Narine

ils comportent tous les | | | |deux des éléments presque identiques | |Soldat |Bouche, froid, narine, main |      | |Champ lexical du sommeil |« Dort », « étendu », « fait un somme », « lit » |Explication

l’auteur, à travers ce texte, souhaite extérioriser les maux que lui cause l’absence de l’être aimé. Enfin, le champ lexical de l’odorat est important dans le texte : « je respire l’odeur » (vers 2) ; « odeur » (vers 9) ; « le parfum » (vers 12) ; « la narine » (vers 13). L’odeur qui interpelle l’auteur pourrait être celle de sa maîtresse, qui initie son rêve. En résumé, les deux champs lexicaux de la mer et de l’odorat croisés entre eux nous dévoilent que c’est grâce au souvenir de l’odeur particulière

l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Rimbaud Analyse et impression : Rimbaud endosse, ici, le coté

plénière, dont l'ouverture devait être un fort grand festin " vers 10, "Suivi des tours de Fagotin" vers 11. Ensuite il y a l'intervention des animaux aux vers 14 au vers 33 possédant tous des stéréotypes traditionnel : L'Ours est maladroit "boucha sa narine" vers 16, le singe est flatteur " flatteur excessif", le renard est rusé et intelligent " l'autre aussitôt de s'excuser, alléguant un grand rhume : il ne pouvait que dire " vers 30-31 et pour finir le lion est le roi, l'animal est lui même une allégorie

mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Un habitant dans la ville en flammes : les bras levés au ciel. La tension du cou est telle que le menton est en l’air et la tête renversée. Les yeux et les narines ont des formes de larmes. Picasso fait

| | |Poitrine | | | |Narine | | | | |

sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme. Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Analyse Introduction Le scandale de la mort de l'être humain, surtout quand elle est opposée à l'immuabilité et à l'enchantement de la nature

entraîner tout naturellement par la jeune femme. Arrivés au pas de la porte, je sentis un frisson d’excitation remonter le long de ma colonne vertébrale. L'air frais nocturne nous fouetta de plein gré. J'inhalai une bouffée d'air qui me brûla les narines. J’imaginai déjà, le chef d’œuvre flamboyant que pourrait me fournir cette merveille. 3h du matin sonne au clocher. Je me levai en regardant autour de moi, deux verres vides gisaient sur la table du salon et la jeune femme s'était lamentablement

réactions différentes. Le Lion maîtrise la syntaxe, la grammaire, la graphie ( « circulaire écriture » ). Ces animaux sont humanisés par la manière font La Fontaine parle de leur physique : « au nez des gens » les animaux n’ont pas de nez ni de narines, mais des naseaux. Ils sont tirés du côté humain : « grimace » vers 18, « rhume » vers 21. La Fontaine peint les animaux avec leur caractère, mais il peint également des personnes à part entière. Le fabuliste peut donc tirer une critique de cette

dans l’air et qui vient jusqu’à nos narines. Cette matière odorante peut être un parfum, mais aussi un aliment, une fleur ... Elle véhicule des molécules dans l’air. La taille et le poids des molécules (le poids des molécules est mesuré en dalton) émises pas les substances odorantes interviennent sur la longueur du trajet qu'elles peuvent accomplir.  Les molécules les plus légères voyagent plus vite. On dit qu'elles sont volatiles. Elles pénètrent alors les narines du nez, en passant  par des minuscules