Naïades

fils légitimes de Zeus et Héra. b) Les nymphes : appelées parfois déesses par Homère, elles ne résident pas dans l’Olympe mais sont attachées à un lieu. Ainsi, les Oréades sont des nymphes de la montagne, les Néréides des nymphes de la mer ; les Naïades se trouvent dans les sources et les rivières, tandis que les Océanides ne quittent pas la haute mer ; les Hamadryades sont les nymphes des arbres et surtout des chênes, alors que les Méliades ont pour spécialité les frênes. Calypso et Circé semblent

fils légitimes de Zeus et Héra. b) Les nymphes : appelées parfois déesses par Homère, elles ne résident pas dans l’Olympe mais sont attachées à un lieu. Ainsi, les Oréades sont des nymphes de la montagne, les Néréides des nymphes de la mer ; les Naïades se trouvent dans les sources et les rivières, tandis que les Océanides ne quittent pas la haute mer ; les Hamadryades sont les nymphes des arbres et surtout des chênes, alors que les Méliades ont pour spécialité les frênes. Calypso et Circé semblent

et de cascades Tombant dans l‘or mat ou bruni; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal Se suspendaient, éblouissantes, A des murailles de métal. Non d‘arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s‘entouraient Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient.  Des nappes d‘eau s‘épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l‘univers: C‘étaient des pierres inouïes Et des flots magiques, c‘étaient D‘immenses

de cascades Tombant dans l'or mat ou bruni; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal Se suspendaient, éblouissantes, A des murailles de métal. Non d'arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s'entouraient Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient. 106 Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l'univers: C'étaient des pierres inouïes Et des flots magiques, c'étaient D'immenses

de cascades Tombant dans l’or mat ou bruni ; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal, Se suspendaient, éblouissantes, À des murailles de métal. Non d’arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s’entouraient, Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient. Des nappes d’eau s’épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, 138Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l’univers ; C’étaient des pierres inouïes Et des flots magiques ; c’étaient D’immenses glaces

réputation, il y aperçut, dans un quadrille, la personne à aimer et fut émerveillé par cette taille d’un mètre cinquante centimètres. Ces cheveux blonds ruisselaient en cascades bouillonnantes sur une petite tête ingénue et fraîche comme celle d’une naïade qui aurait mis le nez à la fenêtre cristalline de sa source, pour voir les fleurs du printemps (Ceci est notre nouveau style, des phrases qui filent comme notre macaroni tout à l’heure.) L’idem des sourcils, n’en déplaise à la Préfecture de Police

gravure : Allemagne et Italie. Mantegna est très important pour la gravure au burin (burin sur un support de métal). On conserve 7 planches de Mantegna, intitulées Bataille des monstres marins (titre donné par Vasari). Montre des divinités marines : naïades et tritons, et Neptune avec son trident. Gravure qui montre à nouveau une connaissance de l’Antiquité et de la mythologie antique. Ses gravures sont très célèbres, diffusées dans l’Europe entière. Le peintre allemand Dürer exécute un dessin sur le

ils inventaient eux-mêmes des expressions nouvelles : le cerveau était le sublime, la chandelle le supplément du soleil, les dents l’ameublement de bouche, la guerre la fille du Chaos ou la mère du Désordre, la joie l’indiscrète, nager visiter les Naïades, le poivre le subtil, ou la table l’universelle commodité. Pour des mots nobles et important aux yeux des précieux on a inventé des mots nouveaux surtout pour souligner la nature extraordinaire de ces mots : la poésie était les filles des dieux, et

de cascades Tombant dans l’or mat ou bruni ; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal Se suspendaient, éblouissantes, A des murailles de métal. Non d’arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s’entouraient Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient. Des nappes d’eau s’épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l’univers : Collections 135 Litteratura.com Tableaux Parisiens C’étaient des

deux peuples à la fois. Derrière ces trois principaux personnages, d’autres femmes essaient de s’interposer entre les combattants des deux camps, avec leurs enfants qui gisent à terre. 5. Après sa mort, Narcisse est pleuré par ses sœurs, les Naïades, et par d’autres nymphes, les Dryades. Ce sont donc des divinités de la nature qui le pleurent, celles des rivières et des forêts. 6. Narcisse est métamorphosé en une fleur « couleur de safran, dont le centre est entouré de blancs pétales » (l