Négritude

fois en 1934Parution du recueil Pigment en 1937 Présentation de L. G Damas (d'après article de Kathleen M. Gyssels dans la revue Esprit du 27 mars 2012) Né le 28 mars 1912. Est un des fondateurs de la Négritude avec L.S Senghor et Aimé Césaire. Il veut unir la diaspora africaine, disséminée aux quatre coins du globe. 1928 : arrivée en métropole. Quand il arrive, il a déjà dû subir la mort de sa mère (il avait un an), celle de sa grand-mère (à deux ans)

intro : Dans la première section du discours sur le colonialisme (auteur, genre, mouvement), Césaire rappelle l’argument majeur des colonisateurs. Colonisation = civilisation. Mais dans cet extrait de la deuxième section, le fondateur de la Négritude s’attarde à réfuter tous les arguments de l’Europe colonisatrice. En quoi la stratégie argumentative d’Aimé Césaire est-elle particulièrement efficace ? I-                    Un discours poignant a)      Présence forte du locuteur -          Anaphore

5 1e, commentaire n°1, corrigé semi-rédigé Corrigé (plan semi-rédigé) du devoir de français (commentaire) Raphaël Confiant, Chimères d’en ville (1985). [Dans le cadre de l'étude de la séquence "argumentation".] La négritude, mouvement culturel, philosophique et littéraire des années 40 et qui a traversé les océans (en incluant Césaire, Senghor, Damas) a aussi traversé les générations jusqu’à produire, quelques décennies plus tard une nouvelle vague d’écrivains revendiquant

laquelle la philosophie est une exclusivité occidentale. II. LES RAISONS HISTORIQUES D’UNE RECONVERSION DE MENTALITES : LE CAS DE LA 2ème GENERATION DE PENSEURS OCCIDENTATAUX Mais avant de nous étendre davantage sur Senghor et le courant de la Négritude, arrêtons-nous un instant sur ce qu’on peut nommer la deuxième génération de penseurs occidentaux à s’intéresser au problème de la philosophie africaine. Quelle différence avec la première génération, c’est-à-dire les Hegel, Lévy-Bruhl, Heidegger

implications du terme “négritude,” on a coutume de voir dans ce terme, lancé naguère par Aimé Césaire, plus qu’il ne contenait à l’origine, à savoir, une prise de position véhémente sur le problème racial. En effet, Sartre réussit à donner au néologisme de Césaire une extension extraordinaire, en proposant une interprétation qui intègre la prise de conscience noire dans le cadre de la philosophie existentialiste dont il était, en France, le chef de file. Pour lui, la Négritude se définit comme “l’être-dans-le-monde-du

identité créole. IV. La Diaspora africaine aux Amériques Après cette première période des années soixante-dix et début quatre-vingt où les personnages de Condé retracent les pas de leurs ancêtres africains, Condé rejette l'Afrique, Césaire et la Négritude.* Ses personnages retournent, avec elle, dans les Amériques dont les Caraïbes font partie. Les personnages condéens donnent alors vie aux multiples visages de la Diaspora Noire présente sur le continent américain du nord comme du sud. Reconnaître

romanesque. Les plus importants par ordre chronologique sont: la négritude, la creolisation et la créolité. La Négritude est sans doute le plus important et celui qui a marqué la grande rupture avec l’Afrique coloniale. Il s’agit d’un mot forgé à la fin des années 30 dans les débats intellectuels noirs de Paris, lancé par l’antillais Aimé Césaire et repris par le sénégalais Léopold S. Senghor ainsi que par Sartre. La négritude est d’abord un signe de reconnaissance, un mot par lequel on revendique

avaient de plus pernicieux.(...)" I) Fiche d’identité de l’œuvre Auteur : Aimé CESAIRE Nature : Discours Genre littéraire: Essai (pamphlet) Date de publication: 1950 Mouvements : Négritude Contextes Historique : Dans le contexte des luttes anticoloniales des années 50, le poète martiniquais commet une œuvre pamphlétaire. Littéraire : Dans les années 1930, alors qu’avec la colonisation pèse encore le poids des

Très souvent, la littérature antillaise s’inspire du passé de l’esclavage et des troubles d’identité de la population antillaise. Il existe différents courants littéraire, variés et complémentaire, chacun représenté par un écrivain chef de file. La négritude est un courant littéraire né dans les années 1950, fondé par le martiniquais Aime Césaire, l’homme de lettre sénégalais Léopold Sedar Sengor et le poète guyanais Léon Gontran Damas. Ce courant littéraire recouvre trois influences : la philosophie

(Hourra l’Oural, 1934), Paul Claudel, pétainiste en 1941 (Paroles au Maréchal) ou Paul Éluard(Ode à Staline, 1950) ou encore Jacques Prévert et ses positions anarchisantes dans Paroles (1946-1949). Léopold Sédar Senghoren 1980 Les poètes de la Négritude, Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor notamment, représentent quant à eux une branche particulière de la poésie francophone du xxe siècle, dont l’engagement et les idées véhiculées, très forts, sont encore assez confidentiels en France. Édouard