Mort Shuman

Dans ce roman, la fantaisie est omniprésente. En effet ce texte fait preuve d’originalité, d’imagination et d’excentricité. La fantaisie est entièrement consacrée au fait que les animaux ont toutes les caractéristiques humaines. Les animaux sont tantot défavorisés et reprennent les caractéristiques d’un « animal » et tantot sont favorisés et donc humanisés. D’un coté , les animaux sont défavorisés, ils sont décrits de manières péjoratives. On peut donc citer la stupidité exagérée des moutons qui

colère », un peu plus loin nous avons « j'étouffais en criant tout ceci ». Pis encore, il y a ce manque de respect, cette violence sans pitié pour cet envoyé de dieu qui tente de discuter « il n'était sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort » (ligne 11), ici, nous sommes en présence de la pensée athée que nous développerons un peu plus loin. A partir de la ligne 11, il y a cette réaffirmation de soi dans le fil conducteur de ce long monologue qui marque d'une certaine façon l'apogée

De l’importance de la ponctuation ➢ Pour chaque groupe de phrases, répondez à la question et expliquez la différence de sens. 1a) Le président n’est pas mort, comme on l’a dit. 1b) Le président n’est pas mort comme on l’a dit. ➢ Le président est-il mort ? 2a) Tu l’aimes tant, qu’il ne te trompe pas. 2b) Tu l’aimes tant qu’il ne te trompe pas. ➢ Ton mari te trompe-t-il ? 3a) Vous ne serez pas payés, comme prévu. 3b) Vous ne serez pas payés comme prévu. ➢ Serez-vous payés 

hostile par ses conditions météorologiques d) descente en enfer / le fantastique « un chemin creux s’enfonçait. Tout disparut » le champ lexical du feu évoque l’enfer : « feux rouges, trois brasiers brûlant » « feux ». Evocation de la mort : « ciel mort » (fantastique) Indices du fantastique : « fumeuses » « silhouette » « apparition fantastique » « fumée » Personnification de la fosse : « une seule voix montait, la respiration grosse et longue » III Le personnage d'Etienne a) classe

volonté Le but de la profession selon V. Henderson • Ce but est: – de maintenir ou rétablir l’indépendance de l’individu de façon à ce qu’il satisfasse luimême ses besoins fondamentaux. – ou, dans le cas de maladie incurable, lui procurer une mort paisible. LES 14 BESOINS FONDAMENTAUX La cible selon V. Henderson • C’est l’individu comme entité ayant 14 besoins fondamentaux (non hiérarchisés) 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. respirer Boire et manger Éliminer Se mouvoir

lie à demeurer au premier objet18 qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne? La belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse, à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux: non, non, la constance n'est bonne que pour des ridicules, toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober

angoissants inhérents à l’existence même ; « metu » en fin de vers met plutôt l’accent sur toutes les sources de peur, et le premier livre de Lucrèce en a stigmatisé l’essentiel : la peur de la mort, liée à la crainte des dieux, double peur dont le sage épicurien (qui sait que l’homme ne dépend pas des dieux, et que la mort n’est suivie de rien) est dégagé. Or pour Epicure, le plaisir est essentiellement l’absence de toute douleur physique et morale. 2-2 : conséquences pour son mode de vie Puisque le

en transpiration et dans l’église on attrape un chaud et froid.» (p.30, l.2) Cette phrase montre à quel point l’absence d’issu est présente. En effet, le lien avec la mort est très intéressant puisqu’il donne à cette dernière l’image du soleil brûlant auquel on ne peut échapper, tout comme nous ne pouvons trouver d’issu devant la mort. Ainsi Camus dessine bien les extrêmes de la vie en utilisant les effets de l’élément du soleil chaud et agréable sur Meursault dans les bons moments alors qu’à l’ opposé

Devrions-nous profiter du moment présent ? La société dans laquelle nous vivons aujourd’hui nous propulse vers l’avenir à une vitesse folle. La plupart du temps, nous nous levons, mangeons, allons au travail, revenons à la maison, mangeons et nous couchons pour finalement refaire la même chose le lendemain. On pense trop souvent à ce que nous allons faire plus tard. Cependant, devrions-nous profiter du moment présent ? Je me suis bien souvent posé cette question. Cette question me tient particulièrement

liant libidinalement les individus), il doit y avoir une autre pulsion, opposée à elle, qui tend à dissoudre ces unités : la pulsion de mort. Cette pulsion destructrice est au service de l’Eros (elle détruit autre chose que soi). La culture est un procès au service de l’Eros. À ce programme s’oppose la pulsion destructrice, rejeton principal de la pulsion de mort (Thanatos). Le développement de la culture est donc le combat vital de l’espèce humaine (à partir d’un certain événement historique en