Mythologie celtique irlandaise

sous l'influence des traditions étrusques que ces deux dernières divinités ont été remplacées par Junon et Minerve. Cette conception de triades indoeuropéenne est importante , j’y reviendrai. Partons, maintenant faire un petit tour dans le monde celtique. L’Irlande, n’ayant pas connu l’occupation romaine et la culture gréco-latine a conservé une littérature, d’abord orale, très riche, bien conservée par des copies réalisées dans les monastères, et pas trop déformée par l’influence chrétienne (c’est

divinités mineures de la nature et de la fertilité. En fait, il s’agit d’êtres de la mythologie nordique (Danemark, Suède, Norvège, Islande, Finlande et les îles Féroé) et leur souvenir dure toujours dans les plus anciennes traditions scandinaves. Les elfes ont été repris un peu plus tard dans la littérature comme élément merveilleux des contes de fées. On les retrouve souvent dans la mythologie celtique ; d’ailleurs c’est pour cela que quelques textes irlandais et écossais les reprennent

des lois différentes. Deuxième grande catégorie : les merveilles qui relèvent du surnaturel : merveille peut être synonyme de miracle, tout ce qui se rapporte à dieu : le merveilleux divin, mais aussi le merveilleux diabolique, et le merveilleux celtique, d’origine celtes : toutes les légendes celtes qui vont venir la littérature avec Merlin, les fées. Les fontaines que découvre Alexandre sont des fontaines au sens surnaturel du terme dont l’origine n’est pas expliquée, prodigieuses parce qu’elles

La mythologie bretonne constitue le fonds des croyances de la Bretagne. Les peuples celtes d'Armorique connaissent probablement avec leur mythologie celtique plusieurs divinités et créatures spécifiques associées à des cultes de la nature, dont on retrouve quelques traces chez certains saints bretons. Ce fonds mythologique est accepté par les Romains puis nettement christianisé, provoquant la perte irrémédiable des grands récits et la destruction ou la conversion des lieux de culte païens. Le mythe

les animaux (sauvages ou domestiques) empruntent pour traverser les cours d’eau. L'expression ancienne «Sonder le gué » signifie qu'avant de s'engager dans une affaire , si il n'y a pas de risque, évaluer les capacités des personnes . Dans la mythologie celtique le gué avait une importance symbolique en tant que lieu de passage ou de limite. Une «déesse» «Ritona» lui était consacré. L'habitude ancienne voulait que les duels de héros ou de guerriers s'y déroulent. Ainsi on a trouvé de nombreuses armes

Loreley » ainsi que dans « Mélusine » le paratexte nous indique qui elles étaient et ce qu'elles ont fait : « Nymphe ou génie féminin des eaux dans la mythologie germanique », « figure de légende, attachée à un rocher qui domine le Rhin et qui renvoie une écho aux appels venus des bateaux qui passent à sa hauteur », « fée de la mythologie celtique qui pouvait se métamorphoser [...] comme l'aïeule et la protectrice de la maison de Lusignan. » Ces femmes ont donc peut-être vraiment existé ou ont donc

Dahut ou Dahud, parfois confondue avec Ahès, est un personnage majeur de la légende de la ville d'Ys, l'un des récits les plus connus du légendaire breton. Issue d'une figure féminine de l'Autre Monde propre à la mythologie celtique, Dahut était certainement une femme inspirée d'une déesse mère ou une fée gardienne des vannes empêchant les eaux de se répandre dans la ville sur laquelle elle règne. Son rôle et sa nature sont ensuite nettement modifiés par l'influence de la religion chrétienne et

fr/pedagogi/Lettres/nouveau.htm Chrétien de Troyes, Perceval ou le roman du Graal. Un monde de l’imaginaire Les romans de Chrétien de Troyes doivent beaucoup aux légendes celtiques et à des poètes anglo-normands, Geoffroy de Monmouth et Robert Wace, qui ont pratiquement "inventé" le mythe du roi Arthur et de La Table Ronde. 1- L'influence de la mythologie celte dans les romans de Chrétien de Troyes La colonisation romaine n'avait pas empêché la maintenance d'un fonds de culture celte très important, à la

Gradlon selon Évariste-Vital Luminais, vers 1884, conservé au musée des beaux-arts de Quimper. Cette peinture représente une célèbre scène de la légende de la ville d'Ys. La mythologie bretonne constitue le fonds des croyances de la Bretagne. Les peuples celtes d'Armorique connaissent probablement avec leur mythologie celtique plusieurs divinités et créatures spécifiques associées à des cultes de la nature, dont on retrouve quelques traces chez certains saints bretons. Ce fonds mythologique est accepté

l’Héroic Fantasy posera les bases du genre empruntant à l’identité celtique son imaginaire afin de définir les contours du « merveilleux »: où des magiciens côtoient des démons, les rites se faisant à l’aube dans les landes brumeuses et où sorcellerie et médecine ne font qu’un. Depuis, de nombreuses autres œuvres littéraires et cinématographiques ont repris la recette, en y installant des mondes entiers basés sur cette mythologie. Du Cycle de Thongor, aux Chevaliers de l’Emeraude en passant par le