Neo Classique Economie

Zur Prozesspolitik gehören Arbeitsmarkt-, Finanz-, Fiskal-, Geld-, Handels- u. Konjunkturpolitik. Zur Wirtschaftspolitik gehören ebenso die Gebiete der Sozialpolitik und der Währungspolitik. L'École de Fribourg regroupe les plus importants néo-libéraux allemands. Elle a été constituée dès 1933 à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg, Allemagne), autour de Walter Eucken, et comprenant Wilhelm Röpke, Alexander Rustöw, Franz Böhm, Hans Großmann-Doerth, Alfred Müller-Armack et d'autres personnalités

ECONOMIE POLITIQUE INTRODUCTION : Objet et méthode de l’économie politique Le terme d’économie politique apparait au 18ème siècle, c’est-à-dire au moment où l’analyse économique commence à s’autonomiser par rapport aux disciplines dans lesquelles elle était jusqu’alors enchâssée : la philosophie morale et la philosophie politique. Ce terme regroupe ce que les auteurs antiques appelaient « la science de l’économie du ménage », ce que les fondateurs de l’analyse économique appelleront « économie

monde académique et le monde financier. Dans les faits, beaucoup d’intervenants parlent de l’analyse fondamentale sans en connaître les fondements théoriques. Cette méthode a été fortement influencée par la théorie économique, notamment par l’école néo-classique et la théorie de l’efficience des marchés financiers. Néanmoins, ces dernières années, les critiques se sont faites de plus en plus nombreuses sur la pertinence de cette méthode d’analyse. Les nombreux scandales financiers, les piètres performances

de l’expression ‘’économie politique’’ L’économie politique apparait pour la première fois sous la plume de l’économiste Français Antoine de Montchrstien dans son ouvrage « le traité de l’économie » (1615) cet ouvrage était en réalité un recueil des règles destiné au prince pour l’aider dans l’administration des affaires publiques. Mais l’expression «économie » et encore moins neuf puisqu’on trouve chez les auteurs Grecs notamment chez Platon et Aristote Le mot ‘’économie’’ se forme de conjonction

2 Méthode de la science économique La science économique consiste à décrire, quantifier et expliquer pour construiredes théories en aval. Elle se place au niveau individuel ou collectif (micro/macro) pour des théories et des modéles. 2.1 Economie quantitative et statistiques L’économie décrit la réalité qui constitue son domaine d’étude. 1. Les outils : 1. Calculs algébriques, 2. Statistiques, 3. Comptabilité, 2. Elle définit des catégories telles que : Le PIB Mesure de la

nuisible à l’économie et c’est l’investissement qui détermine l’épargne. Quelles sont donc les actions de l’un sur l’autre dans les différentes visions développées ? I. EPARGNE PREALABLE A L’INVESTISSEMENT 1. Les classiques : l’épargne devient investissement au cours du temps Les classiques (Smith, Ricardo, Malthus, Marx) analysent l’épargne et l’investissement comme la même action : l’épargne représente le renoncement à une consommation immédiate. Le sacrifice de la consommation permet d’investir

économiques individuels (entreprise, consommateur, salarié, etc.) considérés comme des agents rationnels. L’analyse néo-classique, appelée aussi analyse microéconomique ou microéconomie, repose sur une formalisation mathématique, mais il est possible de décrire simplement ses principaux éléments. Il nous faut donc expliquer en quoi consiste cette proposition néo-classique reposant sur ce phénomène de productivité qui tend à diminuer progressivement. Cette loi édifiée par l’économiste

courants et les sous courants sont nombreux. Objectifs : faire ressortir les différences essentielles dans la manière d’appréhender les mécanismes économiques en se référant à 3 axes fondamentaux : - Le courant libéral (économie de marché) - Le courant marxiste (rupture avec économie de marché) - Le courant Keynésien I. Le courant libéral 2. C’est le plus ancien, il est apparut en France et en Grande Bretagne. Il regroupe un très vaste champ de doctrine et de théorie dont les principes sont : Primauté

Les néo-keynésiens[modifier] Article détaillé : Néo-keynésien. [pic] [pic] Paul Samuelson Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres à prix fixes » ou « école du déséquilibre ») est une synthèse des théories keynésiennes et néoclassiques. Les économistes de cette école s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Mais ils conservent

espèces de consensus se sont formés. On a eu des séparations des écoles même si on a cru qu’elles se rejoignaient. Ce consensus, on l’a appelé la synthèse néo keynésienne. Avancée des autres écoles. Les monétaristes avec Friedmann vont retrouver les fondamentaux des théories classiques et les post keynésien refuserons le dictât de la pensée classique. Nous verrons donc successivement les convergences et les analyses divergentes. Orientations théoriques qui viennent de s’affirmer avec de nouveaux auteurs