Mythe Antigone

intéressaient beaucoup certains auteurs du XXème siècle, ceux-ci se servaient de l’histoire principale et la réinterpréter différemment pour donner une nature plus moderne à l’intrigue du mythe. L’auteur Giraudoux a repris par exemple l’histoire de la ville de Troie avec La Guerre de Troie n’aura pas lieu et il reprend aussi le mythe d’Electre dans la pièce Electre. Il place dans son œuvre, un entracte, où il utilise le personnage d’un jardinier, qui permet de sortir du contexte de l’action, qui nous parle du

choix d’intrigue permettait aux dramaturges engagés de partager leurs opinions politiques (un exemple étant Antigone de Jean Anouilh, écrit en contexte de Seconde Guerre Mondiale). D’autres exemples de dramaturges qui ont repris les mythes antiques comprennent Les Mouches de Jean-Paul Sartre, inspire également par le mythe d’Electre, La Machine infernale de Jean Cocteau, inspire par le mythe d ‘Œdipe, ou encore La Guerre de Troie n’aura pas lieu de Jean Giraudoux. Pourtant, afin de s’adapter

et de la notion de droit. 2) Le renouvellement du mythe : a- De quel mythe antique chacune de ces pièce et-elle inspiré ? La guerre de Troie n’aura pas lieu c’est inspiré d’un mythe grecque, celui de la guerre de Troie provoqué par l’enlèvement d’Hélène par les Troyens. La machine infernale a été inspiré du mythes de l’histoire d’Œdipe, et de sa rencontre avec le Sphynx. b- Y a-t-il des variantes par rapports au mythe antique ? Si oui, lesquelles ? Qu’elle en est l’effet ?

I-SITUER L’ACTION DANS L’ESPACE ET L’EPOQUE La pièce met en scène de grands personnages de la mythologie grecque, tel qu’Œdipe, Jocaste ou leur fille Antigone dans un bref passage. L’action se déroule donc en Grèce antique et notamment dans la cité de Thèbes. N’étant pas du théâtre classique, cette pièce de Cocteau ne respecte ni l’unité de temps, ni l’unité de lieu. Ainsi, l’acte I, « Le fantôme », a lieu sur les remparts de la ville, alors que celle-ci est menacée par le Sphinx, créature terrifiante

Levi Strauss : texte qui parle de la barbarie envers les étrangers , ethnocide, génocide si c'est un homme de primo Levi : description de la démolition de l'homme pendant la 2nd guerre mondiale Antigone de Sophocle : il nous décrit l'homme comme supérieur à la nature protagonista de Platon : le mythe de prométhée : Épiméthée doit créer tous les êtres vivants en leur donnant des caractéristiques( ex voler, être gros …) or arrivé à l'homme il n'a plus rien. Il décide donc d'aller voler le feu et

La machine infernale- Cocteau I. Jean Cocteau (1889-1963) II. Le titre et la voix= du mythe antique au tragique contemporain III. Lectures analytiques a. Acte 1 : apparition de Jocaste et Tirésias b. Acte 2 : rencontre ac le Sphinx c. Acte 3 : la nuit de noce I. Jean Cocteau (1889-1963) : * L’enfance de JC est compliquée. Il vient d’une famille de la grde bourgeoisie parisienne et vit donc une jeunesse dorée financièrement et intellectuellement parlant

Antigone L'action se produit à Thèbes, dans le palais de Créon, roi et oncle d'Antigone et de sa sœur Ismène, des années après la mort d'œdipe. Mais c'est au petit matin, que la jeune Antigone rentre au palais après une mission secrète qui est d'ensevelir le corps de son frère, Polynice, laissé en sépulture sur l'ordre du roi, Créon. Ce dernier eu la décision de laisser l'âme du frère d'Antigone dans la tourmente car il fut allié aux ennemis de Thèbes. Antigone, considère alors le devoir d'ensevelir

plus éloigné aux yeux de Sartre du realisme : mm si le personnage est incarné par un acteur : le personnage est un absent/ Des lors cette notion d imaginaire : d’irrealité lui donne comme mission essentielle de forger des mythes. Certes la notion de mythe au théâtre n’est pas nouvelle. Le théâtre dt est parti sartre à cette époque c est celui de Giraudoux, de Cocteau, d’Anouihl . Le théâtre doit forger des mythes nouveaux adaptés au problème contemporain, faire apparaître du mythique au cœur des

certains auteurs puisent leur inspiration dans les mythes gréco-romains qu’ils transposent dans le monde de leur époque : Cocteau dans La Machine infernale (1933) et Anouilh dans Antigone (1944) s’inspirent du mythe d’Œdipe ; Giraudoux dans La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) s’inspire de la guerre de Troie. La reprise du mythe antique permet d’exprimer les interrogations profondes de l’homme dans le contexte moderne (guerres, exclusions, barbaries, perte des valeurs…) et conduit à une réflexion sur

sensibles, ceux de Sophocle ou Eschyle ou n'importe qui étant dramatiques et, pour la plupart des demi-dieux. Le théâtre occidental du XXe siècle a désespérément tenté de ressusciter la tragédie et de la moderniser. On observe en France un retour au mythe dans l’entre-deux guerres. Des auteurs cherchent une tragédie à la dimension de leur temps. Cocteau parodie Œdipe dans La Machine infernale (1933). Sartre (Les Mouches, Les Séquestrés d’Altona) et Camus (Caligula, Le Malentendu) offrent avant tout