Nationalisme en France

la nouveauté dans l'impérialisme de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle c'est qu'il n'est plus lié à l'idée d'un empire couvrant le monde connu, comme c'était le cas dans le cadre de la Pax Romana1. Au contraire, suite à la montée du nationalisme au XIXe siècle, cet impérialisme donne lieu à une lutte entre empires concurrents1 (Empire allemand, Empire britannique, Russie impériale etc.). Au niveau économique, l'impérialisme est alors de nature protectionniste et s'oppose au libre-échange

sont conciliables avec les principes universels de la France I)Existe-t-il un régionalisme corse ? A)Mais tout d’abord qu’entend-t-on par régionalisme? 1. Nationalisme On parle souvent de « nationalisme corse » , en quoi est-ce différent du régionalisme? La distinction est difficile car de nombreux thèmes sont communs aux deux mouvements comme la reconnaissance du peuple corse. Néanmoins on peut situer la naissance du nationalisme corse avec l’apparition du FLNC ( Front de Libération

être du même avis : la gauche a, par exemple, soutenu la politique de Nicolas Sarkozy en Libye. Mais des divergences (oppositions) existent toujours et surtout dans la façon de gouverner le pays. Par exemple, pour baisser le prix des loyers en France, la droite propose de favoriser la construction. Elle prétend que s’il y a plus de logements sur le marché, cela fera descendre les prix de l’immobilier. De son côté, la gauche veut réguler les loyers, c’est-à-dire, empêcher qu’ils augmentent trop

Fiche : Monde musulman au XXème siècle : Kémalisme – Nasserisme. * Kémalisme : nationalisme turc organisé par Mustafa Kemal. Il fonde une Turquie qui se veut moderne centré sur la région de l’Anatolie. Il veut redonner la grandeur de la Turquie à la chute de l’empire Ottomans. Il veut redonner sa grandeur à la Turquie en Orient, en empruntant ce qui peut être emprunté à l’Occident. Kemal a pris part au courant des « Jeunes Turcs », courant modernisateur qui appartient à l’élite sociale qui en

et profondément marquées par ces bouleversements ? I La Grande Guerre : une guerre différente. A. La montée des tensions. En 1914, la tension est à son comble entre la triple entente (France, Royaume Uni, Russie) et la triple alliance (empire allemand austro-hongrois et l’Italie). Par tout le nationalisme se renforce (même des minorités nationales). L’international socialiste défend la paix mais est peu suivi. En juillet 1914 le socialiste Jean Jaurès pacifiste convaincu est assassiné par un

pouvoir de battre monnaie Pouvoir de recourir à la force si nécessaire. L'exercice d'une souveraineté sur un territoire délimité par des frontières. La notion de souveraineté attaché à qui légitime qu'ul assume tant de fonction est, en France notamment, indissociable de la Nation. Plus la Nation est palpable, plus la souveraineté est effective. B) ...fondée sur l'existence de la Nation. a) Conception objective (ethnoculturelle) de la nation La nation comme donnée naturelle

1914: La fermeté des gouvernements correspond à la montée du nationalisme dans l’opinion publique. En Allemagne, les pangermanistes bénéficient de nombreux soutien au sein de l’armée et de l’Etat. L’enseignement véhicule l’idée de la nécessité de la guerre: « l’Allemagne est une forteresse assiégée » par les « barbares » Russes. Il faut à tout prix éviter l’encerclement du Reich et réaliser la Grande Allemagne. En France, le nationalisme connaît un regain de faveur dans une fraction de la jeunesse

1) Il y a des tensions entre les États. Par exemple, la France désire récupérer l’Alsace-Lorraine aux Allemands suite à la défaite des armées françaises en 1871. Ensuite, ces tensions sont reliées au nationalisme. Ainsi, plusieurs problèmes ont lieu à l’intérieur même des pays européens. Par exemple, les Serbes d’Autriche-Hongrie désirent leur rattachement à la Serbie. En Russie, des peuples, comme les Polonais et les Baltes, désirent leur indépendance. 2) Ces tensions ont entraîné de la méfiance

a émergé un débat sur la place des nations et de la forme Nation dans l’avenir de l’Europe. Loin de l’identification des nations aux nationalismes et à leurs expressions paroxystiques faciste et nazi qui les ont longtemps disqualifiées, l’objet d’étude Nation a été réinvesti depuis lors par les membres des sphères intellectuelles, lançant souvent, notamment en France et au Royaume-Uni, des débats critiques sur la forme actuelle de la construction européenne. Ainsi a donc été mis au jour un ensemble

Politiquement, le terme "droite" désigne des courants ou partis mettant en avant la rigueur morale et un certain conservatisme, ce qui fait qu'en France, les hommes politiques ont longtemps refusé de se définir comme étant de "droite". L'ordre, le travail, la famille et la responsabilité individuelle sont plutôt considérés comme des valeurs de droite, tandis que la gauche s'intéresse davantage à la justice sociale, l'égalité, la solidarité, l'humanisme, la laïcité. Différentes tendances pouvant