Néoglucogenèse

Na+ et K+ au travers de la membrane cellulaire, à l'origine des messages nerveux. c) Les Glucides L'apport alimentaire quotidien minimal en glucides est de l'ordre de 150 g. En cas d'apports insuffisants, les dépenses sont couvertes par néoglucogenèse à partir des lipides, voire des protides. d) L’Eau et ions minéraux L'eau et les ions minéraux sont indispensables au bon fonctionnement de l'organisme. Besoins en eau | Sans apport d'eau, un homme meurt en 2 à 3 jours. L'organisme

énergétique la plus immédiatement mobilisable. A court terme, le jeûne se traduit par la mobilisation du glycogène hépatique, dont les réserves sont épuisées dès 24 heures de jeûne. Pendant cette phase de jeûne, la mobilisation des protéines pour la néoglucogenèse permet d’alimenter en glucose, en priorité, le cerveau qui va rapidement l’oxyder (jusqu’à 2-3 jours de jeûne total). La glycémie ainsi que l’insulinémie diminuent légèrement tandis que la sécrétion de glucagon augmente. Ces changements réduisent

constantes ( boucle de rétrocontrôle Différents systèmes de boucle : - hypothalamus, hypophyse, thyroïde - hypothalamus, hypophyse, surrénale - hypothalamus, hypophyse, gonades (ovaire, testicule) - pancréas, surrénale, hypophyse - Néoglucogénèse : formation nouvelle de glucose. Propriété de la cellule hépatique et d’aucune autre cellule. Formation à partir d’acide lactique, d’acides aminés (alanine), de glycérol. Le mécanisme est la voie métabolique inverse de la glycolyse par contournement

lait - jaune d'œuf 2 6,5 8 3 à 5 4 à 8 0,5 contient des dérivés traces Glucides L'apport alimentaire quotidien minimal en glucides est de l'ordre de 150 g. En cas d'apports insuffisants, les dépenses sont couvertes par néoglucogenèse à partir des lipides, voire des protides. Eau et ions minéraux L'eau et les ions minéraux sont indispensables au bon fonctionnement de l'organisme. Besoins en eau Boire au plus près de la source. Sans apport d'eau, un homme meurt

apparents de la vigilance d- effets biologiques ❖ hypoglycémie • à la phase aiguë de l’intoxication, elle survient beaucoup plus fréquemment chez l’enfant que chez l’adulte, et serait en relation avec une inhibition de la néoglucogenèse hépatique. • il n’y a pas de relation entre l’hypoglycémie et la quantité d’alcool ingérée. • l’hypoglycémie peut, en revanche, survenir en situation de « post ivresse» justifiant sa recherche systématique dans tous les

goût du sel L’APPAREIL URINAIRE I- LES REINS. RÔLES DU REIN • • • • • Maintien de l’homéostasie Elimination de déchets endogène Détoxification et élimination de déchets exogènes Fonction endocrinienne Fonction métabolique: néoglucogenèse LOCALI SATION ET ANATO MIE DU REIN Disposition des Reins chez l’homme. • entre la 11e vertèbre thoracique et la 3e lombaire (rein gauche) et la 12e vertèbre et l'espace entre la 3e et la 4e lombaire (rein droit). • H:12cm, L:6cm

par le niveau de leur action anti-inflammatoire, leur pouvoir minéralocorticoïde et, surtout, leur durée d’action A. Rappel de physiologie Rôle des glucocorticoïdes –Métabolisme glucidique : hormone hyperglycémiante (activation de la néoglucogenèse hépatique) –Métabolisme protéique : augmentation du catabolisme protéique (touche principalement les muscles, la peau et les os) –Métabolisme lipidique : activation de la lipolyse : hypercholestérolémiant Les glandes surrénales Elles

UE8 Insuline et tissus insulino-dépendants : voies métaboliques simplifiées Muscle Foie, glucose et insuline • Phase post prandiale : Mise en réserve du glucose sous forme de glycogène et de triglycérides • Phase de jeûne : Glycogénolyse et néoglucogénèse Muscle, glucose et insuline • Phase post prandiale : Mise en réserve du glucose sous forme de glycogène Anabolisme protéique • Phase de jeûne : Catabolisme protéique Glycogénolyse (aérobie –pyruvate ; anaérobie –lactate) Insuline Foie

période   pendant   laquelle   la   glycémie   a   tendance   à   s’élever   chez   les   diabétiques  de  type  2  en  raison  de  l’insulino-­‐résistance  hépatique  et  de  la  néoglucogenèse  qui   en  résulte.   Glycémie   post-­‐prandiale  :   La   glycémie   de   référence  est  la  glycémie  2h  après  le  début  du  repas.   Les   augmentations   glycémiques

période   pendant   laquelle   la   glycémie   a   tendance   à   s’élever   chez   les   diabétiques  de  type  2  en  raison  de  l’insulino-­‐résistance  hépatique  et  de  la  néoglucogenèse  qui   en  résulte.   Glycémie   post-­‐prandiale  :   La   glycémie   de   référence  est  la  glycémie  2h  après  le  début  du  repas.   Les   augmentations   glycémiques