Nationalisme noir

des principes démagogiques tirés des différentes tendances qui les composent et donc susceptibles de séduire le plus grand nombre. Mussolini va dans un premier temps faire briser les grèves à ses squadre, milices d'anciens combattants (« chemises noires ») qui n'hésitent pas à menacer et torturer les syndicalistes et leurs familles pour faire cesser les mouvements sociaux. Ils ont même recours à l'assassinat. Son action séduit la bourgeoisie d'affaires et les chefs d'entreprise qui le financent.

Quelles furent ses faiblesses. Évoque les conséquences. Les causes : * La rivalité coloniale : les allemands désirent le Congo belge et français pour relier leurs colonies ce qui provoque des conflits au sein même des colonies. * Le nationalisme : il prend de plus en plus d’ampleur. La France veut sa revanche sur l’Allemagne qui lui a pris l’Alsace et la lorraine. Le pangermanisme et l’impérialisme allemand provoquent des tensions économiques avec les autres pays. * La course à l’armement :

des principes démagogiques tirés des différentes tendances qui les composent et donc susceptibles de séduire le plus grand nombre. Mussolini va dans un premier temps faire briser les grèves à ses squadre, milices d'anciens combattants (« chemises noires ») qui n'hésitent pas à menacer et torturer les syndicalistes et leurs familles pour faire cesser les mouvements sociaux. Ils ont même recours à l'assassinat. Son action séduit la bourgeoisie d'affaires et les chefs d'entreprise qui le financent.

progressive, continuent d’entretenir des liens par le biais du Commonwealth (communauté crée en 1931). D’autre part, elle comprend les colonies « non blanche » dont le principal est l’Inde. Vient ensuite l’Empire Français qui s’étend sur l’Afrique noir, le Maghreb et l’Indochine. On distingue deux types d’administrations : Le Protectorat (crée en 1884) fait partie de ce qu’on appelle l’administration indirecte, et est représentatif du système français. A la fin du XIXe siècle, les français acceptent

division internationale du travail, ses méthodes de production, et elle essaye de modeler à son image toutes les autres sociétés. L’expansion s’accentue car la population du continent augmente, la production aussi. Mais il y a aussi le progrès du nationalisme qui entre en compte. Un des caractères essentiels est l’impérialisme, qui peut naître de plusieurs facteurs : accroître son prestige, assurer une position stratégique, mais aussi « le fardeau de l’homme blanc » en apportant en Afrique et Asie la

à ceux-ci le régime communiste de LENINE, étudié au chapitre précédent, nous avons trois mouvements contemporains (1917-1919) qui, sous leurs symboles respectifs - la croix gammée, les faisceaux, la faucille et le marteau - allaient, au nom du nationalisme et du socialisme, mener le combat contre les démocraties libérales capitalistes. Ils se réclamaient tous trois d'une économie étroitement contrôlée et centralisée ; ils faisaient valoir le caractère unique de leurs destinées nationales, militaires

son idéologie fasciste : l’exaltation de l’Etat. Pour cela, il met en place une doctrine socio-économique: le corporatisme. Elle est basée sur le regroupement des activités d'une même branche au profit de l'Etat. Elle exalte le parti unique et le nationalisme afin de faire apparaître un sentiment de fierté nationale. Mussolini stimule alors la consommation, les grands travaux et l'activité économique. Il veut également faire passer l'intérêt national avant l'intérêt individuel. Son idéologie fasciste

skat » est une peinture à l'huile faite par Otto Dix (1891-1969), mesurant 1m17 sur 0,97m, avec l'utilisation de collage. Le thème générale est la guerre et à travers cette œuvre, il dénonce les atrocités que la guerre a pu faire. Il critique le nationalisme . Otto Dix est un peintre Allemand expressionniste, qui pendant la première Guerre Mondiale s'engage comme volontaire dans l'armée allemande. L'horreur de la guerre va marquer la plupart de ces œuvres. En 1919, il adhère au mouvement Dadaïsmes

la colonisation n’est plus dans l’air du temps. Elle apparaît comme un vestige archaïque du passé. Aux origines du nationalisme Le système colonial portugais est confronté, tout comme celui des autres puissances européennes présentes en Afrique et en Asie, à une montée des thèses anticoloniales durant la première moitié du XXe siècle. En Angola, le principal foyer de nationalisme se trouve alors dans la région côtière. Dans les années 1910, des Métis et des Noirs assimilés de Luanda et de Benguela

allemand et les dirigeants politiques qui, d’après Christopher Clark, ont seulement agit en suivant leur volonté de faire de l’Allemagne une puissance mondiale. La crise de 1914 fut donc, tour à tour, une cause du système d’alliances défaillant, du nationalisme, de l’impérialisme économique (comme le prône la théorie marxiste), du comportement belliqueux de l’Allemagne, du culte voué à l’offensive, parfois même, la responsabilité est rejetée sur un peuple dans son ensemble – un peuple « conspirateur »