Nemours

entre le duc de Nemours et Mme de Clèves. De cette façon, le texte est axé sur les réflexions et les questionnements des deux personnages, ce qui a pour effet de mettre en évidence les réactions psychologiques qu’engendre la discussion chez chacun d’entre eux. Ensuite, le lecteur, en s’apercevant de cette centralisation sur la réflexion, découvre tout le jeu psychologique qui s’opère entre le duc et la princesse. Il observe que chaque parole lourde en sous-entendus de M. de Nemours a pour but de provoquer

1678. L’extrait se situe dans la 1ère partie du roman, peu de temps après le mariage de l’héroïne mademoiselle de Chartres, devenue Mme de Clèves. L’extrait met en exergue l’éblouissement réciproque des deux personnages (Mme de Clèves et le Duc de Nemours) lors de leur 1ère rencontre. LECTURE Nous allons nous poser la question suivante : Comment le caractère fatal de leur passion est-il suggéré ? Pour répondre à cette problématique nous allons d’abord étudier le caractère fatal de la passion, puis

M de Nemours attend que tout le monde soit parti, pour qu’il parle a elle. Ensuite, (« Cette princesse … en serait changée ») on voit la rencontre des deux protagonistes qui est caractérisée par amihania qui s’évolue peu à peu du silence au dialogue. « L’affliction », constitue ici le point du départ de la conversation qui suit, thème inventé par M. de Nemours. Puis, (« Les grandes afflictions … de l’un et de l’autre ») on voit le dialogue entre ces deux personnes, la ou M. de Nemours en gardant

œuvre elle nous fait part de son témoignage sur le rôle des femmes à la cour au XVIIème siècle marqué par la préciosité. Une œuvre très importante qui rompt la tradition et relate les amours impossibles d’une femme mariée, Mme de Clèves et de Mr de Nemours, dont le conflit intérieur en est l’obstacle essentiel, ayant eu un véritable succès. Elle a également ouvert de nombreuses critiques, en effet Taine en a traité dans les Essais de critique et d’histoire «  Ce style est aussi mesuré que noble ; au

sont donnés : "des violons"(l.10) dans Cendrillon, "valser"(l.69) et "danser avec ivresse"(l.70) dans La Parure. Un arrêt dans la musique se déroule à l'entrée remarquée de Cendrillon ainsi que dans La Princesse de Clèves avec l'arrivée de M. de Nemours. Flaubert quant à lui décide de mettre en valeur tout ce qui se rattache aux musiques : "sons d'un cor"(l.44), "ritournelle de violon"(l.44), "coups d'archet"(l.58), "cornet à pistons"(l.62)," éclat sonore"(l.62), "autres instruments" (l.60).De plus

découvrir la cour d’Henri II, au XVIème siècle, ainsi que ses deux héros, la princesse de Clèves, qui donne son nom au roman, et le duc de Nemours, dont elle va s’éprendre fortement, et dont l’amour réciproque leur provoquera beaucoup de souffrance et de malheurs, ainsi qu’à leur entourage. L’extrait dont nous disposons est un portrait élogieux du duc de Nemours. La ponctuation est très présente et variée et rythme le texte ; dans chaque phrase on observe une accumulation de qualités inimaginables

2012-2013 PROJET DE DEVELOPPEMENT DE L’UNITE COMMERCIALE Gémo chaussures et vêtements Nemours Problématique : Par quel moyen le magasin Gémo Nemours peut-il conquérir de nouveau client ? SOMMAIRE I) Analyse commerciale de l’unité commerciale I.I) Le réseau Gémo …………………………………………………………………………………… Page 1 I.II) Analyse de Gémo Nemours ……………………………………….………..………………. Page II) Diagnostic de l’unité commerciale II.I) Emergence du projet

commence à ê insinué dans ‘esprit de la PDC. Pourquoi ? Cette scène où Madame de Chatre voit sa fille pour la dernière fois est un moment de transparence où elle lui montre où elle a compris qu’elle avait compris qu’elle tombait amoureuse de Monsieur de Nemours. A ce moment, elle lui rappelle aussi qu’elle doit maintenir aussi à tout prix sa réputation et faire l’aveu auprès de Monsieur de Clèves c’est maintenir cette réputation (p.172) = en gros, elle dit « je ne vous demande pas de me le dire, je le sais »

Oral de francais : La princesse de Clèves : ( Rencontre avec Mr de nemours ) de « Elle passa tout le jour » ligne 38 a « s’ils ne s’en doutaient point » INTRODUCTION : La princesse de Clèves est un roman de Mme de La fayette du XVIIème siècle qui se passe au XVIème siècle à la cour d'Henri II (fils de François 1er). On est en pleine Renaissance. Le duc de Nemours, un éblouissant gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée

dépeint à grand renfort de superlatifs et notamment Monsieur de Nemours et Mme de Clèves), la grâce ( de Mme de Clèves), la vertu et le refus de se laisser tourmenter (Mme de Clèves) malgré la violence des passions (Mme de Clèves, Monsieur de Nemours). Des problèmes de ce type se retrouvent dans l’ensemble de l’œuvre, de manière plus ou moins explicite. (Par exemple, l’aveu que Madame de Clèves fait de son amour pour Monsieur de Nemours à son mari est un cas typique de question précieuse). La préciosité