Négationnisme

 que ce soit pour l' État ou pour les français.    Nous  allons  procéder  à  cet étude  par étapes, premièrement en  présentant les jours de  la  France   pendant  et  après­guerre,  en   allant  du   mythe   de   la   résistance,  au   grand   silence   des  juifs  survivants  et  au   négationnisme.  Ces  éléments  présenteront  la   deuxième   partie   qui  évoquera   le   travail  incessant  des  historiens  étrangers,  anglais  et  américains,  qui donneront l’impulsion  aux   historiens  français  pour  constituer  une   mémoire,  une

pensées racistes, des pensées non-conformistes, c’est à dire des pensés inadaptées selon le contexte. Comme par exemple l’histoire ; penser que les chambres à gaz n’ont pas existées. Mais si j’exprime tout haut ses pensées je peux être accusé de négationnisme. Rien n’interdit les pensées racistes, seulement si je les exprimes je peux être puni par la loi qui défend les droits fondamentaux énoncés ; l’égalité. Être libre et faire des choix c’est être autonome. Être autonome signifie être responsable

des normes sociales, quant à elle, ne donne lieu qu'à des sanctions diffuses. Mais quand la pression sociale devient forte sur certaines transgressions de normes sociales, celles-ci se traduisent dans le droit, exemple : délit de racolage, de négationnisme. La pression sociale peut également changer la loi quand les normes sociales évoluent, exemple : acceptation du divorce, du PACS. Ceci signifie donc que la norme sociale relative à un phénomène social identifiée s'est inversée et on le vérifie

directs ou indirects: l'injure, la diffamation, la calomnie (Libel/slander:Accusation mensongère portant atteinte à l'honneur de quelqu'un), l'incitation à la discrimination (racisme, antisémitisme, homophobie), à la haine et à la violence, le négationnisme. La censure de la minorité par la majorité = dangereux Le pape François a affirmé que la liberté d’expression nécessite des limites : "La liberté d’expression… Non seulement chacun a la liberté, le droit et aussi l’obligation de dire ce qu’il

du parti communiste français Mémoire de Vichy et de la Shoah •Reconnaissance de la responsabilité de l’Etat dans la déportation, discours de J. Chirac 16 juillet 1995 •Procès pour crime contre l’humanité  : K.Barbie, Bousquet, Papon •Crime de négationnisme •Indemnisation des descendants des juifs déportés … 

l’état français. B. La victoire de la mémoire juive Comment ? grâce à • des films • des livres (Primo Levi) • des associations → militent pour que soient jugés les hauts responsables de la déportation juive. • La lutte contre le négationnisme • la mise en place d’une journée nationale (16 juillet) commémorant les victimes des persécutions raciales et antisémites par l’état français. - Le 16 juillet 1995, le président de la République française Jacques Chirac reconnaît (cf doc n°3

des responsables politiques français provoque la colère d’historiens qui n’admettent pas que la loi écrive l’histoire ou soulignent que la repentance à outrance nuit aux mémoires. 2. La revendication de mémoires oubliées et la lutte contre le négationnisme En 1990, la loi Gayssot fait de la négation des crimes contre l’humanité un délit. La loi s’affirme ainsi comme instrument de mémoire, en condamnant la perversion de cette dernière. L’État encourage des journées commémoratives pour empêcher l’oubli

des responsables politiques français provoque la colère d’historiens qui n’admettent pas que la loi écrive l’histoire ou soulignent que la repentance à outrance nuit aux mémoires. 2. La revendication de mémoires oubliées et la lutte contre le négationnisme • En 1990, la loi Gayssot fait de la négation des crimes contre l’humanité un délit. La loi s’affirme ainsi comme instrument de mémoire, en condamnant la perversion de cette dernière. • L’État encourage des journées commémoratives pour empêcher

doit-on tolérer l'intolérable? Ces limites sont malaisément identifiables: la liberté d'expression, par exemple, pose des problèmes extrêmement délicats (on ne saurait tolérer l'incitation au racisme... mais quelle attitude adopter vis à vis du négationnisme*?). Le débat sur ces questions est particulièrement vif aujourd'hui aux États-Unis, où les représentants de certaines minorités (femmes, Noirs, etc.) mènent une campagne contre certaines formes d'expression jugées politiquement "incorrectes".

à une ethnie, une race ou une religion déterminée » La loi du 13 juillet 1990 renforce la loi précédente en accordant aux associations un droit de réponse dans la presse ou les médias audiovisuels. D’autre part, elle réprime le délit de « négationnisme », c'est-à-dire la contestation de l’existence d’un ou de plusieurs crimes contre l’humanité V. CONCLUSION Le racisme et la xénophobie sont à l’origine de périodes qui ont marquées l’histoire. Ils sont encore encrés dans la mentalité de