Multinationale Loreal

du monde et leurs actions se mesurent à l’échelle mondiale, mettant en relation par des flux, des décisions… plusieurs parties du monde entre elles. • Les FMN sont les plus représentatives de cette tendance. Une entreprise comme Ford – firme multinationale automobile américaine – possède des unités de productions sur tous les continents (qui sont souvent le résultat de délocalisations depuis les Etats-Unis vers des pays émergents). De plus, lorsque la direction (basée à Dearborn, dans la région

pour le marché mondial (filiales-ateliers). Dans le premier cas, l'objectif est rapprocher le lieu de production de sa clientèle, dans le deuxième cas l'objectif est de bénéficier des conditions locales avantageuses - c - Devenir une firme multinationale Critères qui distinguent une FMN : • des actionnaires de nationalités différentes • état-major, dirigeants de nationalités différentes • stratégie conçue à l'échelle du monde Les stratégies de ces firmes obéissent à plusieurs

Gouvernementales, ces dernières sont l'objet de nombreuses critiques venant de toutes parts sur leur action dans les pays du Tiers-Monde. 1) L’ONG/ multinationale : un accord a priori contradictoire. Il est même possible d’aller plus loin en mettant en valeur le fait que de plus en plus, les ONG concluent des partenariats avec des entreprises, des multinationales, alors que les ONG sont par définition des organisations aux antipodes de ce genre d’établissements. Néanmoins, bien que beaucoup louent ce

centralisation-décentralisation : Toutes les entreprises internationalisées ont besoin de faire preuve d’efficacité et de capacités de réaction aux changements intervenant à l’échelle globale ou locale. Décentralisation • Ce principe est le propre des entreprises multinationales qui construisent une présence locale forte par une sensibilisation et une réaction aux différences nationales. Centralisation • Elle a la faveur d’une part des entreprises internationales qui exploitent le savoir-faire de la maison mère par

incidences à terme de l'expansion des IDE (Investissement direct à l'étranger), particulièrement avec les pays émergents et à bas coûts salariaux relatifs. L'explosion des IDE est liée à la mondialisation croissante de l'économie : les firmes multinationales (FMN) raisonnent de plus en plus dans une logique de stratégie à l'échelle du globe. Ainsi, Le phénomène de délocalisation est perçu comme une menace pour l'emploi du pays hôte et surtout pour les emplois non qualifiés. Se posent alors deux problèmes

qui est l'organisme chargé d'élaborer les normes comptables de tous les secteurs d'activité, sous forme de règlements au vu des avis et recommandations du CNC. Cependant l’évolution des échanges internationaux et le développement des firmes multinationales amène les normes comptables nationales à s’adapter aux normes internationales afin de comparer les états financiers des entreprises. Ce sera par l’adoption de la Communauté Européenne (C.E) en juin 2002 que les normes IFR (International Financial

d’entreprises moyennes, mais aussi de petites entreprises, particulièrement dans les secteurs de hautes technologies ». Par conséquent, ce vaste mouvement d’internationalisation des facteurs de production ne concerne plus uniquement les firmes multinationales. Autre fait nouveau, on observe de plus en plus une internationalisation de la R&D se traduisant par l’élaboration de stratégies internationale en matière de localisation de ces activités. Mais à la différence des activités de production, les

la globalisation ou mondialisation. Les entreprises multinationales sont les acteurs principaux de cette internationalisation, car principal vecteur de propagation des investissements internationaux et du progrès technique dans le monde. Les firmes multinationales sont-elles-mêmes prises dans un mouvement d’évolution qui les transforme sans cesse. I/ Les firmes multinationales A) Définition : Pour W. Andreff, une multinationale se définit comme « toute firme dont le capital est pris

l’Université Paris-Dauphine, Charles-Albert Michalet a entre autres travaillé plusieurs années au Centre sur les transnationales des Nations unies, puis au Foreign Investment Advisory Service de la Banque mondiale. Il était spécialiste des firmes multinationales et de la promotion des investissements directs. Son ouvrage Qu’est ce que la mondialisation ? est l’une de ces dernières œuvre qui sera ensuite complété par : Mondialisation, la grande rupture .Il met en évidence que la mondialisation est un phénomène

villes monde », sont à bien des égards l'ultime frontière. En effet, sur le plan économique, ce sont elles qui concentrent les activités les plus importantes : c'est à Londres, New York, Paris, Shanghai que se concentrent les sièges des firmes multinationales qui prennent des décisions transcendant sans aucun doute les frontières étatiques. De même que c'est là que l'on fabrique une nouvelle culture, détachée des réalités nationales compte tenu du brassage qui s'y opère : on peut prendre l'exemple