Narrative

Appréciation d’un film : FIGHT CLUB DESCRIPTION Le film propose une structure narrative qui permet au public de mieux se situer dans la vie et les émotions du protagoniste, Jack. Concernant le scénario, sa mise en scène donne des indices de plus en plus révélateurs sur la psychologie de Jack. Par exemple, l’image subliminale de Tyler Durden à l’aéroport, avant même qu’il ne soit entré en scène, est un indice qui annonce déjà la double identité de Jack. Enfin, le flashback est utilisé vers

trouve dans un environnement balisé (le musée, la galerie) et qu’on nous le présente comme tel. Filliou a dit "Pour moi, ça ne fait rien si l’art n’existe pas, pourvu que les gens soient heureux" Cette installation est à la fois narrative et humoristique. Narrative car le spectateur imagine la scène qui se déroule à la simple lecture du titre, qui fait parti intégrante de l’oeuvre. Ce titre est une allusion au Nu descendant l’escalier de Duchamp (cité plus haut). Humoristique car la femme au

VOLTAIRE, Candide ,chapitre 19, Le nègre de Surinam Introduction Rappeler la fin du premier alinéa : "félicité" ; observer que la séquence narrative se termine par "en pleurant…" et se demander pourquoi … Une double dénonciation. I° Partie Voltaire dénonce le principe de l'esclavage. 1° § Ce passage insiste sur la misérable condition des esclaves. IA Misère physique : découverte progressive d'une réalité "horrible" (mot qui encadre le passage) Mutilation : émotion du lecteur et registre

Lecture Analytique Introduction : Première mésaventure de Memnon, première épreuve pour un premier précepte, on est apparemment dans une démarche narrative méthodique précise, c’est ce que nous allons montrer. I) Première entorse à la sagesse (dans la diérèse) a) reprise du précepte n°1, avec le jeune fille, beauté parfaite sur laquelle il devait rester froid et de fait il s’est laissé se trompant lui-même en la suivant pour la conseiller dans ses affaires b) la faiblesse du personnage

conte car il n’y a pas de faits surnaturels, mais on est à mi chemin entre le merveilleux et le réel. Le texte se présente sous la forme d’un roman réaliste. Toutefois, quelques hiatus (= décalages, coupures) se disséminent au sein de la structure narrative. En effet, l’auteur joue sur la confusion réalité/fiction puisque chaque protagoniste (Loup Bleu, Afrique) voit ou plutôt imagine le déroulement de la vie de l’autre à travers un œil. Ce procédé d’écriture de Daniel Pennac créée l’illusion d’un dialogue

nouveau roman duquel Giono se rapproche le plus avec ce roman bien qu’il s’oppose à en considéré comme membre. Le nouveau roman est un mouvement littéraire où l’auteur rejette la forme de roman traditionnel et le héros et cherche à créer des formes narratives originales qui reflètent la complexité du monde qui nous entoure. Alors les personnages de Jean Giono sont-ils primordiaux ? Sont- ils des héros ? Lequel est le plus apte à en incarner un ? Nous verrons comment, dans Un Roi sans divertissement,

fait saisir les principales caractéristiques. Nous allons donc nous demander quel type de livre nous annonce cet incipit - Plan : Nous analyserons d’abord la voix narrative qui s’exprime, puis nous montrerons que la ville d’Oran nous est dépeinte comme un cadre tout à la fois banal et symbolique Développement I) Une voix narrative étonnante et ambiguë - Le narrateur affirme être l’auteur d’une chronique. Une chronique n’est pas un récit fictif mais un recueil de faits réels racontés dans l’ordre

d’emblée dans une atmosphère ténébreuse. Il est possible de rendre compte de ce texte en montrant en quoi cette description peut-revêtir différentes fonctions : réaliste, narrative et symbolique. Nous verrons donc dans une première partie la description minutieuse d’un quartier populaire pour ensuite nous intéresser à la fonction narrative de cette description, c’est à dire la mise en place d’une atmosphère ténébreuse.

Première dichotomie : l’opposition millénaire entre mimésis et diégésis. Comment situer le récit par rapport à cette frontière ? On s’attendrait a priori à ce que Genette place le récit du côté de diégésis, qui correspond traditionnellement à la poésie narrative, tandis que mimésis désigne un type de représentation directe telle qu’en produit la poésie dramatique. Mais c’est compter sans les présupposés aristotéliciens sous-tendant l’œuvre de Genette, qui ne peut se résoudre à commencer son entreprise de

populaire. Initiatique, il montre la voie, il dit ce qui doit être, sous forme d’images, sans être didactique, il dit tout ce qui ne peut se dire où qui ne doit pas se dire. La simplicité de son récit permet à l’enfant d’assimiler rapidement sa trame narrative et son organisation. Certains contes sont issus de la tradition orale, d’autres sont inventés de toute pièce (plus récents). Le conte joue sur les contrastes et met en opposition les bons/ les méchants, le bien/le mal. Des classifications