Nationalisme Et Citoyenneté

J.Ferry, discours sur la colonisation Bréal, document 3 page 133 : C.Rhodes sur la fonction de l’impérialisme. Manuel première, document 2 page 85, G.Clemenceau et F.Passy critiquent la colonisation -le contexte politique : puissance des nationalismes et esprit de revanche, notamment dans le cas français après 1871, le désir de se constituer un empire symbole de puissance. On peut parler « d’amour propre). Puissance de l’idéologie libérale qui tend à faire reconnaître les droits de l’homme comme

de chance d'accomplir cette mission. L'impulsion aurait pu venir d'un consensus des grandes puissances, mais celles-ci sont divisées ou simplement absentes. Dès lors, les déséquilibres l'emportent. La balkanisation de l'Europe exacerbe les nationalismes qui ne peuvent se satisfaire de compromis par nature décevants. Paradoxalement, l'Allemagne vaincue devient le principal partenaire de chacun des nouveaux pays, tout en dénonçant le sort des populations germanophones désormais réduites à l'état

le tirage au sort qui désigne les représentants du peuple et non le vote comme pour ceux du peuple romain. Dans les deux cas, esclaves, femmes et non-citoyens sont exclus de tout rôle politique (cependant c'est par les femmes que se transmet la citoyenneté). Au Moyen Âge, les villes s’affranchissent progressivement du pouvoir féodal. Dans le Saint-Empire romain germanique, on parle de ville libre d'Empire, dans le Royaume de France de ville franche. Rétrospectivement, les historiens baptiseront de

l’Etat des communautés autonomes 18 1- L’État espagnol et les Communautés autonomes IV- Le fédéralisme fiscal et l’État des communautés autonomes 22 1- La redéfinition des critères de financement autonomique sous la pression du nationalisme catalan 2- La mise en place de l’autonomie financière et l’essor d’un fédéralisme fiscal asymétrique (1993-1996) 3- Le financement autonomique et les réformes de 2001 et de 2009 : Le symbole d’un «modèle indéfini» ? Partie II : Tissu entrepreneurial

...............................................23 Religion et laïcité..............................................................................................................................................................23 Religion et citoyenneté ....................................................................................................................................................24 L’affaire du « foulard islamique » en France................................................

bureaucratie plus ou moins forte et c’est ces différentes formes d’Etats qui vont devenir le cadre institutionnel du système politique au XIXe siècle autour du système d’intégration des masses dans cette sphère politique. Chapitre 2: Nations et citoyennetés Ce qui caractérise le système de légitimation politique c’est le système de l’idéologie du roi. Cette idéologie prétend que le roi n’était soumis qu’à la loi divine et non à la loi humaine. La volonté du roi ne pouvait s’imposer dans les faits

dans la vie collective : En 1848, on se rend au bureau de vote en collectivité (ex : Ensemble des ouvriers de l’entreprise X, Ensemble des paroissiens de l’église Y ….) 2. L’Apprentissage du vote : La Démopédie La Démopédie : Education à la citoyenneté, à la démocratie. C’est le processus par lequel le vote va devenir un vote citoyen, va s’organiser d’une façon plus individuelle. En 1918 on vote seul dans l’isoloir avec enveloppe dans une urne. Ces dispositifs sont le fruit de réformes des républicains

de confédération de Napoléon. Il y a un retour a l’idée d’Europe existant au moyen âge. L’époque moderne souhaite donc une alliance « fédérative » basée sur des principes de paix, de légitimité et sur le droit public. En 1848, les états et le nationalisme émergent avec les révolutions et les revendications d’unité des états. En 1870, Victor Hugo appelait de ses vœux la construction d’un état Paneuropéen seul garant de la paix sur le continent. Aussi ces états unis d’Europe devaient être également

Gobineau15 (Essai sur l'inégalité des races humaines). Sceptique et hanté par la corruption de la démocratie et le déclin des valeurs aristocratiques, il défendra aussi une vision « de la puissance et de la grandeur nationale », annonçant le « nationalisme du siècle suivant »16. Son œuvre fondée sur ses voyages aux États-Unis est une base essentielle pour comprendre ce pays, en particulier au cours du xixe siècle. Même si une des raisons profondes de son voyage est de partir pour éviter les regards

utilisation de la souveraineté alliée au nationalisme, pour justifier la dictature à l’intérieur et l’affranchissement des règles du droit international à l’extérieur. Il faut cependant considérer qu’il en est de la souveraineté comme de toutes les notions juridiques : elles sous-tendent une vision philosophique et une intention politique. Cela explique quelques contradictions dans les doctrines et les prises de positions. Ainsi par exemple, le nationalisme serait vicieux quand il se manifeste au