Mutilation

esclaves. Le parallélisme nous le prouve lignes 7-8-9 : « Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main : quand nous voulons nous enfuir on nous coupe la jambe » et montre la violence de ces mutilations. Le négociant est montré comme supérieur à l’esclave ligne 5 : « maître » qu’il a acheté aux parents. Ces parents qui vont mentir à leurs enfants au moment où il les vendent. Il y a un paradoxe entre ce que leurs parents leur promettent ligne

Dieu ! », « ô Pangloss ! S’écria Candide. ». registre pathétique des émotions de Candide : « larmes », « pleurant ». Enfin, jugement du narrateur et de Candide sur la situation injuste de l’esclave : « à ce pauvre » (lors de la description des mutilations), « qui t’a traité ainsi ? » (jugement de Candide).   (Phrase de conclusion/transition de la partie lors de la rédaction).   II- Une dénonciation violente de la civilisation européenne. (Phrase d’introduction de la partie lors de la rédaction)  

mouvement et obligation immobilité • 'caleçon de toile' (litote) montre le statut méprisable car la toile était faite pour envelopper les marchandises • Accent mis sur l'absence de moitié de l'habit : cette distorsion insiste sur la situation réelle de mutilation • Champ lexical du négociant : omniprésence maître, domination blanc sur noir • Énumération des animaux : jugement du Nègre : ils sont moins bien traités que les bêtes • Il n'énonce pas seulement la situation du personnage mais se fait le représentant

libre et il se heurte à l’immobilité de l’esclave. Il y a d’une part la dignité de l’homme debout qui se pose à l’humiliation du noir étendu par terre. Dès la ligne 2, Candide découvre l’horreur. On est frappés par la misère du vêtement et la mutilation la plus évidente puis ensuite la plus rudite. Qu’il travaille ou qu’il s’enfuit, docile ou rebelle, le noir est condamné à la misère physique. Ligne 3, cette double amputation lui donne une symétrie grotesque et s’est dégradant, d’ailleurs à la

l'homme rencontré par les voyageurs : • sa position : l.20 "nègre étendu par terre", position de l'humiliation •ses habits:l.21 "n'ayant plus que la moitié de son habit" avec la locution restrictive "ne...que" qui traduit le dénuement. •ses mutilations: l.22-23 "il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite", tournure impersonnelle. Ses informations sont données de manière détachée et impersonnelles, une seule remarque d'ordre affectif "pauvre homme" avec l'adjectif appréciatif

lettre 12, il parle des troglodytes et dénonce lui aussi l'utopie d'un monde idéal. CHAP 19 I. La dénonciation de l’esclavage : La constatation de l'esclave est faite sans apitoiement à travers la présentation des détails vestimentaires et des mutilations qui sont mises sur le même plan. Mais le décalage entre le constat et l'horreur de la situation décrite crée l'ironie. Une première image frappante est celle du dénuement de l'esclave (qui est triplement démuni : «étendu par terre», n'a plus «la

droite, porte une veste militaire avec une croix de fer (plus haute décoration allemande) accrochée au revers de sa veste. Mais, en même temps, sur la chaise en dessous de celui-ci, on aperçoit une corbeille dans laquelle il est maintenu. Leurs mutilations, dont Otto Dix nous cache rien, sont très graves : visages ravagés, profondes cicatrices des joues, trou noir de l’œil absent, regard fixe de l’œil de verre, mâchoires, oreilles, nez disparus remplacés par des prothèses métalliques, plaques crânienne

recommande un minimum de quatre visites prénatales. Or une femme sur cinq ne subit aucune visite médicale au cours de sa grossesse. Les mutilations sexuelles féminines sont historiquement localisées sur le continent africain. Si cette pratique est en recul dans de nombreux pays, plusieurs millions de femmes endurent encore aujourd’hui les séquelles douloureuses de leur mutilation, affectant leur santé reproductive, sexuelle et psychologique. En outre, les femmes sont les principales victimes des violences

correspond à une incapacité temporaire de travail ne dépassant pas huit ou alors à une absence d’ITT tandis que le deuxième degré correspond à une ITT supérieure à huit jours. Le troisième degré correspond quant à lui aux violences ayant entrainé une mutilation ou une infirmité permanente. Néanmoins, la jurisprudence fait une distinction entre infirmité permanente et incapacité permanente qui n’entraîne qu’une diminution de l’usage d’un membre ou d’un organe : Par exemple, si la cécité est une infirmité

êtres humains. De plus, Voltaire souligne l'absurdité du lien de cause à effet, il a pour cela recourt à l'ironie et à l'euphémisme « c'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe », la cause est la gourmandise des européens et l'effet est la mutilation des esclaves, il y donc un décalage entre la futilité de la cause et la gravité des effets. L'horreur de ce système est également renforcer par le ton détaché qu'emploi le nègre quand il raconte ce qui lui ai arrivé puisqu'il présente ces faits