Musée social

cent ans, a fait du fer vengeur l’outil de la liberté, […] qui, par le travail, construit le monde moderne et le veut digne de ses longs efforts. » Il est perçu, dans un climat de crise politique et sociale, comme un symbole de la démocratie. Il est perçu, dans un climat de crise politique et sociale, comme un symbole de la démocratie. La statue représente un homme en train de penser, de méditer, semblant devoir faire face à un profond dilemme. La statue représente un homme en train de penser

dessus d’elle indiquent que c’est une déesse et non une fille d’aujourd’hui, elle est peinte de façon lisse et structurée. Des amis du peintre, dont Baudelaire et Emile Zola, tentent de défendre le peintre. Aujourd’hui le tableau est conservé au musée d’Orsay à Paris. Le contexte artistique de l’œuvre La peinture académique est un courant artistique qui apparaît en 1830 jusqu’en 1880. L’académie dirige l’école des beaux-arts, qui donne le plus prestigieux des enseignements artistiques. Là

encore les vêtements. La perspective dans ce tableau est associée à l'époque de la Renaissance. C'est une rupture totale avec le genre médiéval. -Commande/ Circonstances liées à la création du tableau Cette immense toile, aujourd’hui conservée au Musée du Louvre, avait été commandée à l’artiste par les bénédictins de l’île de San Giorgio Maggiore pour leur réfectoire, dans une architecture de Palladio que les colonnes de l’œuvre rappellent. Les moines insistent sur la nécessité que l'oeuvre soit

Napoléon lui-même avait dû pressentir le tour de force puisqu’il déclara à l’auteur lors de l’exposition de l’œuvre au Salon de 1808 : « Je vous salue, David. » Intro : « Le Sacre de Napoléon », imposante toile (6,21 m x 9,79 m), la plus grande du musée du Louvre après « Les Noces de Cana » de Véronèse, fut réalisée en trois ans, à partir de 1805, par Jacques-Louis David (1748-1825). C’est à la suite d’une commande orale de la part de Napoléon BONAPARTE que David se lance dans cette tache : il

diverses pensées. Il met son art au service d’une cause qui souvent s’ancre dans un contexte historique précis, il invite à la réflexion ou à l’action. Dans ce style de poésie, il s’engage alors dans l’amélioration et le chemin vers un monde meilleur. Le Musée Grévin de Louis Aragon est par exemple un poème engagé. Dans ce dernier on voit qu’Aragon soulève une veine patriotique et de fraternité. Il veut que l’on se souvienne d’un évènement marquant. Ce poème « militant » rappelle les valeurs partagées par

édition de la Réunion des Musées Nationaux, 2007. - Arizzoli-Clémentel P., Meyer D., Le Mobilier de Versailles, XVIIème et XVIIIème siècles, édition Faton, Dijon, 2002. - Bartholeys G., L’enjeu vestimentaire. De l’anthropologie ordinaire à la raison sociale, in Le corps et sa parure, Colloque international, Lausanne Genève, 16-18 juin 2003. - Batazzi G., La mode, art, histoire et société, édition Hachette, 1993. - Baudrillard J., La mode ou la féerie du code, Traverse n°3, 1984. - Baudrillard J., De

considéré à Paris comme un peuple de la grâce. « Peuple oriental ». Attitude méprisante de l'époque, surtout méconnaissance de l'Espagne. Peuple jugé non gracieux, mais que Manet va représenter dans la Danse, justement la grâce. Lola de Valence, 1862 (Musée d'Orsay). Vedette d'une compagnie espagnole. Elle est brune, pose en jupe très fleurie et colorée. Attrait pour ces couleurs vives dans le costume que la critique va qualifier de « méli-mélo de couleurs » et même de « caricature de la couleur ». En

LE MUSEE D'ORSAY Histoire du musée Un musée dans une gare. Le Musée d’Orsay, inauguré le 1er décembre 1986 est aujourd’hui célèbre dans le monde pour sa collection d’art impressionniste, il est le musée de toute la création artistique du monde occidental de 1848 à 1914. En face des tuileries non loin du Louvre, il vient prendre une place centrale dans le paysage parisien tant géographique que culturelle.
Il a été constitué de collections nationales provenant essentiellement de trois établissements

inaugurer la rubrique, de porter notre attention sur le musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, qui abrite l’une des quatre plus importantes collections d’antiquités de France. Il a présenté en 2005-2006 l’exposition Portraits du ier siècle de l’empire romain, qui inaugure un cycle consacré aux portraits romains. Le musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, et ses portraits romains 6Lors de l’inauguration du musée, en 1892, le maire de Toulouse, Camille Ournac, affiche

1.Définition Dans la loi du 4 janvier 2002, le musée est définit comme: « toute collection permanente composée de biens dont la conservation et la présentation revêtent un intérêt public et organisé en vue de la connaissance, de l'éducation et du plaisir du public ». On lui assigne trois fonctions: collecter, conserver, exposer. En effet, les musées ont pour but de rassembler des biens, de les restaurer, mais aussi, et surtout de les exposer aux yeux des visiteurs, ce qui leur confère un rôle