Moraliste

d’être censuré décide d’écrire Dom Juan . Il reprend un mythe qui parcourt toute l’Europe, un mythe bien connu du pub lic du XVIIème siècle. En cette période classique, règne de « l’honnête homme », le personnage espagnol excessif intéresse le moraliste qu’est Molière mais, non sans ambiguït é, le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiqu es qu’il dirige contre l’Eglise et contre la toute puissante Compagnie du

L'argumentation:La question de l'Homme Séquence 1 :Les moralistes du XVII Le projet littéraire du Duc de La Rochefoucauld est d'arracher le masque de l'hypocrisie. Dès l'avis aux lecteurs, le moraliste exprime la difficulté de la tâche : le portrait sans complaisance de la nature humaine court : « La fortune de ne pas plaire à tout le monde parce qu'on trouvera peut-être qu'il ressemble trop, et qu'il ne flatte pas assez. »Pour soutenir cette ambition, pour soulever le vole du mensonge La

métaphore de la balance (L.10) - Utilisation de « on », Valeur universelle  Madame du Chatelet est a la fois celle qui donne des conseils et celle qui conduit un raisonnement. - Détracteurs = Moraliste (L.3) elle ne s’adresse pas directement a eux mais elle les évoque (L.8) - Opposition entre les moralistes et les hommes (L.2) et (L.4 et 5) - Elle s’adresse aussi au malheureux. Présence de gradation (L.12) ● Stratégies argumentatives : - Structure Logique  1 er paragraphe, elle développe

SEPIETER Clément 1eS1 Écrit d'invention Sujet: Madame du Châtelet discute avec un adversaire, moraliste, aigri, un peu misanthrope, dans un salon parisien et propose l'amour comme source debonheur. En vous appuyant sur les textes vus dans la séquence mais aussi sur le polycopié ( Le Bonheur au XVIIIème siècle ) en plus de votre culture, imaginez la scène avec: _Les débats entre deuxpersonnages que tout oppose. _Les éventuelles réactions des autres personnes présentes pour à la fois argumenter

Mais ce parti-pris des « poètes maudits », obéissant à ce qu’on pourrait nommer une « esthétique immoraliste », s’oppose à une puissante tradition prônant la pureté morale de l'œuvre et de l'artiste. Subordonnant l’art à la morale, l’esthétique moraliste affirme que l’œuvre d’art a pour finalité principale de mettre en scène le beau afin d’élever moralement le spectateur ; le beau serait le moyen principal d’accéder au bien. Face à l’importance de cette tradition, peut-on dès lors considérer que

sa vie se confondit dans une large mesure avec son œuvre de dramaturge et de romancier. L'œuvre de Marivaux s'organise autour d'une question centrale, celle de la sincérité, développée tout au long de sa carrière de dramaturge, mais aussi de moraliste et de romancier. En une vingtaine d'années, il renouvela profondément le registre de la comédie, approfondissant sa réflexion sur les motifs de l'amour-propre, de la tromperie ou de l'imposture, dont il analysa les innombrables variations dans ses

Paradoxalement, les théoriciens de la contre-révolution (Joseph de Maistre, Louis-Gabriel de Bonald) se réclament eux aussi de Rousseau. Il était considéré par Arthur Schopenhauer comme le « plus grand des moralistes modernes ». Schopenhauer disait : « Ma théorie a pour elle l'autorité du plus grand des moralistes modernes : car tel est assurément le rang qui revient à J.-J. Rousseau, à celui qui a connu si à fond le cœur humain, à celui qui puisa sa sagesse, non dans des livres, mais dans la vie ; qui produisit

préjugés avec adresse », on peut penser aux œuvres de : -Montesquieu : qui utilise le ton de la plaisanterie dans les Lettres Persanes, mais aussi un tom moraliste dans l'Esprit des Lois. -Voltaire : qui varie tous les registres, l'ironie, le pathétique, le comique dans Candide, Zadig, son Dictionnaire philosophique. -Rousseau : qui se fait moraliste dans ses Discours, mais aussi dans les lettres de La Nouvelle Héloïse. Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique

sa vie se confondit dans une large mesure avec son śuvre de dramaturge et de romancier.     L'śuvre de Marivaux s'organise autour d'une question centrale, celle de la sincérité, développée tout au long de sa carričre de dramaturge, mais aussi de moraliste et de romancier. En une vingtaine d'années, il renouvela profondément le registre de la comédie, approfondissant sa réflexion sur les motifs de l'amour-propre, de la tromperie ou de l'imposture, dont il analysa les innombrables variations dans ses

Texte bac 16 – Le portrait de Pamphile « Des Grands », §50 IntroductionLa Bruyère est un célèbre moraliste du XVIIe siècle dont l’oeuvre s’inscrit dans le classicisme. Il a mis plus de 17 ans à rédiger ses Caractère (ou les mœurs de ce siècle) qu’il publie finalement en 1688.Dans son œuvre, LB dresse une série de portraits satiriques qui présentent des contre modèles pr la société classique portée vers les valeurs de mesure, de modération et de civilité.Il s’agit de la remarque 50 du livre IX «