Narine

pulvérisation d’eau de mer). - positionner l’enfant sur la table à langer, l’allonger correctement et en douceur, en lui maintenant la tête sur le côté et effectuer une pression de sérum dans la narine du haut. Puis, tourner la tête de l’enfant de l’autre côté et faire de même dans l’autre narine. - moucher narine par narine à l’aide du mouche bébé, par aspiration. - ne pas hésiter à renouveler l’opération jusqu’à désencombrement de l’enfant. 6 « Crèche halte-garderie « Les lutins Mêlois » - Règlement intérieur

le mot « dort » revient avec trop d’insistance et est en fait un euphémisme pour signifier qu’il est mort . ➢ D’autres euphémismes jalonnent le poème, comme le vers 12 qui revêt une tournure négative : «  les parfums ne font plus frissonner sa narine » et signifie qu’il ne respire plus, même chose pour l’expression : « sa poitrine tranquille » qui évoque le fait que son cœur ne bat plus. ➢ L’expression « il a froid » est proche de l’expression « il est froid »qui renvoie à la rigidité cadavérique 

terme négatif (malade, froid). D’autre part, le mot « dort » revient avec trop d’insistance : c’est un euphémisme pour signifier qu’il est mort. D’autres euphémismes jalonnent le poème, comme au vers 12 avec « les parfums ne font pas frissonner sa narine » ; cela signifie qu’il ne respire plus. Il en est de même pour l’expression « il est froid » qui renvoie à la rigidité cadavérique. Enfin, le titre même du poème annonçait la chute, si on décompose le nom « dormeur ». Le soldat dort-il ou meurt-il

3. Expirer 1. Inspirer 4. Rester vide d’air RESPIRATION DYNAMISANTES • Alternée : permet de rééquilibrer l’activité cérébrale en oxygénant de façon égale les deux hémisphères. Inspirer par une narine, expirer par l’autre - ré- inspirer par cette dernière, expirer par l’autre (boucher chaque narine alternativement). • connectée : 4 respirations courtes, une respiration longue et ample... Exos relaxation.doc LA RELAXATION DE BASE Cette méthode spécifique à la sophrologie consiste à détendre

approximations. * Maîtriser son trac Il existe quelques exercices pour bénéficier du bon trac, et non de l'angoisse paralysante. Premier réflexe à combattre : le fait de se mettre en apnée. Au contraire, inspirer profondément par une narine et expirez par l'autre narine est un exercice qui permet de bien oxygéner le cerveau. La respiration abdominale : gonflez votre ventre en inspirant, en mettant une main. Faire quelques mouvements de relaxation des mâchoires (bâillements), avec la tête et boire un

l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au coté droit. Arthur Rimbaud, 1870 Ce poème est sans aucune hésitation mon poème préféré, par la simplicité

curieux, l’autre déjà pensive ! ». La dernière opposition du poème se trouve au vers 17 « S‘ouvrant et se fermant comme autant de narines » avec les participes présent ouvrant et fermant qui sont contraires et qui nous font penser à des vagues. Puis, dans ce texte, il y a une personnification, une comparaison de la mer en humain au vers 17-18 « comme autant de narines » « des cieux mille haleines ». Dans ce vers, il y a aussi une allitération en « r » et en « an » qui prouve la colère de l' Au vers

de muscles. Ceux-ci fonctionnent comme des pompes pour faire circuler l'oxygène. La contraction rythmique des muscles transversaux assure la circulation ordonnée de l'air, de l'avant vers l'arrière de l'animal.Où sont les narines ?L'air n'entre pas dans le corps par des narines, ni même des ouies. Il pénètre dans les trachées par les stigmates, minuscules trous situés par paires de chaque côté du thorax et de l'abdomen de l'insecte. L'animal peut les ouvrir ou les fermer à volonté. De plus, ces stigmates

traits serrés, réguliers et alignés rappelle les caractères typographiques des journaux. Sa tête déformé tourné vers l ‘arrière suggère souffrance et agonie, on n’y voit la forme d’une bombe, la bouche est ouverte, la langue en forme de pointe, les narine sont écartées et les dents sont apparentes. La lampe au dessus du cheval éclaire fortement et dessine à droite un triangle de lumière. La femme surgissant d’une fenêtre avec une lampe. Elle semble sortir de la ville détruite en brandissant une

souvienne. [...] Ici, au contraire, j'observais avec surprise l'intention marquée de l'artiste de rendre la malice arrivant jusqu'à la méchanceté. Tous les traits étaient contractés légèrement: les yeux un peu obliques, la bouche relevée des coins, les narines quelque peu gonflées. Dédain, ironie, cruauté, se lisaient sur ce visage d'une incroyable beauté cependant." "Que la statue, dis-je alors, soit favorable et bienveillante, elle qui ressemble tant à un homme." "Je vois sur le bras un petit trou