Mort Théâtre Pathétique

Lecture analytique 1 : Camus, Le malentendu : acte III, sc. 3 Introduction Présentation de l'auteur : Albert Camus Auteur contemporain XX e s. / genre littéraire : roman, essai, théâtre, / mouvement littéraire : existentialisme ac J.P. Sartre / Pp. Œuvres : L'étranger (1942) & Le mythe de Sisyphe (1942) / Engagement : lutte contre la guerre + bêtise humaine Présentation de l’œuvre : Le malentendu (1944) sujet : absurdité de la condition humaine. Histoire de Jan un riche voyageur tué

identité à celle qu’il aime et se donne la mort. Avant de mourir, il demande à la Reine son pardon. Intransigeante au départ, elle finit par le lui accorder. Le commentaire : Problématique : en quoi cette scène de dénouement est-elle particulièrement émouvante ? Axes de lecture : un dénouement émouvant dans la mesure où : 1. elle associe étroitement les deux thèmes de l’amour et de la mort ; 2. les registres tragique et pathétique mettent en évidence l’amour impossible

personnage théâtral afin de s'interroger sur la condition humaine. Ainsi, Albert Camus,écrivain français du XXè , fait transparaitre le sentiment de l'absurdité du destin humain éprouvé à la suite du choc de la Seconde Guerre Mondiale dans sa pièce de théâtre « Caligula ». Dans cette scène finale, le personnage éponyme se retrouve face à son destin, de quelle manière à travers une scène tragique Camus rend-il compte de la dureté de se retrouver face à son destin ? Dans un premier temps temps nous étudierons

Mise en scène ». En confrontant ces éléments avec les documents proposés par les pages « Repères », ils pourront s’interroger sur l’évolution des représentations théâtrales (choix des costumes, décors, accessoires). SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre » du XVIIe siècle à nos jours • Pierre Corneille, L’Illusion comique (p.  150 ES/S et Techno / p. 152 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Maîtres et valets dans la comédie du XVIIIe siècle • Alain-René Lesage, Turcaret (p.  170 ES/S et Techno / p. 172

phénomène social: on ne rit pas seul mais en groupe. C'est pourquoi le théâtre, divertissement social et collectif par excellence, accorde depuis la plus haute Antiquité - avec les comédies d'Aristophane par exemple - tant de place au comique. Auteurs, metteurs en scène, acteurs «jouent» des aspects comiques de leur création avec des intentions variées. Le comique au théâtre - et sur scène - répond d'abord au premier objectif du théâtre qui est de divertir le spectateur. Mais il remplit aussi sur scène

romantique dans ce drame ? I : Un dialogue pathétique  A] L’émotion • forte présence de modalité exclamative + interjections  « Hélas ! » • rimes riches : « tremble / ensemble » ; « moitié / pitié » • rimes suivies : jeu de versification plus simple qu’avec Corneille ; phrases ne suivent pas le rythme de l’alexandrin ; groupe de mots sont coupés en plein milieu (10)  c’est un rejet • phrases disloquées, fragmentées B] Le pathétique • didascalies très pathétiques «  HERNANI, tombant à ses genoux » II :

est éminemment moderne et renouvelle profondément le genre romanesque. -Annonce du plan : Nous nous demanderons comment le narrateur s'y prend pour émouvoir le lecteur  en étudiant d'abord le genre nouveau du monologue intérieur puis le registre pathétique. I) Le monologue intérieur : un genre nouveau -les caractéristiques d’un incipit : *la présentation du personnage principal : C’est un homme assez « jeune », qui est condamné et désespéré. Le fait qu’il reste anonyme, qu’on en sache peu sur

registres qui visent à émouvoir le lecteur ALe registre dramatique, le registre tragique et le registre pathétique 1Le registre dramatique Le registre dramatique est caractérisé par des actions qui s'enchainent et des péripéties qui se succèdent pour créer un rythme haletant. Comme au théâtre, le lecteur est sous tension : il attend le prochain rebondissement. Ces actions peuvent être la mort, l'épidémie, la guerre, l'adultère, etc. Pour reconnaître le registre dramatique, on peut identifier dans

dramatique » du récit renvoyait autant à l’action romanesque qu’à l’acception contemporaine de pathétique. ) Le corpus est constitué de quatre extraits romanesques qui, tous, relatent la confrontation d’un personnage avec la mort. Dans le premier tiré de Pauline, Dumas rapporte l’affrontement du comte Horace de Beuzeval avec une mère tigresse. Dans le second issu de la Débâcle, Zola nous fait vivre la mort du soldat Rochas. Le troisième, à la fin de la Condition Humaine de Malraux, retrace le suicide

CM n°11 : Voltaire/Shakespeare, le grand malentendu La mort de César: hommage ou trahison? Petitesse de la pièce (III actes) : volonté de provocation de Voltaire. Dénouement de Cinna : le dénouement de la pièce la rapproche d’une tragicomédie. Mais elle reste une tragédie, car l’enjeu reste politique et collectif. A la fin de la pièce, tous les conjurés « s’agenouillent » devant Auguste, et la pièce s’achève sur une sorte d’apothéose, et Livie prononce une sorte de prophétie : elle annonce