Nassérisme

1ère sorte de conflit : les conflits nord/sud 1ère  « guerre du sud » entre 1956 et 1972, assez dure (massacres, fuite de populations civiles). A partir de 1969, le pouvoir a échu à des nationalistes soudanais. A l’époque, étant donné que le Nassérisme avait une certaine influence, on parlait de nationalisme nassérien. Accord en 1972 avec le sud, qui reconnaît l’autonomie du sud, doté d’une Assemblée régionale, avec un président exécutif qui est également Vice-président du Soudan. Mais 2ème guerre

conflit sanglant. Dans les années 70 et 80, on a observé une certaine accalmie. Le Soudan semblait évoluer positivement. Il est gouverné par une junte militaire qui s’affiche relativement laïque et assez proche de l’Egypte. Elle se reconnaissait du « nassérisme » ( « bonapartisme arabe » ) : cela se caractérisait par un interventionnisme étatique, prise de contrôle de certaines entreprises. Ce régime se démarquait de l’islamisme. Après cette période nassériste, le pays va plonger de nouveau dans la guerre

Créée en décembre 1995, juste après la prise du pouvoir de l’émir Hamad, cette fondation à but non lucratif est financée par l’État sous la forme d’une dotation pluriannuelle. Dans sa jeunesse, la cheikha, on l’a vu, a été influencée par le nasserisme et le nationalisme arabe, fer de lance de l’éducation de masse, non seulement pour les garçons mais aussi pour les filles. Sa fondation est pour elle une façon de jouer un rôle de premier plan dans une société tribale et ultraconservatrice où

1950, l'Entente mauritanienne (section de la S.F.I.O.), dirigée par Horma Ould Babana, élu député de Mauritanie à la première Assemblée nationale ; et, en 1955, l'Association de la jeunesse mauritanienne (A.J.M.), pro-arabe et influencée par le nassérisme. Ces partis représentent surtout les populations beidanes (Maures blancs), alors que la création du Bloc démocratique du Gorgol, en 1957, ou l'Union des originaires de la Mauritanie du Sud, en 1958, ont pour but la défense des intérêts des Noirs