’homme du point de vue de la loi morale, il obéit à un impératif catégorique qui est le fondement de sa liberté. Ainsi di Kant, tout homme a un coté déterminé mais à cause de la loi morale, il est entièrement libre et volontaire. Schopenhauer reprend l’idée = l’homme est entièrement déterminé dans le monde phénoménal mais il y a une dimension abyssal de l’homme

étude ordonnée. (rappel du texte) "Dans la science, les convictions n'ont pas droit de cité, voilà ce que l'on dit à juste titre: ce n'est que lorsqu'elles se décident à s'abaisser modestement au niveau d'une hypothèse, à adopter le point de vue provisoire d'un essai expérimental, que l'on peut leur accorder l'accès et même une certaine valeur à l'intérieur du domaine de la connaissance - avec cette restriction toutefois, de rester sous la surveillance policière de la méfiance. Mais si l'on y regarde

a initié un idéalisme jugé responsable d’être à l’origine de la pensée totalitaire. Idéalisme = idée selon laquelle tt le réel peut être ramenée à une seule idée. Il cherche une idée de la justice : la philo du droit est plus de la philo morale ou politique qu’une réflexion sur le droit. Postulat : univers = oeuvre d’une intelligence souveraine, idéale, absolue. Un grand architecte a construit un univers harmonieux, et il faut retrouver cette harmonie du cosmos dans le monde réel.