Nature Morte Photographie

impression de chaos, on constate que la composition repose solidement sur quelques figures. - A gauche, la mère et l’enfant. Accroupie, par terre, le buste dénudé, cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Cette représentation n’a rien d’une photographie ; pourtant tout dans l’attitude de l’enfant évoque sa mort, tout dans l’attitude de la mère évoque la détresse. Le visage vu de profil, est renversé, tourné vers le haut. La mère hurle sa douleur. Ses narines et ses yeux ressemblent à des larmes

est difficile de rester insensible devant un ballet russe tel que Casse-noisette ou tout autre Tchaïkovski, mais comment un chant naïf, un vif mouvement pourrait-il te faire, ne serait-ce qu'une seconde, réfléchir sur le monde ? Un paysage, une nature morte, un Guernica... Ces peintures te ravissent certes les yeux, te transportent dans une autre époque, te retracent un évènement. Un autre tableau, une autre émotion. Cela prouve bien la fugacité de cet art et ses limites. J'ai

la Révolution Industrielle en Europe où de nombreuses innovations technologiques voient le jour. De la même façon de nouvelles idées apparaissent dans l’art ( peinture en plein air grâce à l’invention des tubes de peinture, démocratisation de la photographie…) Analyse de l’œuvre principale : Reportez vous aux grilles d’analyse d’œuvre type données par les professeurs (sur le blog). Employer un vocabulaire technique précis et adapté. (20 lignes MINIMUM) Impression soleil levant est une huile sur

des dessins, en composant des partitions, en écrivant un poème, l'artiste crée des oeuvres au travers d'un tableau, d'une statue, d'une chanson, d'une littérature... On le constate avec élégance lorsqu'on contemple une peinture représentant une nature morte telle que la volaille, les fruits, les fleurs, la femme, l'homme.. On ne peut rien manger de tout ceci, on ne peut rien se servir, on ne peut se servir de qui que ce soit. En revanche le propre de l'artisanat et de produire des objets qui non seulement

pouvoir", le dossier de présentation et d'analyse d'une oeuvre d'art et d'un artiste doit mettre en valeur les rapports complexes qu'entretiennent les artistes, le pouvoir et l'Etat. Il faut s'interroger sur la fonction sociale des artistes et la nature de leurs œuvres , dans un contexte politique et social déterminé. Les relations entre artistes et pouvoirs doivent servir de fil directeur pour exposer les choix esthétiques et plastiques des oeuvres, l'engagement ou la critique de l'engagement des

s’exclure ou se nier. Une fois bien introduits ces idées de texture et d’objet, Rowe et Koeter font intervenir le concept de « Collision City ». C’est un modèle de ville où coexistent ces couples opposés. Ils prennent l’exemple de la Rome antique (photographies de maquettes et plan des « collisions »), où les objets de l’empire rencontrent brutalement la texture de la ville. La « collision » et le « bricolage » (faire avec ce qui est sur place) sont finalement des occasions de sauvegarder la ville et

déformation de corps par l’esprit. Et au delà de la tête on comprend vite que Bacon s’intéresse à la viande comme état du corps où la chair et les os se confrontent localement. Pourquoi de la viande ? Parce que pour l’artiste ce n’est pas une chair morte mais l’esprit de toutes les souffrances comme l’objet de la pitié. « L’homme qui souffre est de la viande, la bête qui souffre est un homme », ce n’est donc pas de la pitié pour les bêtes. La viande est donc le rapprochement entre l’homme et la bête

» (Gil Blas, 3 juillet 1883), « La Chevelure » (Gil Blas, 13 mai 1884), « La Tombe » (Gil Blas, 12 août 1884), « A vendre » (Le Figaro, 5 janvier 1885), « L’Inconnue » (Gil Blas, 27 janvier 1885), « Sur les chats » (Gil Blas, 9 février 1886), « La Morte » (Gil Blas, 31 BENHAMOU, Noëlle79 tiel à l’œuvre de Maupassant – associé au fantastique pour montrer la proxi- mité permanente avec le réalisme. Ces écrits ancrés dans le quotidien unis- sent les fantasmes érotiques masculins d’une époque et l’angoisse

douleur, de ce qui deviendra, en 1954, Le livre de ma mère. On peut alors s’interroger sur les caractéristiques de ce roman. Pour cela, nous verrons en premier lieu une rapide biographie l’auteur, puis, la présentation du contenu du roman, et enfin, la nature et les caractéristiques de l’ouvrage suivi d’une analyse des thèmes abordés. Albert Cohen, né à Corfou le 16 août 1895, mort à Genève le 17 octobre 1981, est un poète, écrivain et dramaturge suisse romancier d'expression française

Colette I-Biographie Sidonie-Gabrielle Colette est née le 28 Janvier 1873 et est morte à Paris le 3 août 1954. Dans son enfance, elle vécut à Saint-Sauveur-en-Puisaye, dans l'Yonne, ou elle était choyée par sa mère, considérant sa fille comme un « joyau tout en or ». Ce goût de la vie s'est éveillé dans la maison ci- dessous « Dans mon quartier natal, on n'eût pas compté vingt maisons privées de jardin. Les plus mal partagées jouissaient d'une cour, plantée ou non, couverte ou non de treilles