Négation

renforcé par la disjonction de l'adjectif et du nom qui met en relief « praecipites » (avant la coupe) et le lexique de la guerre, «oppida », « tuba » « aeris cornua », « galeae », « ensis » et « militis » mais tous ces termes sont ici précédés d'une négation. Les hommes de l'âge d'or mènent donc une vie tranquille :comme le montre le vers 12 qui constitue une antithèse par rapport aux vers précédents ; la tranquillité est mise en relief par le rapprochement de 2 adjectifs de cet ordre, « Mollia securae

Cette spontanéité de l’auteur est accentuée par les vers libres aux rimes libres ou assonances ainsi que par les ruptures d’énonciation et de thèmes. De plus, cette tonalité est également visible par l’humour et la fantaisie : vont se succéder 6 négations en anaphore avec la conjonction de coordination « ni » sur la symbolique des drapeaux tricolores qui pavoisent la ville. Certaines font sens tandis que d’autres sont énigmatiques. Le vers 2 est très court « voilà les riches vêtements des pauvres »

mauvais esprit. De plus, de la ligne 13 à la ligne 16, nous pouvons identifier une répétition de négation : « Si quelquefois une femme survient qui n’est point de leurs plaisirs, la bande joyeuse ne peut comprendre qu’elle ne sache point rire des choses qu’elle n’entend point, et paraisse insensible à des fadaises qu’ils n’entendent eux-mêmes que parce qu’ils les ont faites ». Cette répétition de négation permet de mettre en exergue l’intolérance et la misogynie présentent dans cette coterie. La Bruyère

vit toujours entre le désir et l'ennui. Il faudra donc, selon lui, la « négation du vouloir-vivre » chez l'homme, c'est à dire une négation de la volonté. Ce n'est pas une négation de la vie mais de la volonté. Ce serait la solution de Schopenhauer. Nietzsche lui, semble être le penseur par excellence de la non culpabilité face à un monde idéal hypothétique. Au contraire de Schopenhauer, Nietzsche n'appelle pas à la négation de la volonté mais à une affirmation. Cette affirmation est une manière

concernant le décor, par la négation des perceptions et par l'insistance sur des préoccupations personnelles. L'imprécision de l'environnement. la nature du paysage environnant est simplement indiquée par des notions géographiques sans caractérisation ("la forêt", "la montagne"). De même le paysage de la strophe 3 ("l'or du soir", "les voiles") semble indistinct, ce que suggère l'adverbe "au loin". Le phénomène d'imprécision est d'ailleurs plus nettement souligné par les négations. Les perceptions niées

vont les enfants. . Le GN est suivi d'une proposition subordonnée relative déterminative, épithète liée de l'antécédent "enfants". Le pronom relatif "dont" est COI du verbe "rit". La proposition relative comporte une double négation : "pas" + "ne" : Le "pas" est une négation partielle portant sur le sujet de la relative "un seul" Le "ne" discordantiel est explétif (= il est décoratif, et a une valeur affirmative : "il n'y en a pas un seul qui rit") - Les deux autres sont incomplètes, puisque l'adverbe

sont tue : « silence » (l.10) et ne sont plus que groupe « général » (l.10). Les multiples négations qui suivent « ne portaient » (l.11), « ne poussaient » (l.12) affirme leur impossibilité à l’Ac. Malraux les dénature en leur arrachant les objets qui les définissent « pas de paquets, d’éventails » (l.11). Lobotomisé donc ils errent morne. L’utilisation du mot « but » (l.13) additionné à une double négation « n’eut aucun » (l.13) finie de sceller la vitalité sur l’autel de l’abrutissement. Tchen fait

contrairement à Octave, prisonnier de ses passions. ● Poète, sensible, capable d'aimer, «lui seul»: être unique, voire supérieur. ● Portrait en diptyque: il valorise Coelio et se dévalorise sans complaisance (formules réductrices et marquées par la négation «je ne suis qu'un»): opposition: le noir = Octave, le blanc = Coelio: «Coelio était la bonne partie de moi». ● L'occasion pour Octave de faire un examen de conscience, afin de prendre sa décision. II. Le renoncement d'Octave à la vie et à

Questions : 1) Résumer en une ou deux phrases le récit de figaro. Quel est l'effet produit par la répétition des phrases négatives ? Ce que critique Figaro c'est l'absence de liberté d'expression dans la France d'ancien régime. L'énumération des négations montre l'impossibilité d'écrire sur n'importe quel sujet. En conséquence parler de douce liberté est une antiphrase. De la même façon "je puis tout imprimer librement sous le contrôle de deux ou trois sensor" est une litote ( figure de style ) ;

que «son âme indifférente n’éprouve ni charme ni transport aux doux tableaux ». La double négation « ni et ni » marque le fait que l’auteur est insensible face aux paysages qu’il contemple. Puis le poète « contemple la terre ainsi qu’une ombre errante », il compare la « terre » à « une ombre errante », le poète est comme un fantôme en exil sur terre. Enfin «le soleil n’échauffe plus les morts », la négation partielle suggère que les morts ne sont plus échauffés par le soleil désormais, le poète