Mystères joyeux

deux « genres » : les mystères, qui reprennent des épisodes bibliques ou des vies de saints souvent joués sur les parvis des églises, et les farces, données dans les rues, les places publiques. Au XIVe  et XVe siècles, les spectacles deviennent payants. De ce fait, le théâtre se joue de plus en plus souvent dans des lieux clos et non plus sur la grand-place et les machineries commencent à se développer, afin de créer des « effets spéciaux ». Au milieu du XVIe siècle, les mystères (le genre théâtral

aura soin de lui-meme . Ce qui s’est passe a fui , ce que tu esperes est absent , mais le present est a toi . Soyez les poetes de votre vie . Prenez le temps de rire , c’est la musique de l’ame . Hier , c’est une histoire , demain est un mystère , aujourd’hui un cadeau . Jai fait ce que j’ai pu , jai peint ce que j’ai vu . En buvant l’eau du puits , n’oubliez pas ceux qui l’ont creuse Un seul jour efface les mauvais jours . Ose devenir qui tu es . Ne pleurez pas parce qu’une

rationnelle ne permet de comprendre ce pouvoir de la chevelure ; elle jette à nouveau le trouble, exerce un véritable pouvoir sur des êtres pourtant sains d'esprit, le narrateur et le médecin lui-même s'y intéressant : sont-ils devenus fous à leur tour? Un mystère subsiste : à chaque lecteur de trouver sa propre réponse. Le temps est important, l’auteur jouant avec le présent de l'écriture et le passé événementiel ; avec l’imparfait duratif et le passé simple marquant la soudaineté. Le jeu avec la chronologie

Arbitraire 8. PAUL ELUARD : Liberté, « Poésies et vérités » 9. JAQUES PREVERT : Pater Noster In « Paroles » 10. BORIS VIAN : Le Déserteur a- Poèmes du XIXème siècle 1- Charles Baudelaire : <J'aime passionnément le mystère, parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller.> AU LECTEUR, La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine

qui se digère par l'homme Se fait puant ; voyez-vous comme C'est un dangereux animal, Changeant le bien en son contraire : Car ce qui est vain à bien faire, Ne l'est pas à faire du mal. XVIIème siècle Abraham de Vermeil Je m’embarque joyeux et ma voile pompeuse M’ôte déjà la terre et me donne les mers, Je ne vois que le Ciel uni aux sillons pers ; C’est le premier état de mon âme amoureuse. Puis je vois s’élever une vapeur confuse, Ombrageant tout le Ciel qui se fend en éclairs

de l’institut de Don Bosco tout ce qui pouvait nuire à la belle vertu. Au printemps 1855, l’appel à la sainteté retentit dans l’âme angélique de Dominique : « Dieu me veut saint ! », répétait-il à Don Bosco. Cherchant à ressembler à Jésus en Son mystère de souffrance, envahi de plus en plus par l’amour de Jésus rédempteur, il s’ingénie au sacrifice et fonce dans la voie des pénitences extraordinaires. « Non, objecte Don Bosco ; ton devoir d’étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà

schreklich | here you are | voici | hier sind Sie | tick | cocher | ticken | cross | traverser/tracer | überqueren | cover | couvrir | decken | cross out | biffer | streichen | below | | | tired | fatigué | müde | glad (=happy) | joyeux | froh, glücklich | … in law | beau/belle sœur/frêre | Schwager, Schwägerin | niece | nièce | Nichte, die | nephew | neveu | Neffe | aunt’s | tante | Tante, die | fair (=light) (opp.= dark) | clair | löschen | lazy | paresseux | faul |

latine, qui ne penseraient (fussent-ils même Pytho, déesse de la persuasion) pouvoir rien dire de bon, si ce n’est en langage étranger, non entendu du commun. […] Je laisserai en cet endroit les superstitieuses raisons de ceux qui soutiennent que les mystères de la théologie ne peuvent être découverts et pour ainsi dire profanés en langue commune, et ce que vont alléguant ceux qui sont d’opinion contraire. Car cette discussion est hors de mon propos, qui est seulement de montrer que notre langue n’a point

animal représentant la société du moyen âge. Dans ce cas-là, seule la psychologie des personnages sera empruntée au réel. Les auteurs nous offrent l’intériorité de leurs personnages, mais c’est quelque chose qu’on ne voit pas, qui est encore plein de mystères inconnus à l’Homme, et qui donc est, malgré leur volonté de reproduire la réalité, le fruit de leur invention. B)L’action. Le lecteur choisit et apprécie un roman lorsqu’il a la possibilité de s’identifier à un personnage, mais il cherche aussi

Nous remarquons dans un premier temps la répétition du mot « rêve » à la ligne 64 intensifiant l’illusion de la fête. Par ailleurs on retrouve un côté magique avec « la lanterne magique » ligne 14, déterminé avec un article défini qui souligne le mystère et le mythe autour de cet objet. Tout nous paraît parfait et bien organisé et les points de suspension à la fin de l’extrait nous laisse croire que le personnage s’endort paisiblement et « longuement » ligne 65. Enfin nous retrouvons un caractère