Mozabites

plusieurs régions du monde musulman. Ils sont principalement à Oman, où ils représentent environ 75% de la population. L'ibadisme est la confession de la dynastie régnante. On trouve également des communautés ibadites à Mzab en (Algérie) (voir Mozabites), sur l'île de Djerba (Tunisie), sur l'île de Zanzibar en Tanzanie et dans les montagnes de Nafousa en Libye. ------------------------------------------------- Quelques personnalités ibadites[modifier] * Jabir ibn Zaid al-Azdi: originaire d'Oman

appris à l’école[7] . Les enseignements de l’architecture cairote et nubienne traditionnelle guideront l’Egyptien dans un travail de réappropriation des valeurs architecturales autochtones, tout comme la découverte de l’architecture algéroise et mozabite ouvrira les yeux de Ravéreau sur la vérité, la justesse et la pertinence des savoir-faire issus de l’expérience de l’oasis saharienne. Sensibles tous deux avant d’autres au vaste problème de l’adéquation du bâti à son environnement, également critiques

profonde et dans les zones rurales. 2. Le M’zab Le M’ZAB est une région de l’Algérie qui se situe à 600 Km au sud d’Alger. Un pays composé de sept oasis-villes. Les habitants berbérophones sont appelés Mozabites. Ils représentent 60 % du total des habitants, les arabophones 40 %. Les Mozabites sont musulmans de la branche Ibadites. Il y existe, deux assemblées, au niveau de la région, l’une religieuse appelé conseil « Ammi Said » et l’autre laïque du nom d’ « al-Kourti ». Il existe, à tous

Kabyle : est parlé principalement en Kabylie (région du centre-est de l'Algérie), Le nombre de locuteurs est estimé à plus de 5 millions en Kabylie et dans l'Algérois, c'est la première langue au nombre de locuteurs berbérophones dans le pays. • Mozabite : c'est la langue vernaculaire dans la vallée du Mzab (au sud de l'Atlas saharien).  : est parlé dans l'extrême sud du pays Touareg ( Français L'Algérie, bien que non membre de l'Organisation internationale de la francophonie, est régulièrement

Même si Ravéreau prend constamment ses distances à l’égard de Le Corbusier, on ne peut qu’être frappé par la proximité de certains de leurs centres d’intérêt. La fascination de Ravéreau pour les surfaces dépouillées et les courbes de l’architecture mozabite fait songer au regard porté par Le Corbusier sur la Méditerranée et son habitat vernaculaire ¤. Certains passages du livre Le M’Zab, une leçon d’architecture semblent même faire écho aux textes de Le Corbusier prenant la défense de cette irrégularité

l'extérieur de Biskra, une rafale de fusil-mitrailleur : un tirailleur sénégalais, caporal-chef de la patrouille, fut tué. A la suite de cette embuscade, une compagnie de tirailleurs sénégalais se précipita au centre de Biskra, incendia le quartier mozabite et y fit 35 morts. Puis ils se postèrent autour d'une palmeraie proche de Biskra et tuèrent, au dire d'un de mes camarades affecté à cette compagnie africaine, 325 civils. Leurs officiers européens, au témoignage d'un de nos camarades servant au

est faible dans les deserts chauds. Par contre les déserts froids sont des territoires complètement inhabités . Ex : Les Bédoins D' Egypte, Les Touaregs du Mali et du Niger, Bindibus (Australie), Bochimans (Kalahari), Algérie (Chaouia, Kabyles, Mozabite, Touareg), les aborigènes d'Australie. 3) Les activités modernes L’extension des cultures dans le désert dépend des possibilités d’irrigation, et donc du pompage de l’eau qui nécessite aujourd'hui des appareils électriques. Il pose donc le problème

ethnolinguistiques sont les Berbères au Maghreb souvent arabisés et islamisés, et les Kurdes principalement en Irak. Ces derniers sont en principe de religion musulmane de la branche Sunnite. Toutefois, il existe quelques Berbères non sunnites appelés les Mozabites en Algérie. De même, en Irak on trouve quelques groupes Kurdes chiites ou chrétiens. II. Les minorités religieuses Les minorités ethno-linguistiques sont enrichies par l’abondance des communautés religieuse. Les minorités au sein de l'Islam

massif du Boutaleb, le Bellezma, les Hautes plaines constantinoises et les monts des Nemenchas) ; * Les Mzabites : sont des Berbères vivant principalement dans la région du Mzab algérien. La plupart sont ibadites, et parlent une variante amazighe mozabite. Ils constituent actuellement 60 % des habitants de la vallée du Mzab ; * Et les Touaregs : sont un peuple de Berbères nomades vivant dans le désert. Leur langue est le tamajaq ou tamasheq ou encore tamahaq selon les régions. Ils utilisent un

au bénéfice des citadins. Nous trouvons l'ensemble de ces traits dans certains cas isolés de communautés urbaines maghrébines, essentiellement les villes du M'zab et à un moindre degré les oasis et les communautés du Tafilelt. 1 - Les cités mozabites (4) sont des communautés urbaines relativement autonomes vis-à-vis du pouvoir central. Une autonomie s'explique d'ailleurs moins par l'appartenance des populations du M'zab à une secte islamique particulière (ibadisme) que par la distance géographique