Multinationalisation Des Firmes

| |3.4.1 De l'« économie-monde » à l'économie mondiale | |3.4.2 Multinationalisation des entreprises | |4 Vers un « capitalisme cognitif » ?

paix, propice aux affaires pr les échanges: cycle hégémonique qui est une puissance émergente qui va bouleverser les règles de production mondiale et s'imposer. CHAPITRE I : LES CARACTERISTIQUES DE LA MONDIALISATION ACTUELLE Avt, on parlait de firmes multinationales. En anglais, globalisation. En français, mondialisation. 1. Clarification conceptuelle a. Origines de la notion • Terme récent : 90's notamment dû à la disparition de l'union soviétique. Occident seulement. Les multinationales

multinationale repose sur l’organisation de flux d’information permettant de réguler d’aval en amont les flux physiques de biens et de services. Compte tenu des contraintes du marché et de la forte concurrence du marché, les firmes multinationales(CHOCOCAM) cherchent à augmenter leur efficience et leur efficacité caractérisées par la disponibilité de leurs produits, la fiabilité et la rapidité des délais, le respect des dates limites de consommations. Au regard de cela, elles

Etats doivent veiller à promouvoir le libre-échange : dans le domaine des échanges de biens et services, |7. Internationalisation des échanges et mondialisation. | |favoriser la multinationalisation des firmes, et l’ouverture aux flux de capitaux. Les barrières protectionnistes|-Les Etats doivent mettre en œuvre des barrières protectionnistes lorsque c’est nécessaire (industries dans | |doivent être levées en vertu des théories classiques

Les stratégies de croissance | Définition | La croissance correspond au cours du temps, à l’↑ de critères quantifiables (CA, effectifs, pdct°, K).Elle est interne s’il s’agit d’un DVL endogène des ressources de l’£ ou externe si acquisitions de firmes. | Stratégies d’acquisition | Les motivations des fusions et acquisitions (Fusac) : elles permettent d’acquérir rapidement les compétences nécessaires un nouveau marché, la taille critique, de se libérer de la dépendance envers le cycle de vie dans

(l’ouverture multilatérale et l’intégration régionale) que par des progrès techniques (la baisse des coûts de transport et de transmission de l’information). S’il y a mondialisation, ce phénomène s’inscrit tout autant dans l’activité à l’étranger des firmes multinationales que dans les échanges proprement dits. Les échanges progressent plus vite que la production Le « Grand XIXéme siècle » que l’histoire économique clôt avec la première guerre mondiale, a été marqué par un développement rapide du

le coût du capital et la prise en compte du risque des investissements à l'étranger dans ce coût. 1) Les facteurs déterminant le coût du capital Le coût du capital est fonction de plusieurs facteurs. 1°la taille de l'entreprise Les grandes firmes multinationales ont la possibilité d'accès baux marchés internationaux de capitaux et obtiennent sur ces marchés des capitaux à des coûts plus bas que sur les marchés. 2°le recours au marché local Les filiales peuvent recourir au marché local

spécifiques aux entreprises. Dans le domaine des services aux entreprises, la pression de la demande professionnelle oriente plutôt les firmes vers des prestations plus « sur mesure » et plus diversifiées. Cette tendance, vérifiée dans notre échantillon, s’accompagne d’un effort très net de standardisation au niveau des procédures utilisées qui permet sans doute aux firmes concernées de concilier le coût de cette stratégie avec d’autres impératifs : se différencier de la concurrence et assurer un niveau

entreprises, sans fusionner avec d'autres entreprises, ou soit par opposition faire le choix d'une croissance externe : fusion, absorptions. L'entreprise doit aussi faire un autre choix : la stratégie d'activité  (diversification, spécialisation, multinationalisation, impartition ( externalisation d'activité) -une étape de déclin (ou menacé par un déclin et su rebondir, le déclin n'est pas inévitable) :en pratique il peut prendre deux formes : la forme tragique c'est à dire une cessation d'activité donc

Bilkey et Tesar ; Cavusgil ; Czinkota ; Ondrak et Saks ; Hermel ; Sallena ; Guilhon A.) qui rejoignent ce paradigme pour appréhender l'international. D'autres auteurs voient l'internationalisation comme un processus d'incrémentation dans le sens où les firmes procèdent graduellement à l'acquisition, à l'intégration, à l'utilisation de connaissances sur les marchés et les activités internationales et s'engagent successivement par étapes sur différents marchés étrangers. Globalement, les modèles proposés