Nationalisme Et Citoyenneté

• Officiellement, la France mène dans ses colonies une politique d'assimilation : son objectif est donc normalement de transformer les colonisés en citoyens français qui auraient un statut d'égalité avec les citoyens métropolitains. Mais cette citoyenneté n'est accordée dans les faits qu'à une toute petite minorité d'autochtones, le plus souvent des membres de l'ancienne élite qui ont accepté d'aider les Français à diriger la colonie et servent d'intermédiaires avec le reste de la population. Cependant

où vivaient un million d'européens principalement français et à côté d'eux, vivaient 8.5 millions d'arabes et de berbères. La population algérienne était dépourvue de la pleine citoyenneté française dans la mesure où elle était dépourvue du droit de vote. Les français étaient opposés à toute réforme alors que le nationalisme algérien se développait. Dès 1943, les algériens avaient fait apparaître leur aspiration dans le manifeste de Fehrat Abbas en mettant en avant l'égalité en droit. En 1945, la France

s'opposent à la droite des industriels et, souvent, de l'Église. Profitant de la crise sociale et politique dans laquelle l'Italie sombre après la Première Guerre mondiale, Benito Mussolini impose le fascisme, une doctrine totalitaire aux ingrédients de nationalisme, de productivisme et d'élitisme. Avant que ne se révèle toute la violence de son régime, Mussolini suscite l'admiration par l'ampleur de ses projets de travaux publics et l'apparence d'ordre qu'il a insufflé à son pays. « Une révolte impitoyablement

principes affichés par la République française, a entraîné des massacres de centaines de milliers d’Algériens ; et qu’il les a dépossédés, "clochardisés" - pour reprendre le terme de l’ethnologue Germaine Tillion - à une grande échelle, exclus de la citoyenneté, soumis au code de l’indigénat, et sous-éduqués, au déni des lois en vigueur. Elle nous apprend aussi qu’il y eut de multiples souffrances de Français, parfois déportés en Algérie pour raisons politiques, ou embrigadés dans les guerres coloniales

L’aube du nationalisme : * Origines du nationalisme en Europe : une réaction gallophobe : réaction d’une classe laborieuse à l’encontre de leurs élites réputées frivoles et immorales. Les français commencent a devenir athée. * Nationalisme anglais * Nationalisme néerlandais * L’Allemagne et la préromantisme, la pensée de Johann Gottfried Herder * Nationalisme français et suisse On voit donc la montée du nationalisme dans l’ens de l’Europe. Le terme de nationalisme est très

La révolution française met fin à cette matrice et donc met fin à plusieurs milliers années d’histoire hiérarchisé. On en vient à renier notre héritage pour aller vers la figure moderne de l’individu à travers plusieurs dynamiques: - la citoyenneté: il y a passage de sujet à citoyen, un acteur politique. Il y a invention de la façon d’être de la politique, une nouvelle vision de la souveraineté (légitimité populaire, les principes sont tirés du peuple partagé par chacun d’entre nous). Même

gouvernance (ici prise simplement comme "manière d'exercer le gouvernement", nous verrons d'autres significations plus bas) en en faisant une série de processus ad hoc changeant avec les problèmes et les situations et vidant la citoyenneté politique remplacée par des citoyennetés locales ou fonctionnelles et constituant de ce fait une "régression démocratique" née de la fragmentation et diffusion du pouvoir dans des régimes de "confusion dynamique des pouvoirs"? (8) C'est que plusieurs visions de

Juifs des agressions !). • au XIXe s., siècle de l’éveil des nationalismes européens, particulièrement dans les pays de langues germaniques ou slaves, se développe un sentiment national juif (un nationalisme, qui ne se confond pas avec la religion), qui aboutira à la création du mouvement sioniste. • le sionisme, né dans le creuset de la pensée allemande du XIXe s., en épousera toutes les variantes et toutes les contradictions : nationalisme (désir d’une “terre sans peuple pour une peuple sans terre”)

paix et la fin des guerres. Aujourd’hui la période des jeux olympiques ou du sport en général devrait bannir le dopage et centraliser le sportif dans la sphère juridique et sportive. Bibliographie : Ouvrages : * F. BAILLETTE, Sport et Nationalisme, Esméralda « Quasimodo mon amour », Ed. Quasimodo, Octobre 1996. * H. RISSE, August Reher Verlag Soziologie des Sports, Berlin, , 1921. * N.ELLIAS, N.Ellias & E. Dunning, Sport et civilisation, la violence maîtrisée, Paris, Fayard, 1994

fréquente les cafés où l’on parle de politique et sa vie dans la Vienne cosmopolite des Habsbourg développe par opposition son antisémitisme et son nationalisme. Lors de l'entrée en guerre, il s'engage dans un régiment de Bavière. Il est blessé grièvement par les gaz, décroche une croix de guerre et il en sort en 1918 avec le grade de caporal. Son nationalisme fanatique encourage l'armée à l'employer comme informateur politique auprès des groupuscules extrémistes qui fleurissent après la défaite allemande