Mythe Antigone

genres, les registres, parodies). Il reprend des figures, des personnages, des histoires qui vont exposer les problèmes actuelles. Cletre, Giraudoux s’inspirent de Sophocle, Eschyle et Euripide. Ex : Cocteau reprend le mythe d’Orphée Antigone ou Oedipe. Anouilh → « Antigone » moderne J.P.Sartre → « Les mouches » Electre et son frère Oreste Anachronisme→ personnages antiques confronter a des événements Montrer la puissance symbolique de ces mythes (personnage toujours confrontés à la fatalité)

par le mythe. En effet, dès lʼorigine de la littérature, les oeuvres ont la même source dʼinspiration, les mythes, et ne sont de ce fait que des réécritures. La religion était lʼessence même de la littérature. Lʼhomme est fasciné par tous ces mythes car le mythe est éternel, c'est lui qui répond aux questions de la société, il permet de découvrir la nature humaine, il donne des explication sur lʼau-delà, sur nos racines culturelles ainsi que sur des vérités universelles. Revisiter un mythe, c'est

personnages n’est également pas modifiée: Sganarelle demeure le faire-valoir de Don Juan. Deuxièmement, les situations restent toujours semblables. Dans le mythe de Robinson Crusoé, l’étape de la découverte de l’île est incontournable ; on la trouve chez Tournier comme chez Giraudoux. Finalement la forme est toujours respectée : Oreste ou Antigone ne sont toujours que des personnages de théâtre. Les auteurs se servent donc de ces procédés pour écrire leur propre nouvelle version de l’œuvre originale

que pour les dépasser. 1. Dépasser pour faire mieux Exemple : les concours théâtraux littéraires dans l'Antiquité, au cours desquels les auteurs rivalisaient pour emporter la couronne : Eschyle, Sophocle, Euripide, chacun écrit une version du mythe d'Électre. Mise en concurrence du vieux Corneille et du jeune Racine avec Bérénice de Racine et Tite et Bérénice de Corneille, à quelques jours d'intervalle, en novembre 1670. Parfois le dialogue prend des allures de polémique, entre un auteur vivant

pièces comme par exemple la règle des trois unités (ce rappelé de la règle) Au XIXème, les tragédies seront mis de côté et aucunes évolutions n’aura eu lieu jusqu’ai XXème où les tragédies reviendront sous formes de mythe tragique et moins de théâtre avec par exemple, Antigone de Jean Anouilh. II- Les caractéristiques de la tragédie La tragédie à des caractéristiques qui lui sont propres, on les reconnait grâce à : Un choix de sujet noble qui fait référence aux personnages de hauts rangs

Phèdre et d'Hippolyte a connu de nombreux avatars. Appartenant à la légende grecque, elle a inspiré Euripide et Sénèque dans l'Antiquité, puis en France Garnier et Racine pour ne citer que les dramaturges les plus célèbres des xvie et xviie siècles. Le mythe de la femme adultère amoureuse de son beau-fils est encore repris au xixe siècle par exemple par Zola dans son roman naturaliste La Curée. Une même histoire, un même personnage ou thème peuvent donc être déclinés par différents auteurs, dans différents

kiuytrdfhjklkuytrdfghjkliuytfghjkloiuytrezertyuiolkjhgfrdesd- fghjkl Deux écoles s'affrontent et se croisent : le primitivisme, qui voit la décadence, et le progressisme, qui voit le progrès. Hésiode, dans Les travaux et les jours (VIIIe siècle av. J.-C.), développe le mythe de l'Âge d'or. La perfection de la race humaine se situe à l'origine, et le progrès technique est signe de décadence. « Quand les hommes et les dieux furent nés ensemble, d’abord les célestes habitants de l'Olympe créèrent l'âge d'or pour les mortels

superlatifs/atmosphère sombre, sordide, inquiétante/ insistance/ "je"c'est bien lui l'orateur/ suspens/ il sait garder qql en haleine) CCL PART I: Messager= informateur/ double énonciation/ évite de montrer la violence sur scène/ Témoignage important/ naissance du mythe par l'orateur II. Crimes et châtiments 1. L'horreur de ces crimes (inceste et parricide  pire crimes possibles/ travail sur les formes du discours et les temps/ ch. lex. "tristesse"/ violence/ verbes forts/ animalisation) 2. Châtiments extrêmes (suicide/double

qui est déjà existant. Ce qui est intéressant, c’est la manière dont l’écrivain va réutiliser la source dont il s’inspire. Par exemple, un auteur grec aimera s’inspirer de la mythologie. C’est bien ce que fit Sophocle, dans nombre de ses pièces, Antigone, Œdipe Roi, Electre. C’est sur cette dernière, présente dans le corpus, que nous nous appuierons. Dans l’extrait de cette pièce, écrite en 406 avant J.C, Sophocle rapproche la fière Electre de l’opinion publique, par un dialogue avec le coryphée

1072 a 25-26. 12. Voir Ramnoux (Cl.), La Nuit et les enfants de la nuit dans la tradition grecque, rééd., Paris, 1986. 13. Vernant (J.-P.), "Cosmogonies et mythes de souveraineté" in: Vernant (J.-P.) et Vidal-Naquet (P.), La Grèce ancienne. 1. Du mythe à la raison, Paris, 1990, pp. 111-138 (pp. 118-121 et 127-129 : Khaos donne naissance à Erèbe et à Nuit, mais Nuit engendre Éther et Jour; certaines entités se retrouvent dans les deux liguées). Cf. Ramnoux (Cl.), Mythologie ... , pp. 88-89. 14. Première