Napoléon Le Petit

------------------------------------------------- LE ROLE DE NAPOLEON III DANS LES TRANSFORMATIONS DE PARIS Lorsque Napoléon III prend les rênes du pouvoir, Paris présente encore beaucoup des aspects d’une ville du moyen-âge. Réputée pour son insalubrité, son insécurité, sa sensibilité aux épidémies et sa surpopulation, la capitale française à besoin d’être réaménagée. Cette volonté remonte aux révolutionnaires, à la suite desquelles plusieurs dirigeants ont tenté de transformer la ville, dont Napoléon Ier. Cependant, c’est véritablement

entre Napoléon

en un tout le but artistique et le but politique » (George Orwell Pourquoi j'écris) 1. C'est un bref récit accessible dans son sens premier - format 10 chapitres pour 150 pages en édition Folio, c'est le format d'une grande nouvelle ou d'un petit roman. Sans être aussi bref qu'une fable, c'est un récit relativement modeste - simplicité du style « La bonne prose est comme une vitre » dit Orwell pour suggérer que l'écriture doit permettre au lecteur de voir clairement quel est le propos, sans

fusionner en un tout le but artistique et le but politique » (George Orwell Pourquoi j'écris) 1. C'est un bref récit accessible dans son sens premier - format 10 chapitres pour 150 pages en édition Folio, c'est le format d'une grande nouvelle ou d'un petit roman. Sans être aussi bref qu'une fable, c'est un récit relativement modeste - simplicité du style « La bonne prose est comme une vitre » dit Orwell pour suggérer que l'écriture doit permettre au lecteur de voir clairement quel est le propos, sans

quoi le récit d'Orwell, paru en 1945, peut-il être considéré comme un apologue ? Il associe les deux caractéristiques fondamentales de ce genre : Pour 10 chapitres pour 150 pages en édition Folio, c'est le format d'une grande nouvelle ou d'un petit roman. Sans être aussi bref qu'une fable, c'est un récit relativement modeste La simplicité du style, « La bonne prose est comme une vitre » dit Orwell pour suggérer que l'écriture doit permettre au lecteur de voir clairement quel est le propos

politique fort à la racine de notre ordre démocratique et libérale. La monarchie prend fin avec la chute du roi Louis XVI, la France devient alors une République. L’impopularité des nouvelles institutions mène au coup d’état du 18 brumaire, en 1799, par Napoléon Bonaparte, générale de l’armée française. Il proclame

penchant sur des poèmes engagés. On peut par exemple prendre le poème de Hugo, « Chanson ». Hugo qui ne pardonne pas à Napoléon III le coup d’état du 2 décembre, invite le peuple à la révolte par une chanson pamphlet. Napoléon III y est opposé à Napoléon I. Napoléon III est caractérisé de façon péjorative : « petit, petit », « imitation », « cupidité ». Tandis que Napoléon I est désigné de façon méliorative : « grandeur », « courage », « puissance ». Le même Hugo dénonce dans « Mélancholia »

dans le droit ». A ces mots Louis-Napoléon Bonaparte cherche à justifier le coup d’Etat 2 décembre 1851. La quête de légitimité devient en effet une obsession pour le prince-président. C’est notamment ce qu’il exprime dans son discours de Bordeaux du 9 octobre 1852. Louis-Napoléon Bonaparte est le neveu de Napoléon Ier, il devient en décembre 1852 Napoléon III. L’année 1852 est une année charnière : fin 1851 avait eu lieu la sanction du coup d’Etat. Louis-napoléon Bonaparte s’était empressé conformément

Fontaine. Cependant, après lui, d'autres auteurs ont pratiqué ce genre, notamment Hugo qui inclut, dans Les Châtiments, plusieurs poèmes sous forme de fables. Dans ce recueil poétique, le poète, exilé par Louis-Napoléon Bonaparte devenu Napoléon III, dénonce les crimes de ce « Napoléon le Petit » qu'il veut châtier. Présentation du texte : dans « Fable ou Histoire », il le dépeint sous les traits d'un singe qui tente d'imiter son illustre prédécesseur. Le texte rappelle les fables de La Fontaine, notamment

L'histoire de Chateaubriand est indissociable de sa carrière politique, notamment sous la Restauration régie par Louis XVIII, puis Charles X ainsi que les Cent Jours de Napoléon. Ses œuvres sont en effet imprégnées des bouleversements de la société de son époque. Né en 1780, Chateaubriand est issu de l’aristocratie bretonne et reçoit une éducation jésuite. Il voyage beaucoup au cours de sa vie : à Jersey où il se lie à Céleste Buisson de la Vigne, en Angleterre, Espagne, en Orient… En outre