Nemours

issue du courant précieux. Ce court roman nous dévoile les mésaventures de Mademoiselle de Chartres qui se verra marier au prince de Clèves, mais qui au cours d'un bal, tombera sous le charme du duc de Nemours. Dans ce passage, le lecteur se met face à la lecture de la lettre adressée au duc de Nemours et aux mésinterprétations de Madame de Clèves. L'héroïne livre ses sentiments les plus intimes, et exprime la confusion et le désordre qui se jouent dans son esprit. Comment la narratrice exprime-t-elle

la vie de Cour, à la fin du règne d’Henri II ; l’action se situe donc au XVIème siècle. Dans cette 3ème partie l’aveu intervient à un moment ou la princesse se rend compte qu’elle ne peut lutter l’amour qu’elle éprouve pour Nemours. Elle met cet aveau entre elle et Nemours. Cet aveu est un acte centrale du roman. Ce passage est un nœud de l’intrigue ou une « amitié » hors du commun s’établit entre les 2 personnages. Problématique : Qui est le personnage véritablement héroïque

tout pour ne pas le rencontrer. Le jour de sa venue, elle se rangea derrière une des fenêtres, qui servaient de porte, espérant éviter le regard de M. de Nemours; Mais malgré tous ses efforts pour l'éviter, le destin a voulu que les chemins des deux se croisèrent. Elle se tourna et vit un homme qu’elle crut d’abord ne pouvoir être que M. de Nemours, qui passait pardessus quelques sièges pour arriver où l’on dansait. Ce prince était fait d’une sorte qu’il était difficile de n’être pas surpris de le

au rêve qui est en fait ce qu’elle vient de vivre. Lignes 6 à 9 «  aigreur et la froideur » ; « quel calme et quelle douceur ». Par ces deux chiasmes de construction, l’auteur cherche à montrer l’opposition des sentiments suite au démenti de M. de Nemours. Puis vient l’emploi des hyperboles qui amplifieront le ressenti de la princesse. Ligne 31 « cuisante douleur ». Cette hyperbole montre la douleur intense ressentie par la princesse. Ligne 33 « Inquiétude mortelle de la défiance ». Celle-ci cherche

Analyse linéaire :I. Une scène tragique :La situation de scène éveille la pitié du spectateur et du lecteur. Il s’agit d’une scène d’adieu. Les adverbes d’intensité « considérablement » et « si » montre que son cas est désespéré. Ce manque d’espoir est confirmé par le verbe « désespérer » l.1. Malgré la souffrance face à la mort Mme de C maîtrise ses émotions et fait preuve d’une grande sagesse. La mort est évoquée par un euphémisme « péril où elle était » qui renvoie au courage de Mme de C. Le

cité par cet extrait comme commandant de ses armées : le duc de Nemours .Gaston de Foix est le neveu de Louis XII, duc de Nemours, comte d’Etampes et vicomte de Narbonne, il est jeune ,courageux mais c’est surtout un fin stratège militaire, son avancée rapide en Italie lui vaut le surnom de « Foudre de l’Italie ». .Plutôt que d’insister sur le déroulement de la bataille l’auteur s’attarde dans un premier temps sur le duc de Nemours il décrit sa mort non comme étant un manque de prudence mais comme

jeune et belle Mlle de Chartres rencontre chez un joaillier le prince de Clèves, un homme plus âgé et assez sévère, qui s'éprend d'elle, la demande en mariage et l'épouse. Lors d'un bal à la cour, la princesse est invitée à danser avec le duc de Nemours, et, entre ces deux êtres faits l'un pour l'autre, c'est le coup de foudre. Leurs sentiments sont révélés lorsque le duc dérobe un portrait de la princesse qui, s'en étant rendu compte, préfère le lui laisser. Mais elle décide alors de ne plus paraître

propre nom à cause de son rang (qu’elle a obtenu grâce à son mariage) qui ne lui permet pas de travailler sans perdre son titre de noblesse). La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette : La Princesse de Clèves et pris entre son amour pour M. De Nemours et sa fidélité pour son mari. Elle symbolise l’héroïne parfaite (cultivée, élégante, belle, vertueuse, courageuse…), comme les héros de contes de fées ou plus encore ceux des tragédies classiques, partagées entre le bonheur et leur devoir (ex Phèdre

entre le duc de Nemours et la Princesse de Clèves au travers d’intrigues mêlant des considérations précieuses, moralistes et jansénistes.Le passage se situe dans la première partie du roman et relate la rencontre des deux protagonistes du roman, la princesse de Clèves et le duc de Nemours, qui ont été présentés dans les pages qui précèdent comme des figures exceptionnelles de la Cour. Cette rencontre a lieu dans le

jeune ingénue, et le mariage meilleures perspectives de retrait. Elle accepte la recommandation de son mère et les ouvertures d'un prétendant médiocre qui l'admire, le prince de Clèves. Cependant, après son mariage, elle rencontre le fringant duc de Nemours, et les deux tombent amoureux, mais ne font rien pour poursuivre leurs affections, de limiter leur contact avec une visite occasionnelle dans le désormais Princesse de Clèves de coiffure. Le Duc devient empêtré dans un scandale à la cour qui mène