Mutilations génitales féminines

collectifs violents. Elles sont associées aux mariages forcés, grossesses forcées ou avortements forcés, mutilations génitales, lapidations, défigurations à l’acide et autres crimes d’honneur, esclavages et violences domestiques sans recours, viols d’épurations ethniques, esclavage sexuel, privations traditionnelles ou politiquement tolérées de libertés et droits humains fondamentaux dans la condition féminine. De nombreuses personnes, collectivités, organismes humanitaire ou politiques se sont attachés à

de la place de la femme dans la société. DEFINITION   D’après l’organisation mondiale de la santé, l’excision également appelée Mutilations Génitales Féminines (MGF), recouvre « toutes les interventions incluant l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou autre lésion des organes génitaux féminins pratiquées pour des raisons non médicales » Au Sénégal, la pratique de l’excision est prédominante selon plusieurs caractéristiques telles que les ethnies

L’excision en Occident Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en 1997, ce sont près de 130 millions de femmes et de fillettes qui auraient été victimes de mutilations sexuelles dans le monde et, chaque année, 2 millions de fillettes les subissent encore. Février 2010 : une campagne contre l’excision montrait des fillettes africaines soumises à cette torture épouvantable. On oublie cependant que cette pratique a aussi existé et probablement continue à l’être parmi les blancs en Occident

nous engager ou non dans un comportement normatif. Les groupes de référence sont les personnes avec lesquelles nous nous comparons et avec qui nous comparons notre * Les mutilations génitales féminines (MGF) désignent la pratique traditionnelle consistant à enlever partiellement ou complètement les organes génitaux féminins externes. Il est important de noter que, lorsqu’on travaille avec les communautés, les termes utilisés par les communautés elles-mêmes pour désigner cette pratique devraient

pas et inscrivent de nombreuses marques sur leur corps. Cependant, plus qu'une marque, l'excision est une mutilation. »                 Une mutilation est une atteinte volontaire à l'intégrité physique d'une personne, entretenant par la suite la perte d'un membre ou d'un organe. L'excision est une forme de mutilation, qui consiste en l'ablation complète ou partielle de l'appareil génitale externe de la femme. C'est équivalent à l'ablation du gland de l'homme. Malgré le fait que cette pratique

variables dans le temps et justifient de ne pas rester seule et de chercher de l’aide. Les mutilations sexuelles féminines notamment l’excision et l’infibulation sont un crime puni par la loi. Les mutilations sexuelles féminines désignent toutes les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme et/ou toute autre mutilation des organes génitaux féminins pratiqués à des fins non thérapeutiques (OMS). Elles constituent une atteinte aux droits fondamentaux

genre. Elles sont associées aux mariages forcés, grossesses forcées ou avortements forcés, mutilations génitales, lapidations, défigurations à l’acide et autres crimes d’honneur, esclavages, agression sexuelle et violences domestiques sans recours, viols d’épurations ethniques, esclavage sexuel, privations traditionnelles ou politiquement tolérées de libertés et droits humains fondamentaux dans la condition féminine. La distinction de ce type de violences est issue des mouvements féministes puis du développement

femme soit bien vue dans la société : l’excision. Il sera intéressant de voir comment les femmes ou fillettes, souvent africaines, sont perçues avec et sans l’excision par les hommes et ses consœurs. Malheureusement, plusieurs types de mutilation de l’organe génital féminin existent et ils sont plus cruels les uns que les autres. Évidemment, la santé mentale et physique des fillettes est troublée par cet acte cruel qui en résulte par un nombre incroyable de décès. Rituel Dans les populations africaines

tradition littéraire? Si bien la littérature africaine, en général, est peu connue ici, c'est encore plus inconnue celle écrite par des femmes engagées avec l'autonomie féminine et la mise en question des traditions de son peuple. Pourtant, avec ce roman, Rebelle, on a la possibilité d'entrer direct sur une partie de l'univers féminin de l'Afrique noire -et plus exactement, de la Côte d'Ivoire- pour briser nos préjugés et faire connaissance de certaines femmes qui ont pris conscience de l'importance

Il n’eut pas d’autres changements. Les femmes ont dû attendre la loi du 6 juin 2000 sur la parité hommes femmes aux élections municipales. Tout de même, certains termes comme «sénateur» ou encore «député» restèrent masculin et n’eurent jamais de féminin correspondant. De plus, les femmes entrant dans le gouvernement se font extrêmement rares. La femme est prise entre sa vie publique et sa vie familiale et personnelle. Mais les choses changent et le partage des tâches s’installera de plus en plus