Morphine

CALCUL DE DOSE N°3UE 4.4 S5Thérapeutiques et contribution au diagnostic médicalIntention pédagogique de la séquence :Cette séquence a pour finalité de permettre à l’apprenant de s’autoévaluer dans ses acquisitions de calculs de doses.Objectifs :L’apprenant sera capable :· D’analyser et de mettre en œuvre une prescription médicale· D’identifier son champ de responsabilitéMoyens :· TD 2h00 : Travail individuel d’exercices de calculs de doses le 01/12/2021.· TD 2h00 : Exploitation des exercices en tiers

se fixer à la place de celle-ci sur les récepteurs spécifiques. Selon les substances, elles ont 3 modes d'action sur lea neuromédiateurs : - certaines imitent les neuromédiateurs naturels et donc se substituent à eux dans les récepteurs : la morphine, par exemple, s'installe dans les récepteurs à endorphine, et la nicotine, dans les récepteurs à acétylcholine, - certaines augmentent la sécrétion d'un neuromédiateur naturel : la cocaïne, par exemple, augmente la présence de dopamine dans la synapse

(enképhaline, endorphine) ont un effet analgésique. En effet, ces neurotransmetteurs sont relâchés lors de douleurs trop intenses et annulent le message douloureux. Les opiacés et notamment l’héroïne est transformée en morphine dans le cerveau à l’aide d’enzymes. De plus la morphine est de constitution similaire à celle de l’endorphine et de l’enképhaline. De ce fait, cette molécule va se fixer sur les récepteurs à opioïdes endogènes et indiquer au cerveau que « tout va bien ». Seule la dopamine les

dires - Éruption cutané de la jambe droite liée à son artériopathie des jambes se manifestant par une plaie ouverte Problème potentiel : -risque d’effets indésirables (dépression respiratoire, constipation, nausées..) en lien avec la prise de morphines -risque de sentiment de solitude, puisqu’elle ne voit pas souvent sa famille -risque thromboembolique lié au vieillissement, surpoids l’hypercholestérolémie - risque d’hypoglycémie en lien avec son diabète Projet de soins du jour : - douleurs

formation devrait comprendre davantage de soins palliatifs. Pourtant avec la loi Leonetti, la priorité, c’est que le malade ne souffre pas. Les médecins sont donc tenus de délivrer des anti-douleurs, de la morphine par exemple, y compris s’il y a un risque de mort - car à forte dose la morphine peut être mortelle. C’est toute la nuance avec l’euthanasie : on ne tue pas, mais on ôte la douleur, au risque de tuer. Avec cette loi, on ne peut pas reprocher à un médecin d’avoir accéléré la mort du patient

d’agitation lié à la sédation se manifestant par des épisodes de toux avec signes de réveil consécutif (faciès crispé, mouvements des membres supérieurs, inconfort) Garder une sédation suffisante Administration des traitements: - Kétamine - Morphine Maintien des contentions poignets Surveillance des signes cliniques de réveil Vidange du contenu gastrique régulière par la SNG Administration de bolus de sédation + mise en place de Dexdor Risque de récidive de stridor avec paralysie des

TTT pour dormir. Elle dort avec la lumière.Elle stresse avant chaque réfection de pansement par peur des douleurs et ce,Malgré la morphine.Durant son séjour, madame H reste angoissée par ses douleurs de jambes lors desréfections de pansements. La morphine ne fait, selon elle, pas effet.Elle dort peu car elle n’arrive pas à se mettre au lit dû aux frottements de ses ulcèrescontre le lit.En discutant avec les infirmières elle arrive à être rassurée et plus confiante sur l’étatde ses ulcères.Elle espère

répond à nouveau 2. Je lui demande si elle pense que son traitement antalgique est efficace. Elle me réponds que oui. Que les bolus d'oxycodone sur sa deltec (pompe à morphine portable) et ses perfusions de perfalgan sont donc efficaces. A 14h, je viens poser son programme de perfusion et relever les valeurs de sa pompe à morphine. Mme M. manifeste les mêmes choses que dans la matinée : tristesse, amimie, fuite du regard, discours pauvre. Lors du relevé des valeurs de la pompe, je me rends compte

traitements de l’AVC ischémique et expliquez l’intérêt ? Anti agrégeant plaquettaire,/ Actimis, thromboletiques, fibrinolytique Définissez que sont les médicaments antagonistes ? Médicaments d’inhiber l’effet agoniste d’autres médicaments Narcan pour la morphine Anexate des vaso dilatateur salisilique pour les dolipranes flumucyle Antidote de l’héparine sulfate de potamide Quel est le médicament d’urgence dans l’arrêt cardiaque ? Adrénaline Processus infectieux dégénératives Quels sont les différentes

transmissions suivantes : · L’AS de jour sera en retard (enfant malade)· Madame Laurette a passé une nuit très agitée, elle a beaucoup souffert de sa cicatrice (EVA : 9/10). L’interne prévenu par téléphone, a augmenté les doses de morphine (voie sous-cutanée). La morphine a bien soulagé Madame Laurette, cependant, elle était plus agitée et confuse au cours de la nuit. · En raison d’une surcharge de travail (admission de 4 patients en urgence) l’IDE de nuit n’a pas eu le temps de préparer tous les patients