Nasalisation

-étymologique : ier - er / iers – ers / iert – ert / iermes – ermes / non attestée / ierent -erent vient de ero, eris, erit... forme refaite (serai / seroie) inf latin esse + re (aphérèse) • aller inf latin : ire → irai / iroie → PHONETIQUE : la nasalisation 

d’articulation (ou la plosion la la en par l’explosion, ou l’occlusion sonore aspirée, la ou la sourde), friction, (rare palatisation, labialisation, français), dentalisation, la pharyngalisation et la l’oralisation nasalisation, lesquelles il y a articulation des consonnes, des semi-consonnes phoniques » et des voyelles. Les la « paramètres tonalité, la sont : l’intensité, 91 configuration articulatoire), et la durée de (en la phonétique

sera d'établir une hiérarchie entre ces axes sémantiques. De même qu'en phonologie tous les « axes » n'ont pas le même « rendement » (la durée — pâte vs patte, servant par exemple à discriminer beaucoup moins de mots que la sonorisation ou la nasalisation), de même il faudra classer les axes sémantiques selon qu'ils servent à diff érencier tous les personnages du récit ou simplement quelques-uns. Supposons par exemple que l'analyse d'un feuilleton découvre comme axes sémant iques récurrents

(o + semi-consonne) au XIIème, mais [wa] étendu partout à partir de la Révolution. ou = "o-ou" au XIIème, mais [u] aujourd'hui eau = ancienne triphtongue > [o] ; idem : faon (amuïssement du o) la consonne nasale double marque une ancienne nasalisation de la voyelle précédente  Corrections étymologiques : prononciation de consonnes muettes : subtil, admonester (amonéter), absoudre, rédemption, sculpter, dompter contradictions : coq / porc, arc / jonc consonnes finales prononcées pour des

qui permet de mettre l’accent davantage sur l'unité de cette langue plutôt que sur ses différences. Pour la langue parlée, c’est autre chose, dans le cas du portugais du Brésil, la prononciation est plus «douce», non «chuintante», avec peu de nasalisation des voyelles Les différences lexicales sont plus nombreuses et les emprunts aux langues amérindiennes sont nombreux Les autres langues qui sont parlées couramment dans tout le pays sont l'anglais, l'espagnol et le français. Dans certaines

phrases chantées mais toujours sans effort et sans intensité. Vous parvenez à vous promener sur toute l’étendue de votre voix ou presque ? Très bien. Vous en êtes au café, ou à la douche. Profitez de la douche pour chercher votre timbre dans la nasalisation. $ Chantez une bonne chanson de Robert Charlebois ou Céline Dion avec un bon accent canadien ; cela vous placera la voix dans les résonateurs. Chantez en voix de poitrine, puis une phrase en voix de tête, mais toujours sans chercher l’intensité

étaim, thym, nom, dom, parfum. Transformation des nasales. Il y a des syllabes nasales qui ont perdu ou qui perdent le son nasal : flamme (flame), femme (fame), année (anée), solennité (sola-nité) et dans les adverbes en emment (ament). Mais la nasalisation s'est conservée dans néan-moins, nous vin-mes, en-nui, en-noblir, enivrer, enorgueillir. La nasale en. La nasale en se prononce tantôt an tantôt in. 1° en final se prononce in : païen, chrétien, examen, sauf quand il est la préposition en et dans

bébé sourd entre quatre et cinq mois émet des vocalises parfaitement similaires à celles de l’enfant entendant. Ce n’est que plus tard que sa voix peut se détériorer. Le manque de contrôle audiophonatoire de l’enfant sourd peut entraîner des nasalisations (dues à un manque de prise de conscience de la fermeture du voile du palais) et des confusions entre des voyelles proches comme le [u] et le [y] par exemple. b-Les incidences psychologiques :

évidente : par exemple, le préfixe a-/an- se réalise [a] devant consonne (atypique), [an] devant voyelle (anoure). Cet te distribution ne peut pas s'expliquer par la règle ci-dessus, car /n/ est [+ son]. Si rien ne les bloquait, les règles de nasalisation du français prédiraient la prononciation *[atipik] à partir de la représentation sous-jacente /an/Ztipika/ (cf. intraitable, prononcé [etretabl]). Il semble donc bien ici que la réalisa- tion phonétique du préfixe soit liée à un contexte phonologique

d’exclamation ou d’un signe d’interrogation, qui était apparemment en concurrence avec d’autres graphies chez Molière, avait entre-temps supplanté les graphies euh/heu tout en en conservant le sens, cela pouvant correspondre à une légère nasalisation des prononciations réelles courantes ou bien à de nouvelles conventions orthographiques. Les éléments que nous connaissons ne nous permettent pas pour l’instant de trancher en faveur d’une de ces explications proposées. 9