Musée des beaux-arts de Reims

des thèmes que dans le traitement, avec des oeuvres comme La Valse (Paris, Musée Rodin) ou La Petite Châtelaine (Paris, Musée Rodin). Cette mise à distance va jusqu'à la rupture définitive en 1898. Blessée et désorientée, Camille Claudel voue alors à Rodin un amour-haine qui la mènera à la paranoïa et l'enfermement psychiatrique. La rupture est narrativisée dans l'oeuvre à juste titre célèbre qu'est l'Age mûr.(Paris, Musée d'Orsay). Elle s'installe alors 19 quai Bourbon et poursuit sa quête artistique

NUSSBAUM (1904 – 1944) Présentation de l’exposition Du 22 septembre 2010 au 23 janvier 2011, le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente la première rétrospective en Europe, en dehors d’Allemagne, de l’œuvre du peintre Felix Nussbaum. A travers 40 peintures et 19 œuvres sur papier, elle rassemble ses œuvres les plus emblématiques. Cette exposition est réalisée en partenariat avec la Felix- Nussbaum-Haus, musée monographique que sa ville natale – Osnabrück en Basse-Saxe – lui a consacré. Bénéficiant

question de grand intérêt. Le développement économique de la Chine remet en cause les traditions et les arts populaires, particulièrement dans les régions de l'intérieur. De nombreuses formes de la culture, telles que la broderie ou le théâtre, sont en train de disparaître2. Sommaire  [masquer]  * 1 Activités physiques * 2 Architecture * 3 Artisanat et industrie * 4 Arts visuels * 5 Art théâtral * 6 Télévision et cinéma * 7 Cuisine et gastronomie *

culturels» et 7 catégories pour les lieux «non culturels» : Lieux culturels Edifices religieux (R) Châteaux et architectures civiles remarquables (C) Citadelles, forteresses et architectures militaires (F) Sites et musées archéologiques (A) Musées des beaux arts (M) Musées et sites historiques (H) Ecomusées et musées d'art et tradition populaire (E) Muséums et musées d'histoire naturelle (N) Musées thématiques (Th) Lieux non-culturels Parcs récréatifs et bases de loisirs (P) Parcs animaliers (zoos et aquariums)

------------------------------------------------- Biographie Portrait de Colbert en tenue de l'ordre du Saint-Esprit, par Claude Lefebvre (1666), musée du château de Versailles Fils aîné de Nicolas Colbert, marchand drapier1, et Mariane Pussort, Jean-Baptiste Colbert appartient à une famille de marchands et banquiers champenoisde la cité de Reims se disant descendants de nobles écossais. ( Noblesse peu probable : il est de pratique courante à l’époque chez les roturiers de se faire valoir en s’inventant

classicisme n’est donc pas toujours facile à observer car on peut retrouver des caractères des deux styles dans les mêmes œuvres. Les historiens étrangers nomment d’ailleurs « baroque français » notre classicisme et le tableau de Jouvenet du musée des Beaux-arts de Reims est l’œuvre d’un peintre formé par les artistes classiques, Poussin et Le Brun, bien qu’elle soit « baroquisante ». Notons que le style rocaille ou rococo, inventé à la cour de Louis XV et issu de l’art baroque, envahit toutes les cours

issu d’une famille qui tient son nom de la ville de Condorcet dans le Dauphiné dont elle était simplement originaire. A la mort de son père alors que Condorcet est encore très jeune, sa mère étant « voué à Dieu » l’envoi dans un collège de jésuites à Reims avant d’intégrer le collège de Navarre à Paris où il se montre très brillant surtout en mathématiques. Il est ainsi remarqué par D’Alembert qui le prend comme élève particulier. Condorcet se spécialise ensuite dans les mathématiques et édite un premier

Le mouvement moderne Page 9 et 10 : Annexes Le style Art-déco L’art-déco est un mouvement apparu au cours des années 1910 qui s’est épanouie dans les années 1920 pour disparaître à partir de 1930. Ce style à beaucoup était prisé pour les arts décoratifs, l’architecture, le design, la mode, les costumes, mais aussi sous toutes les formes d’arts plastiques. Ce style a eu une diffusion mondiale, il a touché principalement la France, la Belgique ainsi que tous les pays anglo-saxon tel que le

LA PLACE DES FEMMES DANS LES ARTS VISUELS CONTEMPORAINS : INVISIBILITE DE L’INVISIBILITE, L’EXEMPLE DU DEPARTEMENT DE LOIRE ATLANTIQUE Sophie Faÿ Novembre 2008 Université Paris III Sorbonne Nouvelle Université Paris VI Pierre et Marie Curie D.I.U. Egalité des chances entre les femmes et les hommes Direction : Chrystel Breysse Je remercie celles et ceux qui ont contribué à la construction de ce travail : En premier lieu les artistes qui m’ont reçue à l’occasion des entretiens, ainsi que

vivants ». D’abord consacré aux académiciens, qui y présentaient librement leurs oeuvres, il ne s’ouvrit que tardivement aux artistes qui n’appartenaient pas à l’Institut. Le Salon resta la majeure partie du temps sous la coupe de l’académie des Beaux-Arts qui avait la mainmise sur la sélection des tableaux, des sculptures et des projets d’architecture dignes d’être présentés au public : lorsqu’un examen d’admission fut créé, en 1798, les académiciens en furent bien vite dispensés avant de constituer