Muezzin

brève, reste un personnage-clé dans le roman. Elle a fait de Belqiss , une femme révoltée qui s’oppose aux dogmes. Elle transgresse les règles de la société et de la religion en osant chanter l’appel à la prière à la place du muezzin. Elle risque la peine de mort par lapidation, mais arrive avec intelligence à repousser la date fatidique de sa mise à mort. « Apparemment, elle a chanté́ l’adhan, l’appel à la prière, et c’est interdit aux femmes bien sûr. Je

dit à voix basse :          L’os est là.     MOR LAM, de même     S’est-il amolli ?     AWA, de même              Il s’est amolli.          Mor Lam, retourne s’asseoir sur la natte. Awa sur son tabouret.          Un temps, silence, puis appel du muezzin pour la prière de Tisbar.         RIDEAU             SCENE III     MOR LAM et MOUSSA MBAYE , assis sur les nattes. De dos AWA, derrière eux. Ils achèvent la prière.              Assalamou Aleykoum !     MOUSSA MBAYE, égrène son chapelet     MOR LAM

musulmans prient. Le sol est toujours recouvert de tapis afin de purifier le lieu. * La fontaine : indispensable dans une mosquée, elle permet au croyant de pratiquer ses ablutions rituelles avant la prière. * Le minaret : grande tour, d'où le muezzin lance l'appel à la prière. Le minaret sert surtout à marquer l'emplacement d'un sanctuaire, car on le voit de loin. Sa forme varie selon les régions et les époques. * Le mihrab : élément le plus important du bâtiment, car il indique la Qibla,

a vu Leila retournant du hammam, donne naissance à un comique assez particulier. Le grand prêcheur, l’homme de la foi, doté de la plus haute notoriété religieuse qui montre aux gens le Droit Chemin, va succomber facilement à l’impureté. [...] Le muezzin de Bab Aylan venait de lancer son appel à alâcha, l’ultime prière du jour, vibrant de décibels. Accroupi près de l’orifice d’écoulement situé au fond de la cour, Cheikh faisait ses ablutions mineures. Il en était au rinçage de la bouche quand Leila

les djnouns sont proches de l'homme car ayant les mêmes besoins. Ils mangent, boivent, procréent et meurent, ils forment des familles, des communautés et des sociétés entières. Leurs activités sont nocturnes, se terminant à l'aube avec l'appel du muezzin à la prière.Au Maroc comme ailleurs, tout un folklore qui entoure les djnouns a surgi. Par exemple, ils sont censés habiter des zones particulières. Ils aiment l'humidité et ont tendance à habiter sous les arbres, dans les toilettes et les vieilles

législation ont été mises en œuvre après la mort de Mahomet et sont considérées comme illicites (haram) par d'autres groupes de l'islam organisés en rite ou madhhab. Clergé[modifier | modifier le code] La hiérarchie musulmane est la suivante : Le muezzin fait l'appel à la prière. L'imam dirige la prière. Le recteur de la mosquée dirige la mosquée. Le cheikh est un sage, un guide. Le mufti est l'interprète de la loi. L'ouléma, ʿâlim (عالِم), est le gardien de la tradition musulmane et homme de référence

des femmes et des milieux favorisés » (au même niveau que les contes des Milles et unes nuits). • Sidi Bilal Le peuple Gnâwa voit ses origines dans la société musulmane avec Sidi Bilal, un suivant du prophète, le premier muezzin de l’Histoire. Son implication permet de justifier entre autres le caractère musical des confréries nègres et de légitimer leur place dans la société. En effet, de nombreux mythes associés à Bilal célèbrent son aide au prophète dans les

murs; sur la partie supérieure de ces murs sont posés les plafonds quelquefois très richement décorés. Les mosquées sont généralement accompagnées de minarets ou tours élevées du haut desquelles, à plusieurs reprises dans la journée, la voix aiguë du muezzin appelle les croyants à la prière. (Les premiers minarets furent construits par Wâlid.) Ces minarets qui forment une des principales caractéristiques de l'architecture musulmane affectent une assez grande variété de formes pour qu'on puisse, d'après

d’auteurs, tout usage commercial est à cet effet banni. Pour être valable, l’appel doit être effectué par un homme musulman jouissant ses facultés mentales. L’appel à la prière effectué par une femme est blâmable. Il est préférable que le muezzin soit un homme qui ait de la retenue (masrur) ayant une bonne notion de l’heure ayant une voix belle et forte, et soit en état de pureté (ablution) qu’il se mette sur un endroit assez élevé et face à l’Est. Cependant en prononçant les « haya alas

se rendre une fois dans sa vie en pèlerinage à la Mecque, la ville sainte en Arabie, faire l'aumône donc verser un impôt religieux aux pauvres ( la zakat). Le centre du culte musulman est la mosquée: c'est du haut du minaret que le muezzin appelle à la prière 5 fois par jour et c'est en direction de la Mecque, indiquée par le mirhab de la salle de prières, que se déroule la prière en commun du vendredi. 3: TROIS TYPES DE SOCIETE: 3.1: Le renouveau économique de l'Occident